Mardi après-midi, le proche de Donald Trump a répondu aux questions des journalistes aux côtés du président américain, lors d’une rencontre surprise. L’occasion de défendre l’action de ses équipes du «DOGE».
Un rapport du Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme (HCDH) accuse le régime bangladais déchu d'être responsable de crimes contre l'humanité lors de la répression du mouvement de protestation de l'été 2024.
Le Parlement grec a élu Constantine Tassoulas, membre éminent du parti conservateur Nouvelle-Démocratie (ND), à la présidence de la République hellénique. Ce poste, bien qu'essentiellement honorifique, est un symbole important de l'unité nationale.
Au nom de la «sécurité intérieure» et de la lutte contre l’immigration clandestine, l’Allemagne avait rétabli des contrôles temporaires à toutes ses frontières le 16 septembre 2024, pour une durée de six mois.
Le président américain Donald Trump a réitéré sa décision de prendre Ghaza, après la déportation forcée de sa population, et promis l’enfer à la résistance palestinienne si l’ensemble des otages ne sont pas libérés samedi avant midi.
Les manifestants scandaient : «L’argent du peuple est parti où ? Il est à Panama et a été gaspillé dans les fêtes des riches» ou encore : «Wahya, wahya, wahya, wahya… Ce gouvernement est une mafia.»
Le gouvernement espagnol a annoncé hier la régularisation des migrants en situation irrégulière affectés par les inondations qui ont fait 232 morts le 29 octobre dans la région de Valence, confrontés pour certains à des situations «d’extrême vulnérabilité».
La peur d’une prochaine attaque s’est déjà emparée de Bukavu, cité d’un million d’habitants. Les écoles ont fermé vendredi. Mardi, les banques sont restées portes closes.
La guerre qui sévit depuis avril 2023 au Soudan a entraîné la «pire crise humanitaire au monde», avec des centaines de milliers d’enfants qui souffrent de malnutrition sévère aiguë, a observé hier l’Union africaine (UA), rapporte l’AFP.
«Je pense que je pourrais conclure un accord avec la Jordanie. Je pense que je pourrais conclure un accord avec l’Egypte. Vous savez, nous leur donnons des milliards et des milliards de dollars par an», a déclaré Trump dans une interview accordée à Fox News. Il laisse ainsi clairement entendre qu’il n’hésiterait pas à recourir au chantage pour obliger ses partenaires arabes à accepter son deal et aller au bout de son plan d’une nouvelle Nakba.
Au Japon, un fonctionnaire du ministère des Finances a perdu des documents contenant des informations personnelles sur une centaine de personnes soupçonnées de trafic de stupéfiants.
Les paramilitaires ont intensifié ces dernières semaines leurs attaques contre la ville et ses environs, bombardant des camps de déplacés et affrontant les milices alliées à l'armée.
Le deuxième parti politique d'Afrique du Sud et membre de la coalition gouvernementale, l'Alliance démocratique (DA), a demandé l'annulation de la loi sur l'expropriation qui a mis le feu aux poudres entre le pays et l'administration de Donald Trump aux Etats-Unis.
La tournée du chef de la diplomatie chinoise intervient alors que le retour de Trump à la Maison Blanche ne fait qu’augmenter la tension avec Pékin sur moult sujets.
Le président iranien Massoud Pezeshkian a accusé hier son homologue américain Donald Trump de vouloir «mettre à genoux» la République islamique, lors d’un discours à l’occasion du 46e anniversaire de la Révolution qui a renversé la monarchie Pahlavi, rapporte l’AFP.
Dans une interview accordée à l’AFP, Bassem Naïm, membre du bureau politique du Hamas, a fustigé les manœuvres de Benyamin Netanyahu pour faire échouer le processus de cessez-le-feu en cours. «Ce que nous constatons, c’est un retard et un manque d’engagement dans la mise en œuvre de la première phase, ainsi qu’une tentative de créer un environnement politique, diplomatique et médiatique destiné à faire pression sur les négociateurs palestiniens avant l’entrée dans la deuxième phase. Cela met clairement l’accord en danger et pourrait mener à son arrêt ou son effondrement», a déclaré Bassem Naïm.
Les militaires israéliens en voyage à l’étranger sont de plus en plus menacés de poursuites pour leur participation à la guerre génocidaire à Ghaza. Si l’Australie et la Nouvelle-Zélande imposent aux soldats demandeurs de visa un questionnaire sur leur service militaire à Ghaza, de nombreux autres pays ont ouvert des enquêtes pour crimes de guerre, après les plaintes déposées par des associations pro-palestiniennes, dont la fondation belge «Hind-Rajab», qui traque les soldats israéliens à travers le monde.
Les médias espagnols ont fait état, ces derniers jours, d’une série d’expulsions du Sahara occidental, un territoire que l’ONG Reporters sans frontières (RSF) considère comme «un trou noir de l’information» en raison du strict contrôle policier et militaire imposé par l’Etat occupant, le Maroc.
Il est le dernier d’une génération de dirigeants africains qui ont sorti leur pays du joug colonial ou de la domination d’une minorité blanche.
La guerre qui ravage la Cisjordanie est d’abord et surtout une guerre tactique et politique. Deux jours après l’accord de trêve avec Ghaza, le 21 janvier 2025, Israël a lancé cette opération «Mur de fer», que le Premier ministre Benyamin Netanyahu justifie par une volonté d’«éradiquer le terrorisme» à Jénine. Mais derrière les discours sécuritaires, la perspective d’une annexion se profile de manière de plus en plus explicite.