La demande de pétrole est partie pour connaître en 2025 une «croissance robuste», vers un nouveau record. C’est ce qu’indiquent les premières prévisions de l’année de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) publiées, hier, dans son rapport mensuel.
Ces projets s’inscrivent dans le cadre du renforcement du réseau logistique ferroviaire, «conformément aux orientations de l’Etat visant à accroître les capacités de stockage et de transport des céréales afin d’assurer leur disponibilité sur l’ensemble du territoire national».
Exploitant les résultats de l’enquête réalisée dans le cadre du projet de recherche Sahwa, initiée par l’Union européenne (UE) et sur un échantillon de 10 000 jeunes dans ces cinq pays de la région Mena (Moyen Afrique du Nord) dont l’Algérie, Yougourtha Bellache, enseignant-chercheur à l’université de Béjaïa, a publié tout récemment une étude sur ce dossier en Algérie.
Pour le ministre de l’Agriculture, le succès de cette démarche «ne peut être obtenu sans l’adhésion des agriculteurs», d’où la nécessité de «prendre toutes les mesures, offrir toutes les facilités et mobiliser les moyens nécessaires pour les investissements dans ce domaine et la réalisation de l’objectif escompté».
Concernant l’assainissement du foncier agricole dans le cadre du programme de possession de propriété de foncier agricole, au titre de la loi d’août 1983, l’Office a identifié 241 840 hectares.
En 2023, le groupe de la Banque africaine de développement (BAD) a financé une série d’opérations clés en Afrique du Nord totalisant plus de 2 milliards de dollars dans divers secteurs stratégiques.
Avec un marché de 1,2 milliard de personnes, d’une valeur de 3000 milliards de dollars et un Produit intérieur de 2500 milliards de dollars, il est globalement attendu que les potentialités et les capacités économiques du Continent connaissent une exploitation optimale grâce aux flux commerciaux intracontinentaux qui devront avoisiner les 52% au lieu du taux actuel.
Pour Arezki Rabah, ancien économiste en chef de la Banque mondiale pour la région Mena (Afrique du Nord/Moyen-Orient) et ancien vice-président de la Banque africaine de développement (BAD), la réussite de l’Afrique passe par la réforme de la gouvernance. Il estime, en effet, dans cet entretien, que l’Afrique ne réussira pas si on ne remet pas la gouvernance au cœur de la réforme et si on ne redonne pas confiance aux investisseurs. Il s’agit aussi pour notre économiste de dépasser la levée des barrières tarifaires dans le cadre de la Zone de libre-échange continentale africaine et de prendre en compte les véritables entraves qui bloquent le monde africain des affaires.
Le directeur général du Trésor et de la gestion comptable des opérations financières de l’Etat, Hadj Mohamed Sebaa, abordant hier le dossier de la dette publique du pays, a fait savoir que celle-ci est quasi exclusivement interne, représentant 47% du PIB. Et de rappeler que les normes internationales sont entre 60-65% du PIB.
Parmi les risques supplémentaires pour 2024, figure l’extension possible des attaques de la mer Rouge au golfe Persique, ce qui pourrait affecter les expéditions de pétrole…
Selon la dernière note de l’Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO), l’Indice des prix des produits alimentaires s’est établi à 118,5 points en décembre 2023.
L’année qui s’écoule aura fortement marqué le secteur des mines à travers une relance effective de l’activité. Depuis le début de 2023, les orientations pour développer les projets miniers structurants se sont multipliés et le gouvernement a axé ses efforts sur ce dossier et sur la valorisation des richesses souterraines. Objectif : permettre au secteur dont lequel les richesses ne manquent pas de contribuer à la diversification de l’économie.
Sur les plans agricole et agroalimentaire, aux perturbations ayant marqué l’année 2023 en matière de distribution de certains produits de base et la flambée des prix qui s’est poursuivie tout au long de cette période poussant l’inflation vers le haut, des changements positifs étaient également au rendez-vous.
Un deuxième mode de financement a également été finalisé cette année. Il s’agit des organismes de placement collectif à risque (OPCR), destiné aux PME, à travers des participations dans les PME avec une certaine prise de risque.
Le marché des obligations de la Bourse d’Alger n’a pas connu de nouvelles introductions en 2022. «Cette situation persiste depuis plusieurs années. La dernière émission d’emprunt obligataire coté en bourse, remonte à l’année 2009, et l’échéance du dernier emprunt obligataire cotée remonte à 2016», précise un rapport de la Cosob.
L’Office national interprofessionnel du lait importe globalement 46% des besoins nationaux en poudre de lait, alors que les usines privées en importent 54%. L’exonération de l’impôt forfaitaire unique (IFU), des chiffres d’affaires réalisés issus des activités de collecte et de vente de lait cru, tel que prévu dans la loi de finances 2024, changera-t-elle la donne ?
Amar Abba, ancien ambassadeur à Londres pendant une décennie, a apporté son éclairage sur la diplomatie africaine. Il a énuméré les priorités à prendre en charge dans le cadre de l’intégration de l’Afrique, considérée «comme notre profondeur stratégique».
Le président Abdelmadjid Tebboune a clairement indiqué que seules les entreprises activant dans des secteurs où les besoins du marché local sont entièrement satisfaits seront autorisées à exporter. Il y a donc lieu, selon le chef de l’Etat, d’élaborer un listing des entités économiques et des filières couvrant les besoins nationaux avant d’accorder les autorisations d’exporter vers l’Afrique.
Un fort apport est attendu de ce laboratoire désormais opérationnel dans la station de l’Institut technique de l’arboriculture fruitière et de la vigne (ITAFV).
Du nouveau pour la réduction du poids des contentieux fiscaux et pour le recouvrement des rôles en suspens. En application de l’article 15 de la loi de finances rectificative 2023 (LFR-2023) publié le 5 novembre dernier au Journal officiel, le ministère des Finances a adressé au début de ce mois de décembre une instruction à la direction des grandes entreprises (DGE) et aux directions des impôts de wilaya.