Les débats autour de la situation humanitaire à Ghaza se sont poursuivis très tard dans la soirée d’hier, au sein du Conseil de sécurité de l’Onu, et devront se terminer par le vote d’un projet de résolution présenté et rédigé par le Guyana et les 10 membres non permanents du Conseil de sécurité, exigeant un cessez-le-feu «immédiat, inconditionnel et permanent» à Ghaza.
Jamais l’administration américaine ne s’est autant couchée que celle de Joe Biden. Celui-ci a fait preuve d’une horrible faiblesse devant Benyamin Netanyahu, qui n’a raté aucune occasion de l’humilier publiquement ainsi que son secrétaire d’Etat Antony Blinken.
Tout ce que compte la France, principalement Paris, en sionistes militants et sympathisants se mobilise pour voler au secours d’Israël et de son gouvernent englués dans une guerre interminable et dévastatrice sur divers fronts, dénoncée par le monde entier pour son impact génocidaire sur les populations de Ghaza et du Liban.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a ouvert, hier, à la demande de l’Algérie, du Guyana, de la Slovénie et de la Suisse, un débat sur la famine au nord de Ghaza. La réunion se tient alors que le délai d’un mois imposé par les Etats-Unis à Israël, pour autoriser l’accès de l’aide humanitaire à l’enclave sous peine de blocus sur les armes, tire à sa fin sans que l’Etat hébreu n’apporte les réponses exigées.
C’est un témoignage édifiant venu du XXe siècle. L’actualité immédiate du génocide en cours à Ghaza fait écho aux humiliations anciennes subies par le peuple palestinien sur sa terre.
L'Iran a récemment demandé l'instauration d'un embargo sur les armes à destination d'Israël et a exigé son exclusion des Nations Unies, en réaction à une frappe israélienne survenue près de Damas, en Syrie.
En pleine escalade des tensions au Moyen-Orient, un groupe de huit journalistes marocains du secteur public et privé a effectué une visite en Israël du 4 au 9 novembre. Cette invitation, émise par le gouvernement israélien et organisée par le bureau de liaison israélien à Rabat, a suscité de vives réactions au sein de l’opinion publique marocaine et arabe, en raison du contexte actuel de violences intensifiées à Ghaza et des attaques qui se sont étendues jusqu’au Liban.
Très mauvaise nouvelle pour le peuple palestinien, son ennemi mortel vient d’entrer à la Maison-Blanche. Le psychopathe Benyamin Netanyahu a tout fait pour prolonger la guerre, engageant l’armée israélienne dans la pire campagne de massacres et de destructions depuis la création d’Israël.
Pour Israël, les Etats-Unis n’hésitent pas à se transformer en pyromanes, à se transformer en ennemis de la paix et de la justice, en violation de leurs obligations internationales en tant que membres du Conseil de sécurité de l’ONU.
La Fédération palestinienne de football (FPF) a demandé et obtenu l’inscription à l’ordre du jour du 74e congrès de la FIFA tenu à Hong Kong, la situation en Palestine. Les crimes de guerre commis par l’armée israélienne ne laissent plus personne indifférent sur le drame que vit le peuple palestinien.
Tout au long de ces 7 mois d’agression contre les populations civiles palestiniennes, on a pu se rendre compte à quel point le degré d’inhumanité a été chaque jour dépassé par les ordonnateurs du génocide et de l’épuration ethnique qui n’épargnent ni femmes ni enfants.
Au nord-ouest de Rafah, ville assiégée depuis plusieurs jours, au moins neuf Palestiniens, en majorité des enfants, sont tombés en martyrs, à la suite d’une attaque aérienne israélienne contre une maison.
La suspension de la livraison d’armes, au-delà de l’impact recherché sur l’opinion, aussi bien en sol américain que dans le monde, est aussi une manière d’isoler davantage Netanyahu et de l’affaiblir en interne pour précipiter sa chute.
Le plan tant redouté d’une vaste offensive sur Rafah a franchi, hier, un cap opérationnel inquiétant : l’armée sioniste a entamé l’évacuation de la population civile de la région en commençant par les quartiers est de la ville. Cette première évacuation concernerait quelque 100 000 personnes.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, a annoncé, hier, la fermeture des bureaux de la chaîne qatarie Al Jazzera en Israël. Le gouvernement israélien a «décidé à l’unanimité» de «fermer en Israël» la chaîne Al Jazeera, a-t-il indiqué dans un message sur X (anciennement Twitter), sans autre détail sur les mesures prises.
Les images retransmises par la télévision Al Jazeera et les réseaux sociaux ont révélé l’ampleur des massacres perpétrés contre des femmes, des enfants et des hommes sans défense, ensevelis au bulldozer, à l’intérieur du complexe hospitalier Al Shifa, par les militaires israéliens.
Le gouvernement israélien mesure parfaitement l’impact d’un débat ouvert actuellement sur l’octroi d’un statut d’Etat membre de l’ONU à la Palestine et s’affole à l’idée que le sujet soit mis sur la table au moment où il mène une guerre censée définitivement enterrer la perspective d’un territoire souverain pour les Palestiniens.
L'invasion de Rafah aura lieu dans quelques jours. Netanyahu en a fait l’annonce publiquement, au lendemain de la décision prise par le Congrès américain d’octroyer à Israël la somme de 26 milliards de dollars, s’ajoutant à celle débloquée, il y a trois mois, de 14 milliards de dollars.
L’armée israélienne a de nouveau bombardé hier la bande de Ghaza, notamment la ville de Rafah, six mois et demi après le début de son agression contre le territoire palestinien.
C’est la fin du temps et la pourriture politique pollue notre monde ! Plus de morale ! Plus d’éducation ! Les sauvages inhumains veulent arriver à un prétendu nouvel ordre mondial sous les bombes et les missiles.