Le marché mondial du GNL est fortement perturbé, depuis des mois, suite aux attaques des Houthis en mer Rouge. Une fragilité qui impacte l’équilibre entre l’offre et la demande et pousse les prix à la hausse. Selon une analyse de l’Oxford Institute for Energy Studies, «la fragmentation du marché du GNL en raison des frappes des Houthis contre les transports maritimes occidentaux continue d’ajouter des risques sur le marché mondial du GNL.»
L’AIE et l’OPEP diffèrent également sur les perspectives de demande à moyen et long termes. L’AIE s’attend à ce que la demande de pétrole culmine d’ici 2030, alors que l’OPEP pense que la consommation de pétrole continuera d’augmenter au cours des deux prochaines décennies et ne prévoit pas de pic.
L’OPEP estime que la demande mondiale de pétrole augmenterait de 2,25 millions de barils par jour (b/j) en 2024 et de 1,85 million de b/j en 2025. Les deux prévisions sont inchangées en comparaison au rapport rendu public en avril.
Les prix du pétrole ont légèrement augmenté en ce début de semaine de cotation, suite à l’annonce par la Chine d’une croissance de ses exportations et importations. L’échec des négociations autour d’un cessez-le-feu en Palestine occupée a également influencé les échanges de l’or noir.
La production de brut de l’OPEP+ est au plus bas depuis août, chutant de 210 000 b/j en glissement mensuel pour atteindre 41,04 millions de b/j en avril, suite aux réductions consenties par ses membres.
La cérémonie de célébration du 58e anniversaire de la nationalisation des mines et du 57e anniversaire de la création de la Société nationale de recherches et d’exploitations minières (Sonarem) a permis au ministre de l’Energie et des Mines de mettre en avant les perspectives prometteuses du secteur.
Trois jeunes architectes, dont un étudiant en quatrième année, ont été les heureux gagnants des prix décernés dans le cadre de la 13e édition du concours national des jeunes architectes «La Charrette d’or», organisé par le magazine spécialisé Vie de Villes, en marge du Salon Batimatec, qui se tient du 5 au 9 mai au Palais des expositions de la Safex.
Les produits algériens, qui commencent à se frayer progressivement un chemin vers l’exportation, sont notamment le carrelage, le ciment, la céramique, le rond à béton, les matériaux de revêtement et les décorations en plâtre.
S’étalant sur une surface d’exposition de 40 000 m², le salon Batimatec qui se déroulera jusqu’au 9 mai prochain est marqué parla participation de plus de 500 sociétés nationales publiques et privées et de prés de 300 sociétés étrangères représentant une quinzaine de pays.
La prochaine réunion des pays producteurs de pétrole de l’OPEP+, fixée au 1er juin prochain, devrait déboucher sur une nouvelle prolongation des réductions des quotas des pays membres de l’alliance.
«L’Algérie ambitionne d’augmenter la production de gaz à 110 milliards de mètres cubes par an», a affirmé le ministre, qui intervenait lors de l’ouverture de la Conférence ministérielle du G7 sur le climat.
Invité par le ministre italien de l’Environnement et de la Sécurité énergétique, le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, participe à la Conférence ministérielle du Groupe des sept pays les plus industrialisés (G7) sur le climat, l’énergie et l’environnement, organisée du 28 au 30 avril à Turin (Italie).
Le rythme auquel la demande mondiale d’énergie augmente signifie que les alternatives ne peuvent pas remplacer le pétrole à l’échelle nécessaire, avertit le secrétaire général de l’Opep, estimant qu’au lieu d’appeler à la fin du pétrole, l’accent devrait être mis plutôt sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Les prix du pétrole poursuivaient, hier, leur évolution positive entamée en début de semaine, dans un contexte d’optimisme quant à la croissance économique mondiale, conjuguée aux facteurs géopolitiques liés à la situation au Moyen-Orient.
L’Egypte va suspendre toutes ses exportations de gaz naturel liquéfié (GNL) à partir du mois de mai prochain, pour répondre à ses besoins intérieurs en nette hausse.
La Namibie aurait fait part de son souhait de rejoindre les rangs de l’OPEP, dans le sillage de découvertes importantes de pétrole, dont le potentiel est estimé à 700 000 b/j à l’horizon 2030.
Le gouvernement espagnol se dit «vigilant» quant à l’offre publique d’achat (OPA) actuellement négociée par la société des Emirats arabes unis Taqa, pour Naturgy, la plus grande entreprise espagnole de gaz et d’électricité. Le gouvernement, qui laisse la porte entrouverte à une éventuelle entrée directe au capital de l’énergéticien Naturgy, rechercherait à faire valoir également d’autres options pour garder le contrôle sur les sociétés stratégiques, telles que Naturgy, à travers des sociétés privées espagnoles.
Le marché pétrolier était en proie à une forte volatilité hier, dans le sillage des tensions qui se poursuivent entre Israël et l’Iran. Après avoir brièvement grimpé au-dessus des 90 dollars le baril, le Brent est retombé aux alentours de 87 dollars en cours de cotation matinale.
Le groupe d’énergie émirati Abu Dhabi National Energy Company (TAQA) a confirmé, hier, être en discussion avec les trois principaux actionnaires de Naturgy pour le rachat de plus de 40% des actions, ce qui ouvre la voie à une éventuelle offre publique d’achat totale du groupe énergétique espagnol, dont Sonatrach détient 4,1% des parts.
Les prix du pétrole Brent se négocient actuellement à des niveaux jamais égalés depuis six mois, soutenus par le resserrement de l’offre, la hausse de la croissance chinoise et, dans une moindre mesure, par les facteurs géopolitiques liés au conflit au Moyen-Orient, dont la riposte iranienne aux agressions israéliennes.