Une embarcation de fortune transportant des migrants clandestins a fait naufrage dans la nuit de samedi à dimanche derniers au large de Cap Djinet, à l’est de Boumerdès. Le bilan de cette énième tragédie est très lourd. Des sources locales parlent de 27 disparus, un cadavre retrouvé (B. Sofiane) et quatre survivants, secourus par les gardes-côtes.
L’effort d’efficacité énergétique consenti par les communes est insuffisant et ne permet pas d’atteindre les objectifs retenus à l’horizon 2030.
Dans la commune d’Azazga, la gestion de la mission «éclairage public» est dévolue au chef de parc communal, associé à deux agents communaux, a indiqué la cour des comptes dans un rapport sur le développement des énergies renouvelables au niveau des collectivités locales.
La consommation des psychotropes fait des ravages dans la société. Le pays compte plus de 3 millions de toxicos, filles et garçons, âgés entre 15 et 35 ans, a indiqué récemment Abdelkrim Abidat, directeur du Centre national de prévention et de lutte antidrogue.
Les flux migratoires vers les pays du sud de l’Europe augmentent d’année en année. Dans un rapport publié ce jeudi, l’ONG espagnole Caminando Fronteras (Frontières à pied) a fait état de 10 457 personnes qui sont mortes ou ont disparu au cours de l’année 2024 à la frontière occidentale euro-africaine en tentant de rallier l’Espagne.
Parmi les 32 zones d’activité et de dépôt de la wilaya de Boumerdès, une trentaine nécessitent des travaux de viabilité.
Deux morts, 3 disparus et 11 personnes secourues. C’est le triste bilan du naufrage d’une embarcation de fortune la semaine passée au large de la Méditerranée. La nouvelle a choqué tout Bordj Menaiel (Boumerdès), la localité d’origine des victimes de cette énième tragédie. Partis de Cap Djinet, ces migrants ont vécu un véritable cauchemar. «Notre embarcation a chaviré à l’aube à cause du mauvais temps et la remontée des vagues.
Certains historiens la considèrent comme «la mère» des batailles de la glorieuse ALN. Vu son timing qui intervient 52 jours après le déclenchement de la Guerre de Libération nationale, cette épopée est inscrite en lettres d’or dans les manuscrits d’histoire. Malgré leur manque d’effectifs, les combattants de l’ALN ont donné une leçon de bravoure et d’héroïsme à l’armée coloniale.
La consommation de drogues est un des principaux facteurs de risque de survenue d’un accident vasculaire cérébral.
La station de dessalement de l’eau de mer (SDEM) de Cap Djinet, dans la wilaya de Boumerdès, a été raccordée au réseau de distribution de Taksebt. «L’opération a pris cinq jours et a été réalisée par des entreprises et des compétences 100% algériennes.
La lutte contre les réseaux de vente de psychotropes, dans la wilaya de Boumerdès, ne connaît pas de répit.
La situation des haouchs ou les anciennes fermes coloniales recensés dans la wilaya de Boumerdès sera bientôt régularisée. C’est ce qu’a affirmé Fella Adjaz, directrice de l’antenne locale de l’Office national des terres agricoles (ONTA), en invitant les agriculteurs concernés par ce problème à déposer leurs dossiers en vue d’obtenir les actes de concession.
Les habitants des villages d’Iwaryachen, Ait Slimane et Ihmaden, sur les hauteurs de Naciria, parcourent plus de 15 km pour une simple consultation médicale. «Dans les années 1980, on était mieux qu’aujourd’hui.
Les habitants de Draâ Zmam, au sud de Corso (Boumerdès), sont confrontés à une myriade de difficultés. Pour rallier la localité, les villageois doivent faire un détour via Boudouaou et emprunter une route à la limite du praticable.
Beaucoup d’écoles primaires n’ont pas de directeurs, les CEM et les lycées manquent plutôt d’adjoints d’éducation.
La commune de Sidi Daoud ne compte officiellement plus de chalets. Les derniers occupants de ces habitations provisoires qui remontent au séisme de 2003 ont été relogés, hier, dans une ambiance de fête.
Située sur les hauteurs de Beni Amrane, Souiga est un véritable carrefour où se rejoignent des habitants de 17 villages. Son emplacement entre cinq communes, dont Tidjellabine, Thénia, Kaddara, Ammal, est un atout qui semble négligé dans l’élaboration des politiques de développement, estiment certains habitants. «Notre région mérite d’être érigée au rang de commune.
Certains locaux ont été transformés en bureaux de poste, alors que plusieurs marchés couverts servent désormais comme salles de sport
Les postulants au programme des 140 logements socio-participatifs (LSP) de Bordj Menaïel sont dans un profond désarroi. «Cela fait plus de 10 ans que nous attendons nos logements, mais l’entrepreneur est confronté à plusieurs difficultés.
En février dernier, des dizaines d’habitants d’Ouled Ali, Benbakhta et Chouarbia, dans la commune de Khemis El Khechna, ont protesté devant le siège de la wilaya afin de réclamer l’amélioration de leurs conditions de vie.