Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Youcef Cherfa, a appelé les directeurs des services agricoles (DSA) à «assumer leurs responsabilités et à travailler sur le terrain» avec l’objectif d’élargir à 3 millions d’hectares les superficies dédiées à la culture des blés dur et tendre et de l’orge.
L’impact des changements climatiques se fait de plus en plus ressentir sur la filière oléicole comme c’est le cas pour d’autres cultures. Selon les prévisions du Conseil international oléicole (COI) publiées le 8 décembre, la production mondiale d’huile d’olive 2023/2024 devrait chuter à 2,4 millions de tonnes (Mt), soit une baisse de 8% par rapport à la campagne précédente.
L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture FAO a revu à la hausse ses prévisions relatives aux récoltes de la campagne en cours dans son Bulletin sur l’offre et la demande de céréales publié hier.
Le représentant du ministère de l’Agriculture, Mohamed El Hadi Sakhri, a évoqué la poursuite du Programme d’appui au secteur de l’agriculture (PASA) en Algérie, dans le but de mettre à niveau le secteur de l’oléiculture et de permettre au produit algérien de se positionner «confortablement» à l’international.
La part actuelle des wilayas du Sud dans la valeur de la production agricole atteint les 26% (sur un montant global de 4550 milliards de dinars), selon le premier responsable du secteur. Ces régions alimentent par ailleurs les besoins nationaux en céréales à hauteur de 11%, contre 26,4% pour les fruits et légumes, 32% pour la pomme de terre et enfin plus de 98% pour les dattes.
Les évaluations effectuées au niveau des entreprises publiques ont fait ressortir des déficiences ayant trait à l’organisation et au contrôle interne. Ce qui n’a pas été sans impact sur la réalisation de leurs missions statutaires et l’atteinte de leurs objectifs en termes de performance.
Le nouveau ministre de l’Agriculture, Youcef Cherfa, après deux ans de règne de Mohamed Abdelhafid Henni, est appelé à répondre aux préoccupations du monde agricole mais aussi celles des consommateurs qui paient de plus en cher leurs couffins. Il s’agit surtout de parvenir à des mécanismes pour accompagner les agriculteurs et garantir le bon fonctionnement des filières.
Le groupe Oxford Business (OBG), en partenariat avec l’Association mondiale des organismes de promotion de l’investissement (Waipa), vient de publier un rapport-focus sur le rôle des zones économiques spéciales (ZES) dans une perspective d’intégration régionale, à travers la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf).
Le bilan de la BM fait ressortir une «importante décélération» du rythme de progression des crédits accordés par les banques privées.
Les dernières pluies qui se sont abattues sur le nord du pays sont arrivées malheureusement en retard pour la filière oléicole, la période de gonflement du fruit étant dépassée. De ce fait, pas de changement concernant les prévisions de production d’huile d’olive en Algérie.
Dans la partie consacrée à la croissance économique décortiquée par secteurs d’activité, la Banque d’Algérie (BA) dans son rapport sur l’évaluation économique et monétaire du pays en 2022 relève «des résultats fortement appréciables» dans l’agriculture, avec une production qui représente 11,6% du PIB courant.
La Banque d’Algérie a publié, lundi sur son site internet, son rapport annuel 2022 sur l’évolution économique et monétaire du pays.
Face à la flambée des prix des viandes blanches et des œufs, en dépit des mesures de régulation annoncées à maintes reprises ces derniers mois, le ministère de l’Agriculture et du Développement rural (MADR) est revenu à la charge en convoquant, le 19 novembre, une réunion d’urgence avec les principaux acteurs de la filière avicole. Une réunion à l’issue de laquelle un communiqué a été rendu public hier.
Dans sa dernière note, l’Office national des statistiques (ONS) fait ressortir une hausse des importations au premier semestre 2023 de l’ordre de 2,6% par rapport à la même période 2022 et une baisse des exportations à hauteur de 16,5%.
Le financement de l’économie, un dossier récurrent, qui revient à chaque fois dans les débats, est encore aujourd’hui au centre des préoccupations des pouvoirs publics.
Au terme des journées de l’entrepreneuriat organisées par le Conseil du renouveau économique algérien (CREA), le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, est longuement revenu devant les chefs d’entreprises et les jeunes porteurs de projets sur les dossiers économiques de l’heure.
Le président Tebboune a appelé les opérateurs économiques du secteur privé à investir dans le domaine bancaire, à travers la création de banques privées. Il s’agit d’alléger les entités financières publiques dans le financement des projets d'investissement.
Les recettes fiscales ordinaires ont connu une hausse de 16% durant les sept premiers mois de l’année en cours par rapport à la même période de l’année 2022, atteignant 2488 Mds DA.
La part de la recherche développement (R&D) dans les entreprises algériennes, qu’elles soient privées ou publiques, est toujours insignifiante alors que c’est la clé de l’innovation. En dépit des tentatives successives des pouvoirs publics de mettre en place des politiques d’innovation, à même de permettre la construction d’un système national d’innovation (SNI) efficace, les résultats restent timides en matière d’encouragement de l’entrepreneuriat ; de création d’emplois et d’améliorer les performances de l’économie nationale.
Le programme quinquennal 2025-2030 dédié au secteur de l’agriculture est en préparation. Le programme qui met l’accent sur le défi de la sécurité alimentaire va même au-delà de cette période et prend en considération le contexte géopolitique à l’échelle mondiale.