Le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, a réaffirmé la volonté de l’Algérie d’établir «un partenariat régional solide et efficace» et de devenir «un pôle énergétique dans la région et un axe d’échange énergétique grâce à de nombreux projets (…)».
La mise en place d’une carte minutieuse des potentialités nationales, en vue de la réalisation de projets d’investissement dans le domaine agricole dans les wilayas du Sud, permettra d’activer le plan national de développement des cultures stratégiques.
D’emblée, on annonce que la récolte de cette saison sera supérieure de 320 000 quintaux à celle de la saison précédente qui avait connu la production de 210 000 quintaux, et ce, conséquemment à l’extension des superficies emblavées qui ont dépassé 63 000 hectares contre 54 000 hectares la saison précédente. Soit une augmentation de 16%.
La tendance s’annonce baissière à l’échelle internationale, même si la production américaine est attendue en hausse, selon les prévisions de l’USDA.
Le ministre des Finances, Laaziz Faid, a, le 9 mai dernier, insisté sur l’amélioration de la qualité des données de l’ONS.
Grâce aux mesures de régulation et de rationalisation des importations, la facture a enregistré une baisse passant de 44 milliards USD en 2023 contre 60 milliards USD auparavant.
Depuis le début du XXe siècle, l’Afrique a connu pendant plusieurs décennies un déclin généralisé de la qualité des sols agricoles, un phénomène qui se poursuit aujourd’hui et qui a un impact négatif sur la capacité de production agricole et la sécurité alimentaire du continent.
A l’occasion de l’assemblée générale (AG) de l’Association professionnelle des banques et des établissements financiers (ABEF), le ministre des Finances, Laaziz Faid, a appelé les banques à innover en matière de produits financiers.
Placé sous le signe : «L’Afrique qu’on veut», le sommet, avec la participation de 250 investisseurs et hommes d’affaires de 39 pays africains, s’inscrit dans le cadre de la concrétisation de la vision algérienne pour le marché africain.
Les allocations sont arrêtées en fonction du capital et du nombre des salariés. Plus le capital est élevé, plus le droit au change augmente. Dans la même catégorie d’entreprises, le niveau de change est fixé en fonction du nombre des effectifs…
L’Algérie a réalisé un taux de croissance de 4,1% en 2023, un niveau proche de celui prévu par le Fonds monétaire international (FMI). Parallèlement, le solde de la balance des paiements a affiché un excédent de 6,53 milliards de dollars (mds USD) en 2023 alors que les réserves de change ont progressé de 61 mds USD en 2022 à 69 mds USD en 2023, soit l'équivalent de 16 mois d'importation de marchandises et de services.
Le ministre des Finances, Laaziz Faid, a annoncé que le nombre des comptes épargnes a atteint les 12 millions à fin 2023 pour un montant total de plus de 3600 milliards de dinars.
De 71 milliards de dinars ( mdsfa) fin 2023, la capitalisation boursière est passée à plus de 530 mds DA, soit 4 mds de dollars après l’introduction du Crédit populaire d’Algérie (CPA) à la Bourse d’Alger. Le CPA, qui bouclera ce 26 avril un mois sur ce marché, a ainsi multiplié par sept la capitalisation boursière.
Le délégué général de l’Association professionnelle des banques et établissements financiers (ABEF), Rachid Belaid, qui intervenait hier devant la commission des finances et du budget de l’Assemblée populaire nationale (APN), a annoncé le lancement prochain, en collaboration avec la Société d’automatisation des transactions interbancaires et de la monétique (Satim) et du Groupement d’intérêt économique monétique (GIE Monétique), de cartes de paiement à débit différé.
La part des pays de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (Mena) dans les importations d’hydrocarbures de l’Union européenne (UE) est passée de 2,3% au premier trimestre de 2022 à 5,8% au quatrième trimestre de 2023. L’Algérie et l’Arabie Saoudite ont capté l’essentiel de cette hausse, selon le Fonds monétaire international (FMI).
Le processus d’adhésion de l’Algérie à la banque des BRCIS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) «suit son cours selon le calendrier arrêté».
Lors d’une réunion d’évaluation du secteur agricole tenue jeudi dernier avec les 58 directeurs des services agricoles, la campagne moisson-battage 2023/2024 était au centre des débats.
Les réunions annuelles du printemps de la Banque mondiale (BM) et du Fonds monétaire international (FMI) ont débuté, hier, à Washington, en présence du ministre des Finances, Laaziz Faid, et du gouverneur de la Banque d’Algérie, Salah Eddine Taleb, dans un contexte particulier marqué par les tensions géopolitiques et les inégalités entre pays.
L’Agence algérienne de promotion de l’investissement (AAPI) a enregistré, jusqu’à fin mars dernier, 6600 projets d’investissement déclarés d’une valeur de près de 3200 milliards de dinars. Sur ce total, l’agence a recensé 118 projets dans lesquels des entreprises étrangères sont impliquées, dont 44 investissements directs étrangers (IDE) et 74 en partenariat.
Alors que l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) a maintenu, dans son dernier rapport publié ce 11 avril, ses prévisions de progression de la demande pour 2024 par rapport aux prévisions du mois de mars tablant pour consommer 104,5 millions de barils de pétrole par jour (mb/j) en moyenne en 2024 (puis 106,3 mb/j en 2025 après 102,2 mb/j en 2023), les prix du baril ont augmenté. Une hausse engendrée par des facteurs géopolitiques notamment.