Après des semaines de spéculations, le président Abdelmadjid Tebboune a finalement annoncé hier la composition de son nouveau gouvernement, marqué par des changements dans des secteurs clés, notamment économiques.
L’intensification des bombardements israéliens, combinés à un siège total, se poursuit dans la bande de Ghaza. Les dernières frappes aériennes, qui ont visé des immeubles résidentiels à Beit Lahiya, Nuseirat et Bureij, ont coûté hier la vie à 96 Palestiniens en une seule matinée, selon le bureau médiatique de Ghaza. Parmi les victimes, une proportion importante de femmes et d’enfants.
Lorsqu’elle avait six ans, Saâda Arbane, vivant dans un village isolé, niché entre les wilayas de Tiaret et Djelfa, a vu toute sa famille massacrée par un groupe armé lors de la décennie noire qui défigura l’Algérie dans les années 1990. Seule rescapée de ce carnage, elle a survécu à des blessures effroyables, une tentative d’égorgement, et a perdu sa voix à jamais. Une épreuve inimaginable qu’elle a portée sur ses épaules pendant près de 25 ans, en silence et dans la douleur.
«Les quantités quotidiennes de pluie qui s’abattent sur le pays sont équivalentes désormais aux quantités annuelles», relève-t-il. Un constat qui s’est vérifié en septembre dernier à Béchar, où des pluies d’une violence inouïe ont déversé l’équivalent de 105 millimètres d’eau.
En mêlant des influences orientales aux codes modernes de la fantasy, Muslim offre aux lecteurs une évasion vers un monde peuplé de djinns et de sorcières, où l’imaginaire se fait, en creux, le miroir de questions sociales et identitaires profondes.
Une frappe à Ghaza-ville a tué cinq autres personnes, alors que des civils demeurent encore ensevelis sous les décombres.
La plus jeune victime recensée est un nourrisson âgé d’à peine un jour, et la plus âgée, une femme de 97 ans.
Le guerre menée contre la bande de Ghaza depuis plus d’un an semble avoir franchi un nouveau seuil d’intensité tragique et de souffrance humaine. Depuis plusieurs semaines, l’armée d’occupation israélienne intensifie ses opérations militaires dans cette région densément peuplée, multipliant les évacuations forcées, les frappes aériennes et les blocus. Au cœur de cette guerre, une population piégée entre les lignes de front, l'absence d'infrastructures essentielles et un accès humanitaire limité.
Israël a redoublé les frappes aériennes sur le Sud-Liban, touchant des localités comme Aaitat et Wadi Jilo dans le gouvernorat du Mont-Liban.
Le Liban vit sous le fracas incessant des bombardements israéliens. Le ministère libanais de la Santé publique a annoncé que plus de 3000 personnes ont perdu la vie et près de 13 500 autres ont été blessées dans les attaques israéliennes menées depuis 13 mois contre des localités libanaises.
Depuis un mois, le Liban est en proie à un déluge de feu. L’armée d’occupation israélienne, après des semaines de bombardements intensifs, poursuit son agression militaire contre le pays du Cèdre.
Dans un contexte de chaos et de frappes brutales et intenses, l’armée d’occupation israélienne a lancé hier un nouvel appel à la population libanaise pour évacuer certaines zones de Baalbeck, région à l’est du Liban.
La bande de Ghaza est encore et toujours le théâtre d’une intensification brutale et barbare de l’offensive militaire israélienne. Dans ce territoire sous blocus, les frappes israéliennes se multiplient, ciblant des zones densément peuplées.
Soixante-dix ans après l’assassinat de Larbi Ben M’hidi, figure emblématique du Front de libération nationale (FLN) et membre des Six ayant déclenché la Guerre de Libération nationale, la France reconnaît officiellement sa responsabilité dans l’exécution de ce héros de la lutte pour l’indépendance algérienne, renonçant enfin à la thèse du «suicide» longtemps brandie pour masquer ce crime d’Etat.
Krim Belkacem aura été le premier à prendre les armes, avant même que ne gronde officiellement la Révolution du 1er Novembre et le premier à apposer sa signature sur les Accords d’Evian. En inscrivant son nom le 19 juin 1962 sur l’accord marquant la fin de 132 ans de colonisation française, Krim Belkacem achevait un parcours hors du commun, pavé de clandestinité, de combats et de négociations historiques.
Alors que les bombardements israéliens sur la bande de Ghaza se poursuivent avec une intensité redoublée, le Nord de l’enclave est désormais plongé dans une crise humanitaire sans précédent.
Après une nouvelle nuit d’horreur, les secouristes de la ville de Tyr exploraient hier chaque recoin de débris à la recherche de survivants. Il s’agit, une fois de plus, d’une frappe aérienne israélienne d’une violence inouïe qui a rasé plusieurs quartiers de cette ville côtière du sud du Liban.
La guerre au Liban franchit un seuil inquiétant, marqué par des frappes israéliennes barbares et meurtrières et une attaque inédite sur la résidence privée du Premier ministre israélien.
L’Agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) a alerté sur un «vrai risque» de famine dans le territoire palestinien assiégé, accusant «certains membres du gouvernement israélien» d’en faire «une arme de guerre».
La réticence à reconnaître pleinement le massacre comme un crime d'Etat témoigne d’un malaise persistant. La mémoire de la guerre d’indépendance continue d’être un sujet sensible en France, entre tentatives de réconciliation et fractures mémorielles.