Le PDG de Sonatrach, Rachid Hachichi, a réitéré hier l’engagement du groupe pétrolier à développer ses infrastructures de base conformément aux normes techniques et environnementales les plus élevées, ainsi que la volonté du groupe à poursuivre ses efforts pour répondre aux besoins du marché tant au niveau local qu’international.
«Ce sera une étape historique pour la banque, qui lui permettra d’élargir sa capacité de financement et de donner en parallèle un nouveau souffle à l’économie nationale», a relevé le PDG de la BDL.
Le ministre des Finances, Laâziz Faïd, a mis en avant les efforts du gouvernement pour réduire l’utilisation du cash dans les transactions financières, en faveur d’une économie moderne et transparente.
Ces futures réalisations, sur lesquelles mise l’Algérie pour accélérer sa transition énergétique, totalisent une capacité de 1962 mégawatts.
Si l’année 2024 a connu une baisse des prix des matières premières alimentaires par rapport à 2023, selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), l’année qui commence s’annonce incertaine.
La nouvelle note de la BA fait ainsi ressortir un léger recul des niveaux de taux effectifs moyens pratiqués au cours du dernier semestre de 2024 pour les crédits d’investissement à moyen terme, le leasing, l’habitat et la consommation.
La souscription se fera au niveau des intermédiaires en opérations de Bourse (IOB) agréés à cet effet (BNA, BEA, CNEP Banque, BDL, CPA, BADR) ainsi que la Société Générale Algérie, Tell Market et Invest Market).
Il s’agit, dans le cas de la BDL, d’opérer une introduction en Bourse d’Alger via une augmentation du capital à hauteur de 30% par appel public à l’épargne.
Le ministre a relevé l’importance du lien entre le développement des énergies renouvelables et celui des minerais stratégiques. «La transition énergétique ne se limite pas aux ressources renouvelables, mais englobe aussi les matériaux essentiels à leur développement», a précisé Mohamed Arkab dans son discours.
Dans cet entretien, Ali Daoudi, agroéconomiste, enseignant chercheur à l’Ecole nationale supérieure d’agronomie d’Alger (ENSA), estime que les niveaux actuels d’inflation restent bien au-dessus de ceux d’avant le cycle inflationniste. Il faudra, selon notre chercheur, encore du temps pour déterminer si cette période de forte inflation est terminée et si une stabilisation durable peut être atteinte.
Le fait marquant en 2024 est la conclusion d’un accord avec le groupe qatari Baladna. L’accord-cadre a été signé, fin avril dernier, entre le ministère de l’Agriculture et du Développement rural et la société qatarie Baladna pour la réalisation d’un projet structurant consistant en la création de fermes d’élevage intégrées de vaches laitières.
Après dix jours d’exposition en cette période de vacances d’hiver, la 32e Foire de la production algérienne a pris fin hier.
Pour mettre en œuvre la démarche de la numérisation, le cap a été mis sur les filières stratégiques, à l’image de l’industrie pharmaceutique.
Dans un communiqué rendu public très tôt hier, le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé avoir trouvé un accord avec l’Egypte permettant de débloquer 1,2 milliard de dollars de nouveaux financements. Mais «sous réserve de l’approbation du conseil d’administration du Fonds», précise la même source.
Pour asseoir un développement local équilibré via l’atteinte des objectifs assignés aux projets d’investissements publics, il y a lieu d’aller, selon les spécialistes, vers plus d’efficacité dans la gestion des délais de réalisation et la maîtrise des coûts de réalisation.
Dans un contexte marqué par les incertitudes sur le marché des matières premières, notamment les céréales, et face aux risques géopolitiques, l’Algérie multiplie les opérations d’achat de blé en misant sur la diversification des fournisseurs.
La production moyenne de pétrole de l’Algérie en 2024 était d’environ 907 000 b/j au premier trimestre, pour baisser au cours du deuxième trimestre à 904 000 b/j et rebondir à nouveau au troisième trimestre de cette année à 909 000 b/j.
Face aux dépassements constatés, le ministère a entamé des procédures légales à l’encontre des contrevenants, en émettant 10 349 mises en demeure. Parallèlement, 2502 dossiers ont été transférés aux services des Domaines de l’Etat pour lancer les démarches de résiliation des contrats de concession, selon le premier responsable du secteur.
La Foire, qui s’ouvre aujourd’hui, sera l’occasion de présenter les nouveautés des 600 entreprises participantes, tous secteurs confondus.
La priorité sera ainsi donnée aux investissements dans le domaine de la production. Il s’agit au-delà des objectifs locaux de générer des excédents destinés à être exportés vers les marchés extérieurs. Pour atteindre ce résultat, le cap est à mettre sur l’amélioration de la compétitivité.