L’Algérie prévoit le lancement de cinq zones économiques spéciales (ZES), dont celle de Debdeb ( Tindouf) en phase de réalisation. Et ce, en attendant l’approfondissement de la réflexion sur les ZES et l’élaboration d’une réglementation dédiée à cet effet, comme c’est le cas dans les économies développées.
Après le Crédit populaire d’Algérie (CPA) et la Banque de développement local (BDL), dont l’opération de souscription aux nouvelles actions est en phase finale avec des premiers résultats positifs, une troisième banque et une société d’assurance seront prochainement introduites en Bourse.
La stratégie de diversification mise en œuvre par le biais de l’Office algérien interprofessionnel des céréales ( OAIC) ces quatre dernières années a fini par réduire la part française du marché algérien du blé.
Le ministre des Finances, Abdelkrim Bouzred, et le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Youcef Cherfa, ont supervisé jeudi dernier la signature d’accords entre le ministère de l’Agriculture et les banques publiques.
A l’issue de sa visite en Algérie, la délégation omanaise, conduite par le président de l’Oman Investment Authority (OIA), Abdulsalam Bin Mohammad Al Murshidi, a affiché sa volonté de renforcer le partenariat avec l’Algérie. Les rencontres tenues avec les autorités algériennes ont en effet abouti à un certain nombre de propositions reflétant les centres d’intérêt communs des deux pays, outre la nécessité de lancer des projets concrets.
Des représentants de la Commission européenne (CE) ont effectué une visite en Algérie début février pour entamer les consultations techniques sur le différend commercial entre les deux parties.
Après une année 2024 riche en changements sur le marché financier à travers, notamment, une opération réussie pour le CPA et un nouveau cadre réglementaire qui a accordé des facilitations et des incitations pour l’introduction en Bourse, 2025 commence avec des indicateurs au vert. Les perspectives s’annoncent d’ailleurs prometteuses, selon le président de la Cosob, Youcef Bouzenada, et le directeur général de la SGVB, Yazid Benmouhoub. La prochaine arrivée de la BDL sur le compartiment principal et de Tosyali sur le compartiment Premium des titres de créance de la Bourse marqueront sans nul doute une nouvelle étape sur le marché.
Quels sont les faits marquants à la Bourse d’Alger en 2024 ? La Bourse d’Alger a connu le 26 mars 2024 l’introduction du Crédit populaire d’Algérie (CPA) au compartiment principal / marché titre de capital, par l’ouverture de son capital social à hauteur de 30% par appel public à l’épargne via une première opération d’offre publique de vente de 22 millions d’actions, susceptibles d’être augmenté à 60 millions d’actions au prix de 2300 DA par action.
Pour commencer, quels sont les principaux indicateurs du bilan de la Cosob pour 2024. Qu’en est-il de l’évolution par rapport à 2023?
Les mesures d'indemnisation du différentiel du prix pour l'huile alimentaire et le sucre blanc ont coûté à l’Etat, en 2024, 98,8 milliards de dinars (mds DA), tandis que celles relatives au café vert se sont élevées à 2,99 milliards de dinars.
Les délégations des groupes Sonatrach et Sonelgaz prenant part aux travaux de la 25e session de l’assemblée annuelle de la compagnie Baker Hughes, tenue entre les 2 et 4 février à Florence (Italie), ont mené une série de consultations avec plusieurs compagnies énergétiques mondiales en vue de renforcer la coopération.
Face à de tels risques, les appels à la raison se multiplient, la cheffe de la politique étrangère de l’UE, Kaja Kallas, a déclaré : «Nous sommes très interconnectés. Nous avons besoin de l’Amérique, et l’Amérique a également besoin de nous.»
Si l’entreprise arrive à finaliser l’opération et à avoir l’aval de la Cosob, elle serait la troisième du secteur pharmaceutique après Saidal et Biopharm à être introduite en Bourse. L’on s’attend à ce que la facilitation des procédures ouvre la voie à d’autres acteurs.
C’est l’effervescence sur les marchés. Les annonces du nouveau locataire de la Maison- Blanche n’en finissent pas avec leur impact sur les prix des produits échangés sur les marchés internationaux. C’est le cas des produits alimentaires de base.
«L’année 2025 sera une année de grands défis pour améliorer la performance du système national de lutte contre les risques de blanchiment d’argent, de financement du terrorisme», selon le ministre des Finances.
Le monde rural a été le théâtre de nombreuses mutations au cours de ces trois dernières décennies. Cependant, des questionnements persistent sur la pertinence des choix stratégiques déjà faits, ainsi qu’à ceux à venir, en matière de projets de développement pour ces territoires occupés par 12% de la population.
L’attention restera donc focalisée sur l’évaluation qui sera faite et sur les changements à apporter pour convenir d’un accord «plus équilibré», étant décrié des deux côtés. Si Abdelmadjid Tebboune a demandé une révision «clause par clause», la direction générale du commerce de la Commission européenne, par une note verbale, a saisi en juillet dernier le Conseil d’association concernant un différend commercial avec l’Algérie.
Le ministre des Finances, Laaziz Faid, a exprimé la volonté de la Douane algérienne de s’adapter aux défis mondiaux en mettant en place des stratégies modernes et une vision stratégique claire.
Le PIB en valeurs courantes a atteint 9072,1 milliards de dinars, contre 8724,0 milliards de dinars au même trimestre en 2023, marquant une croissance de 4 %.
«S’étalant sur 24 mois, l’accord vise à réaliser une étude approfondie pour évaluer le potentiel des ressources pétrolières dans les zones offshore algériennes. Il vient ainsi renforcer la coopération entre l’Algérie et Chevron dans le domaine des études techniques et géologiques ouvrant la voie à de futurs projets d’exploration, selon le ministère de l’Energie, des Mines et des Energies renouvelables.