Par secteur d’activité, la demande de gaz provient essentiellement de l’industrie. C’est en effet le secteur qui a enregistré la plus forte augmentation du taux de demande au cours de l’année écoulée, avec environ 28 milliards de mètres cubes de gaz, soit un plus de 2,6% en une année.
La nouvelle politique dans le secteur du dessalement tend à utiliser les composantes et les matériaux produits localement et à recourir à la sous-traitance avec des entreprises algériennes.
L’industrie automobile n’est que la partie dans laquelle apparaît le travail qui se fait pour le développement de la sous-traitance, mais les efforts sont concentrés sur l’ensemble des secteurs industriels, selon Rachid Bekhechi, président de la Bourse de sous-traitance et de partenariat de l’Ouest.
«Nous disposons de toute une série d’infrastructures non utilisées, des anciennes fermes pilotes, et qui peuvent être rentabilisées de façon optimale pour accroître la production nationale», a déclaré le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Youcef Cherfa.
A chacun son discours et à chacun ses engagements dans cette campagne électorale pour redynamiser l’économie.
La cellule aura pour principale mission d’analyser les éléments de stabilité du marché national en termes de capacités de production et de transformation, en proposant des solutions intelligentes afin de développer une production locale durable utilisant des technologies modernes.
L’Algérie se classe au huitième rang mondial des importateurs de sucre, et premier africain avec 1,942 million de tonnes importées en 2023-24. Les prévisions de l’USDA tablent sur des importations de 1,945 million de tonnes pour la campagne 2024-25.
La récupération des biens saisis dans le cadre des affaires de corruption a touché 108 entités entre 2022 et 2024. Cette dernière année a été marquée par le transfert de 77 actifs, dont 51 durant la première étape et 26 en ce mois d’août. En 2022, l’opération a concerné 15 entreprises, 8 unités de production, 5 projets de promotion immobilière et un centre d’affaires, soit un total de 31 actifs.
Considérés comme un moyen d’attirer les liquidités thésaurisées et d’intégration des fonds circulant hors circuit bancaire, les produits de la finance islamique (FI) sont au cours de ces quatre dernières années de plus en plus commercialisés au niveau des banques.
Pour l’expert financier Mostefa Zerouali, la dynamique d’innovation et de créativité des produits et services en fonction des besoins et des attentes des clients est là. Les efforts sont à poursuivre, estime t-il soulignant que les améliorations réglementaires et procédurales vont améliorer l’efficacité et l’efficience des solutions proposées par la finance islamique. Ce qui permettra aux guichets et aux banques concernées de mieux maîtriser les coûts et les frais de leurs produits et de leurs prestations.
Dans le secteur des Finances, le cap est mis sur la modernisation du marché de la dette publique. Le dossier a été lundi 12 août au centre des discussions entre le ministre des Finances, Laaziz Faid, et les cadres de la Direction générale du Trésor et de la comptabilité (DGTC).
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) a réduit hier, dans son rapport mensuel, ses prévisions de croissance de la demande mondiale de pétrole en 2024, citant des données plus faibles que prévu pour le premier semestre de l’année et des attentes plus faibles pour la Chine.
Dans son dernier bulletin sur l’évolution des prix à la consommation entre 2014 et 2023, l’Office national des statistiques (ONS) a évalué le taux d’inflation dans le Grand Alger en 2023 à 9,3%, tout comme celui de 2022.
Si globalement, la croissance économique en Algérie a enregistré un rebond en 2023 pour passer de -5% (récession en 2020) à 3,8% en 2021, 3,6% en 2022 à 4,1% en 2023 grâce à l’accélération du rythme de croissance des industries extractives (4,8%), certains secteurs ont connu une baisse de leurs performances par rapport à 2022. Selon, le dernier rapport de la Banque d’Algérie, ils sont au total sept secteurs dominants.
En application des résultats du Conseil des participations de l’État (CPE) relatifs à la récupération des biens dans le cadre de la lutte contre la corruption, le transfert de la propriété des entreprises concernées à des sociétés publiques se poursuit.
Les indicateurs concernant la production céréalière française pour la saison qui s’achève sont au rouge. Les analystes du marché parlent d’une chute spectaculaire des rendements. La récolte de blé tendre 2024 s’annonce d’ailleurs comme «l'une des plus faibles des 40 dernières années».
La BA fait certes ressortir «des indicateurs qui témoignent des bons résultats» de l’économie nationale en 2023, avec la reconstruction du stock des réserves officielles de change, qui sont passées de 60,944 milliards de dollars à fin 2022 à 68,988 milliards de dollars à fin 2023, mais les défis à relever restent importants.
Dans cet entretien, Karim Tedjani, consultant en développement durable, aborde la question cruciale de la disponibilité de l’eau à l’ère des changements climatiques et de la raréfaction de cette ressource. De même qu’il propose des pistes de réflexion pour assurer une distribution équitable et une utilisation rationnelle des ressources hydriques, notamment dans les secteurs économiques.
La promotion des exportations hors hydrocarbures (HH) continue d’être au centre d’intérêt et de débats entre les différents acteurs concernés par ce dossier.
Avec une dette publique soutenue qui atteint plus de 168 milliards de dollars à fin décembre 2023, l’Egypte devrait rembourser près de 32,8 milliards de dollars (Mds USD) de dette à moyen et long termes durant l’année 2024, selon la Banque centrale.