Rien ni personne ne semble retenir la folie exterminatrice des sionistes et des suprémacistes racistes du gouvernement de Tel-Aviv, dirigé par Netanyahu, à l’égard des Palestiniens de Ghaza ou de Cisjordanie. Crimes contre l’humanité, crimes de guerre sont perpétrés au quotidien par les Israéliens sur les territoires palestiniens, aujourd’hui occupés dans ce qui se précise, de plus en plus, comme une opération de nettoyage ethnique. Sans doute la plus importante, la plus dévastatrice entreprise depuis la Nakba de 1948.
La guerre commerciale que vient de déclencher le président des Etats-Unis avec l’offensive sur les droits de douane, appliqués aux produits entrant sur le sol américain et provenant de l’étranger, n’en finit pas d’avoir des répercussions au niveau de la planète. Lundi dernier, pratiquement toutes les Bourses des pays occidentaux ont ouvert en baisse. Un «lundi noir». Le pétrole a aussi perdu de sa valeur sur les marchés entre 15 et 16%.
Chaque jour qui passe apporte la confirmation que l’entité sioniste est actuellement dirigée par des sionistes, suprémacistes, génocidaires et de surcroît néonazis. La preuve vient, cette fois, de situations politiques intérieures en Israël.
La guerre génocidaire ordonnée par Netanyahu et les suprémacistes, sionistes de son gouvernement contre la population de Ghaza, déclenchée au lendemain du 7 octobre 2023, vient de dépasser le seuil des 50 000 morts et 100 000 blessés, dont plus de 70% sont des femmes et des enfants.
Les génocidaires de Tel-Aviv et leurs complices ne veulent pas de la paix en Palestine. C’est aujourd’hui une certitude bien établie. Trois semaines après le sixième échange de prisonniers entre Israël et le Hamas, les suprémacistes racistes sionistes, non satisfaits d’avoir voulu affamer les deux millions de Ghazouis en empêchant l’entrée de toute aide humanitaire, contrairement à ce que prévoit l’accord de cessez-le-feu signé le 15 janvier dernier, ont décidé de couper l’unique ligne d’électricité qui alimente la bande palestinienne et qui dessert, entre autres, la seule usine de dessalement de l’eau de mer.
On a souvent invoqué la «stratégie du fou» pour tenter d’expliquer le comportement du président américain, notamment lors de l’entrevue qu’il a eue avec le président ukrainien dans le Bureau ovale de la Maison-Blanche.
On le savait raciste, suprémaciste, génocidaire, voilà que depuis sa dernière visite à Washington, où il a rencontré Donald Trump l’impérialiste qui ne cache pas sa volonté de conquérir les pays voisins des Etats-Unis, le Canada, le Mexique, Panama, son canal et même le froid Groenland, le Premier ministre sioniste, Benyamin Netanyahu, vient de dévoiler sa nature néo-nazie, arabophobe et islamophobe.
Tout le monde va adorer l’idée.» C’est ce qu’a déclaré, avec prétention, Donald Trump dans le Bureau ovale de la Maison-Blanche, à Washington, à propos de sa dangereuse proposition de transférer la bande de Ghaza à l’Administration américaine, après avoir exilé sa population ailleurs, vers la Jordanie, l’Egypte ou pourquoi pas le Maroc !
Coup sur coup le président Trump vient d’insulter les Palestiniens. Il a proféré une dernière offense, lors de la visite de Benyamin Netanyahu à Washington.
Après quinze mois d’une guerre génocidaire dévastatrice ordonnée par Benyamin Netanyahu et les suprémacistes racistes de son gouvernement, le cessez-le-feu entré en vigueur le 19 janvier dernier a été accueilli dans la joie et la liesse par la population de Ghaza.
Toutes les guerres ont leurs images tragiques qui témoignent de la folie meurtrière qui s’empare des hommes.
Après plus de 450 jours d’un génocide contre la population de Ghaza ordonné par Benyamin Netanyahu et les suprémacistes racistes de son gouvernement, incarnés, entre autres, par Smotrich et Ben Gvir, les dirigeants sionistes n’arrivent toujours pas à admettre leurs défaites.
La preuve de l’engagement, sans faille, et du soutien à toute épreuve envers Israël de la part d’une administration américaine sur le départ vient encore d’être fournie récemment.
C’est avec douleur que je pense à Ghaza, à tant de cruauté, aux enfants mitraillés, aux bombardements d’écoles et d’hôpitaux.»
On s’attendait à tout, sauf à ça ! Qu’un haut fonctionnaire de l’Organisation des Nations unies fasse preuve d’autant d’aveuglement et de discrimination à l’égard des Palestiniens qui subissent un véritable génocide, ordonné par Benyamin Netanyahu et les suprémacistes racistes de son gouvernement.
Au lendemain de la «chute» de Damas et de la fuite de Bachar Al Assad, plusieurs pays européens, dont la France, l’Allemagne, le Danemark, la Belgique, la Norvège, la Suède et la Grèce, ont annoncé, en cascade, la suspension de l’examen de demandes d’asile, émanant de Syriens. Le Royaume-Uni et la Suisse les ont immédiatement suivis. L’Autriche est allée jusqu’à annoncer qu’elle préparait un programme de rapatriement et d’expulsion de réfugiés syriens !
On pensait que le pire de l’horreur avait été atteint dans la guerre génocidaire que mène Israël contre les Palestiniens qui vivent un véritable calvaire depuis 420 jours.
Israël vient de reconnaître que son armée a été à l’origine de l’assassinat de six de ses ressortissants détenus à Ghaza par le Hamas, après l’attaque du 7 octobre 2023. Ces prisonniers enlevés par le Hamas auraient étés tués, ainsi que leurs six gardiens palestiniens, lors d’une attaque sioniste, en février dernier.
«… Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années.»
Le jeune reporter de la chaîne Al Jazeera, Fadi Al Wahidi, est aujourd’hui alité et plongé entre la vie et la mort, dans un hôpital de Ghaza. Blessé le 9 octobre dans un camp de réfugiés de Jabalya par un tir israélien, son état s’est rapidement détérioré faute de soins adéquats.