Le groupe Sonatrach expose, à l’occasion de la Semaine européenne de l’hydrogène (European Hydrogen Week), le potentiel de l’Algérie dans ce domaine, les perspectives de développement de la filière, ainsi que la stratégie mise en place pour développer ce segment, et plus globalement le secteur des énergies renouvelables.
La reprise de la production d’hydrocarbures en 2025, dans le cadre de la politique des quotas de l’Opep, augmenterait les recettes d’exportations d’hydrocarbures de l’Algérie et soutiendrait un rebond de la croissance en du pays 2025 selon les prévisions de la Banque mondiale (BM), incluses dans le dernier rapport semestriel consacré à l’Algérie.
Selon le document exposé, hier, dans les locaux de l’Institution à Alger, les économistes en charge du dossier de l’Algérie ont mis en évidence les bonnes performances de l’économie de notre pays qui a enregistré une croissance de 3,9% au premier semestre 2024 par rapport à la même période de l’année précédente, malgré la baisse de la production d’hydrocarbures.
Le marché accumule des inquiétudes à l’approche de l’expiration de l’accord de transit de gaz entre la Russie et l’Ukraine, prévu à la fin de l’année, alors qu’aucun nouvel accord n’est en vue.
L’arrêté prévoit un abaissement progressif du seuil de consommation, concernée par la négociation libre des prix. Il s’agit 200 millions de mètres cubes de gaz naturel par année pour la période 2025-2026 ; 100 millions de mètres cubes de gaz naturel par année pour la période 2027-2028 et 40 millions de mètres cubes de gaz naturel par année à partir de 2029.
Une réunion consacrée au projet du SoutH2 Corridor reliant l’Algérie à l’Italie, regroupant les différents partenaires, est prévue dans les prochains mois, en vue d’une déclaration d’intention visant à mettre en œuvre le projet, selon une déclaration du ministère italien de l’Environnement et de la Sécurité énergétiq
Les prix du pétrole brut étaient en voie de terminer la semaine en hausse, malgré un léger recul plus tôt dans la journée. Les marchés attendent de savoir quelles mesures prendra concrètement le nouveau président américain, Donald Trump, et quelles seront les répercussions sur l’offre de pétrole et sur la courbe des prix de l’or noir.
Les prix du pétrole étaient en nette hausse hier, en réaction à la décision de l’Opep+ de prolonger les réductions volontaires de huit de ses membres, dont l’Algérie, jusqu’à la fin de l’année.
L’adoption généralisée du captage, stockage et valorisation du dioxyde de carbone, en anglais - Carbon Capture, Utilization and Storage (CCUS) -, se heurte, selon le Forum des pays exportateurs de gaz (GECF), à de nombreux défis, en dépit de la reconnaissance du rôle de cette action dans la réalisation des objectifs climatiques mondiaux.
Dans cet entretien, Nordine Ait Laoussine, expert international et ancien ministre de l’Energie, analyse la situation du marché pétrolier. Une situation qu’il qualifie de «confuse et très incertaine». Il estime que les facteurs géopolitiques n’ont plus le même impact sur les prix du pétrole avec un contexte différent.
Une réunion consacrée au projet du SoutH2Corridor regroupant les différents partenaires européens ainsi que l'Algérie et la Tunisie se tiendra dans les prochains mois, en vue d’une déclaration d'intention visant à mettre en œuvre le projet.
Le Nigeria, premier producteur de pétrole d’Afrique avec 1,46 million de barils par jour, selon l’enquête Platts Opec de S&P Global Commodity Insights, ne développera son économie que de 2,9% en 2024 et de 3,2% l’année prochaine, selon le FMI.
Goldman Sachs a laissé jeudi ses prévisions de prix du pétrole inchangées, entre 70 et 85 dollars le baril de Brent en 2025, s’attendant à ce que l’impact d’une éventuelle relance chinoise soit modeste par rapport à des facteurs plus importants, tels que l’approvisionnement en pétrole du Moyen-Orient.
«Les pays du Sud, en Asie, en Afrique et en Amérique latine, devraient connaître une croissance significative de la demande de pétrole pendant une longue période», a indiqué le PDG de Saudi Aramco.
TaqatHy est mis en œuvre par GIZ Algeria mandatée par le ministère allemand de la Coopération économique et du Développement, en collaboration avec le ministère de l’Energie et des Mines.
Alnaft mise, entre autres axes de travail, sur l’exploitation du potentiel offshore, jusqu’à présent totalement inexploré, mais dont les possibilités ont été révélées par plusieurs études, confiées il y a quelques années à de grandes compagnies étrangères d’hydrocarbures, dont l’italien ENI et le français Total.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) révise légèrement à la baisse ses prévisions de croissance de la demande mondiale de pétrole pour 2024 et 2025.
Le groupe Sonatrach a procédé hier, à la signature d’un mémorandum d’entente avec la société espagnole Cepsa, pour la réalisation conjointe d’une étude de faisabilité pour le développement d’un projet intégré de production d’hydrogène vert et de dérivés, en Algérie, en vue d’approvisionner principalement le marché européen.
La demande de gaz naturel a nettement augmenté en 2024, et devrait rester sur une courbe ascendante en 2025, alors que l’offre ne cesse de décliner, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), qui avertit que cela pourrait conduire à une situation de pénurie d’approvisionnement en gaz à court terme.
L’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) a démenti les informations faisant état de l’exclusion «délibérée» des fournisseurs français de blé, suite au dernier appel d’offres.