Les étudiants aux besoins spécifiques sont les personnes les plus marginalisées sur les campus l Vulnérables, elles luttent tous les jours pour mener à bien leur cursus universitaire, affrontant toutes formes de stigmatisation, de discrimination, en sus des obstacles physiques et pédagogiques.
Les politiques gouvernementales de soutien à l’inclusion des personnes en situation de handicap demeurent un chantier ouvert. Les dispositifs législatifs et institutionnels, ainsi que les stratégies nationales visant la promotion et la protection de leurs droits ne sont pas totalement achevés, au vu de ce qui est recondamné par les associations, la commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’homme et autres ONG.
-Quel état des lieux dressez-vous de la situation des étudiants aux besoins spécifiques dans le milieu universitaire en général ? Les étudiants, à besoins particuliers, se recrutent en fait parmi un large éventail allant des cinq catégories classiques reconnues comme relevant du handicap (handicap visuel, auditif, mental, physique et polyhandicapés) aux personnes en situation économique défavorable, les sportifs de haut niveau, les femmes enceintes, les incarcérés, les hospitalisés ou suivant des traitements lourds, les étrangères,…
Saber, Mohamed, Sara, Brahim, Chaïma, Seïf El Islam, Nour et Houyam sont quelques noms d’une longue liste d’enfants agressés sexuellement durant des mois, pour certains, pendant des jours, pour d’autres. Ils ont l’âge de l’adolescence, préadolescence ou encore d’écoliers et même de bébés, entre 2 et 3 ans. Un phénomène qui prend de plus en plus de l’ampleur. A l’Unité médico-légale (UML) du CHU Mustapha Pacha d’Alger, les enfants représentent 77% des victimes de violences sexuelles prises en charge.
A la tête du service médico-légale du CHU Mustapha Pacha, dont dépend l’Unité médico-légale (UML) qui prend en charge les victimes de violence, le Pr Rachid Belhadj attire l’attention sur la pédophilie qui, selon lui, est en train de prendre des proportions alarmantes. Dans l’entretien qu’il nous a accordé, il met l’accent sur «la nécessité de se doter de moyens scientifiques de diagnostic, mais aussi de prélèvements des traces de l’agression, comme le séquenceur d’ADN et l’anuscopie pour identifier les pédophiles».
Le réveillon du Nouvel An revêt une atmosphère spéciale. Les festivités dans le Sud sont marquées par des danses traditionnelles, de la musique locale et des chants.
En plus des départs à l’international avec la Tunisie, l’Egypte et Dubaï, la destination nationale continue de marquer des points, pour ne pas dire de grignoter de substantielles parts du marché à l’international, d’année en année.
La grande partie des extensions est réalisée de manière improvisée sans aucun accompagnement d’équipements élémentaires. Plus de 1500 milliards de centimes ont été dépensés dans l’aménagement du chef-lieu de wilaya, mais le constat est toujours lamentable.
Dans cet entretien, Mohamed Laiche, docteur (HDR) en économie et doyen de la faculté des sciences économiques, commerciales et des sciences de gestion de l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou, souligne que l’insuffisance opérationnelle des plans d’aménagement et d’urbanisme, en l’occurrence les PDAU et POS, est l’une des raisons principales des problèmes et du dysfonctionnement dans lesquels se trouvent les villes algériennes et particulièrement celle de Tizi Ouzou.
Avec l'évolution constante des médias sociaux, les entreprises se tournent de plus en plus vers ces plateformes pour créer des opportunités de vente en ligne.
L'idée de lancer Algérie Market avait germé en moi depuis mon lancement dans le domaine du web en 2004. J'ai toujours été fasciné par les transactions commerciales à distance et j'étais sûr que le potentiel était conséquent.
Le secrétaire général de la Fédération nationale des travailleurs du textile et cuir (FNTTC), Benyoucef Zenati, appelle à l’application des recommandations des assises nationales organisées les 30 et 31 janvier 2023. Selon lui, il est aisé de produire du coton et de la fibre synthétique en Algérie.
Une enquête, réalisée par le Centre d’information et de documentation sur les droits de l’enfant et de la femme (Ciddef) sur les opinions et attitudes des Algériens, vis-à-vis de la valeur d’égalité entre hommes et femmes, a donné des résultats hallucinants.
Le 10 septembre dernier, le Grand barrage de la Renaissance éthiopienne a connu sa quatrième et dernière phase de remplissage et devient donc un fait accompli qui met les autorités égyptiennes face à des réalités redoutées depuis plus de 12 années.
Le corridor comprend 10 000 km de voies ferrées, un budget d’investissement de 100 milliards de dollars, dont une partie sera supportée par l’Arabie Saoudite, et 10 millions d’emplois en perspective.
Après la réunion des BRICS, qui s’est soldée par son extension à de nouveaux pays, dont l’Arabie Saoudite et les Emirats arabes unis, ce bloc revendique désormais 45% de la population mondiale, près de 30% du PIB mondial, plus de 50% de la croissance et surtout plus de la moitié de la production des énergies fossiles.
Une découverte récente suggère que nos ancêtres Homo sapiens et les Néandertaliens ont peut-être partagé les mêmes sites.
Le phénomène de l’exploitation illégale des plages est loin d’être totalement éradiqué. Certains jeunes continuent de défier l’État et imposent de nouveau leur loi.
Les destinations préférées des Algériens, selon de nombreuses agences de voyages, sont la Tunisie, la Turquie (Antalya), l’Egypte (Sharm el Sheikh), la Malaisie et les côtes européennes de la Méditerranée pour ceux qui ont la chance de décrocher le fameux visa Schengen de type C à entrées multiples.
De janvier jusqu’à la fin du mois de juin, 1,13 million d’Algériens, en majorité des touristes, ont franchi les frontières tunisiennes à travers les différents postes frontaliers, dont celui d’Oum Teboul (El Tarf) considéré comme étant le plus important du pays.