Le rapport mensuel du GECF du mois de janvier 2024, diffusé sur son site internet, rappelle que le Forum a défendu, lors du Sommet mondial sur le climat COP28, tenu il y a quelques semaines aux Emirats arabes unis, «la voie du gaz naturel».
Les prix du pétrole ont entamé la semaine de cotation en nette hausse, le Brent dépassant largement les 83 dollars le baril, dans le sillage des tensions géopolitiques au Moyen-Orient.
La croissance de la demande mondiale de gaz devrait s’accélérer cette année en raison des températures hivernales plus froides et de la baisse des prix, les économies émergentes étant en tête de l’augmentation de la consommation, selon le rapport trimestriel sur le marché du gaz de l’ Agence internationale de l’énergie (AIE).
L’appui au programme transition énergétique en Algérie, notamment l’énergie éolienne et l’autoproduction d’électricité à partir de sources d’énergie solaire, a été au menu de la visite à Alger, d’une délégation de la Banque mondiale (BM), du 22 au 24 janvier courant.
Les expéditions de pétrole et de GNL en provenance du Moyen-Orient et des pays du Golfe sont de plus en plus retardées, car les pétroliers et les méthaniers sont contraints de détourner leur itinéraire initial, via le canal de Suez.
Les représentants de l’équipementier Ericsson ont souligné hier que le groupe suédois est fin prêt pour accompagner le lancement progressif de la 5G en Algérie, dès que les autorités concernées donneront le feu vert réglementaire à l’opération.
Les prix du pétrole ont eu du mal à se stabiliser depuis le début de cette année, augmentant et baissant une semaine sur deux. Cette tendance persiste alors que les fondamentaux du marché sont «bousculés» par l’impact des tensions au Moyen-Orient, dont la guerre menée contre la Palestine et les attaques en mer Rouge.
La Russie est devenue le premier fournisseur de pétrole de la Chine en 2023, en dépit des sanctions occidentales, selon les données des Douanes chinoises. La Russie a ainsi expédié un volume record de 107,02 millions de tonnes de pétrole brut vers la Chine l’année dernière, soit l’équivalent de 2,14 millions de barils par jour (b/j), bien plus que d’autres grands exportateurs de pétrole, tels que l’Arabie Saoudite et l’Irak.
Le projet du complexe MBTE à Arzew (Oran) s’inscrit dans le cadre du programme de développement de la pétrochimie, prévu dans le plan d’investissement à moyen terme de Sonatrach au golfe Persique, ce qui pourrait affecter les expéditions de pétrole.
La contribution de l’Organisation des pays arabes du pétrole (OPAEP) à la production mondiale de pétrole devrait atteindre 36,5% d’ici 2045, selon des experts qui se sont exprimés lors du Sommet libyen sur l’énergie et l’économie (LEES) tenu à Tripoli cette semaine.
La compagnie pétrolière Sonatrach et Sider El Hadjar ont signé, récemment à Alger, un important contrat de fourniture de 1000 km de pipelines destinés aux raccordements de ses puits.
Les transporteurs maritimes imposent désormais des coûts plus élevés pour l’acheminement des porte-conteneurs, à la suite des attaques contre les navires par des Houthis du Yémen. Les coûts mondiaux moyens pour expédier des conteneurs ont presque doublé depuis fin novembre en raison de la déviation imposée aux navires qui évitent désormais la mer Rouge.
Les Etats-Unis et la Russie étaient respectivement le second et le troisième fournisseurs durant l’année écoulée de l'Espagne. Les exportations russes ont grimpé de 35% en dépit des recommandations européennes exigeant la réduction de la part de gaz russe consommé en Europe.
Pour l’Opep, les efforts extraordinaires déployés par les pays membres de l’OPEP et les pays producteurs non membres de l’OPEP participant à la DoC, ont été évidents pour «soutenir» l’économie mondiale.
L’OPEP+ qui a entamé, en ce début d’année, une nouvelle série de réductions de production pour stabiliser le marché pétrolier, prévoit de tenir une réunion en ligne de son Comité ministériel conjoint de surveillance (JMMC) début février.
Selon une enquête Reuters, le prix du brut Brent se maintiendrait autour de 80 dollars et pourrait éventuellement dépasser les 90 dollars en 2024.
L’OPEP+ a été très active au cours des douze derniers mois, en vue de soutenir le marché et maintenir les prix du pétrole au-dessus de 80 dollars le baril, tout en faisant face à des facteurs géopolitiques en cascade, et de forts vents contraires ciblant ses parts de marché, et son emprise sur l’évolution des cours mondiaux de l’or noir.
Les cours de l’or noir sont soumis en cette fin d’année aux facteurs géopolitiques qui prennent le dessus sur la réalité des fondamentaux du marché et la régulation mise en place par l’Opep+ qui consent d’énormes réductions de production depuis des mois pour stabiliser les prix.
Moscou a répondu aux sanctions économiques occidentales en détournant, cette année, tous ses approvisionnements hors d’Europe, dont la quasi-totalité vers la Chine et l’Inde, selon les déclarations faites hier par le vice-Premier ministre, Alexander Novak.
Les prix du pétrole restaient stables, hier, en cours de cotation, dans un marché marqué par un faible volume des échanges, en raison de la fermeture de certains marchés et des vacances de fin d’année.