Un nouveau rapport de l’Organisation internationale du travail (OIT) intitulé : «La chaleur au travail : Implications pour la sécurité et la santé», publié ce 25 juillet à Genève, met en garde contre l’augmentation du nombre de travailleurs exposés au stress thermique dans le monde.
«L’Algérie poursuit une voie ambitieuse pour son développement. En mettant l’accent sur le renforcement de la résilience, l’adoption d’innovations et la modernisation économique, le pays a franchi une nouvelle étape importante cette année», résume l’article de la Banque mondiale publié sur son site.
La consommation nationale d’électricité continue d’augmenter en enregistrant presque quotidiennement depuis une semaine des niveaux record. Le dernier en date remonte au 21 juillet dernier avec un pic de 19 500 mégawatts (MW) contre 18 732 MW le 14 juillet dernier et 18600 MW durant l’été 2023.
L’université est plus que jamais appelée à jouer un rôle de premier plan pour être la locomotive du développement. Comment ? En formant notamment des compétences répondant aux exigences du moment.
Un travail est en cours actuellement avec des start-up s’intéressant aux techniques d’irrigation et de surveillance. Dans un secteur sans cesse en changement, ce ne sont pas les idées qui manquent chez les jeunes qui sont de plus en plus portés sur les nouvelles technologies pour développer leurs projets et les mettre au service de l’agriculture. Mais les entraves sont bien là, notamment sur le plan financier.
L’évolution a surtout marqué le secteur privé. Le stock des crédits accordés aux entreprises privées est plus important que celui accordé aux entités publiques. Une tendance qui n’est pas nouvelle puisque les banques publiques financent majoritairement le secteur privé, qui dépend à hauteur de 85% des fonds des banques publiques.
Les entreprises financées seront plus crédibles sur le marché car elles ont un associé public qui offrira une certaine garantie aux clients et fournisseurs. Le cabinet conseil souligne par ailleurs que cette méthode de financement permettra à l’Anade de délivrer un label pour élargir les avantages fiscaux sur cette nouvelle base.
L'Afrique et l'Asie sont les principales destinations géographiques de l'Aide pour le commerce. Elles représentent, selon l’étude, 70% du total des flux. Par niveau de revenu, ce sont les économies à revenu intermédiaire de la tranche inférieure qui sont les principales bénéficiaires de l'Aide pour le commerce.
Les organismes de soutien accordent des aides et des garanties importantes, comme c’est le cas de la CGCI. Depuis sa création en 2006 à fin 2023, cette caisse a octroyé des garanties cumulées pour plus de 4700 projets d’investissement, soit l’équivalant de plus de 201 milliards de dinars.
Le Conseil du renouveau économique algérien (CREA) et le Conseil de développement économique Algérie-Canada (CDCA) ont signé un mémorandum d’entente l’occasion du forum d’affaires algéro-canadien tenu le 10 juillet.
Le Canada compte une centaine d’entreprises en Algérie et le volume des échanges commerciaux entre les deux pays s’est élevé en 2023 à 1,5 milliard de dollars canadiens, soit 150 milliards de dinars.
Le projet de production de blé et de légumineuses à Timimoun, dont l’accord-cadre a été conclu le 6 juillet avec l’opérateur italien Bonifiche Ferraresi (BF), démarrera officiellement en octobre prochain.
Les prix des denrées alimentaires dans le monde sont restés globalement inchangés en juin, la baisse des cours des céréales étant compensée par un regain sur les marchés des huiles végétales, du beurre et du sucre. C’est ce qu’indique la note mensuelle de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) publiée hier.
L’objectif de ce projet, initié dans le cadre du programme de la Fondation Mattei Afrique et qui s’étale de 2024 à 2028, est de fournir à l’Algérie une chaîne agroalimentaire complète, de l’approvisionnement en semences à la production industrielle dérivée des cultures (céréales et légumes secs notamment), y compris la fabrication de pâtes.
Le représentant de la Banque mondiale a fait état des potentialités dont regorge l’Algérie, et sur lesquelles, a-t-il ajouté, «un partenariat dynamique pourrait s’inscrire pour encore mieux transformer le pays rapidement et se lancer dans une dynamique extrêmement positive qui permettrait aux Algériennes et aux Algériens d’accélérer leur prospérité».
Les distorsions et les disparités sont criantes en matière de déploiement du tissu industriel en Algérie. Les chiffres dévoilés, lundi, par le directeur de la veille stratégique au ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Bachir Kechroud, le montrent clairement.
Le ministre des Finances, Laaziz Faid, a mis à maintes reprises en avant la question du mode de gouvernance des banques publiques. En février dernier, il a souligné la nécessité de repenser cette gouvernance «conformément aux résultats de l’opération d’évaluation entreprise dans ce sens».
La guerre a causé une dévastation sans précédent au marché du travail palestinien et à l’économie en général. C’est la principale conclusion des dernières données et analyses de l’Organisation internationale du Travail (OIT) et du Bureau central palestinien des statistiques (BCPS) publiées ce 7 juin.
La banque prévoit plus de 1,9 Mds de dinars comme réserves légales. Un montant auquel s’ajoutent 11,1 Mds de dinars pour les réserves facultatives comme indiqué dans le projet de résolution à soumettre à l’AG le 27 juin.
L’indice FAO des prix des produits alimentaires s’est établi en moyenne à 120,4 points en mai 2024, soit 1,1 point (0,9%) de plus que son niveau révisé du mois d’avril. C’est ce qu’indique l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) dans son bulletin mensuel (mai 2024) publié hier.