«Les pays du Sud, en Asie, en Afrique et en Amérique latine, devraient connaître une croissance significative de la demande de pétrole pendant une longue période», a indiqué le PDG de Saudi Aramco.
TaqatHy est mis en œuvre par GIZ Algeria mandatée par le ministère allemand de la Coopération économique et du Développement, en collaboration avec le ministère de l’Energie et des Mines.
Alnaft mise, entre autres axes de travail, sur l’exploitation du potentiel offshore, jusqu’à présent totalement inexploré, mais dont les possibilités ont été révélées par plusieurs études, confiées il y a quelques années à de grandes compagnies étrangères d’hydrocarbures, dont l’italien ENI et le français Total.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) révise légèrement à la baisse ses prévisions de croissance de la demande mondiale de pétrole pour 2024 et 2025.
Le groupe Sonatrach a procédé hier, à la signature d’un mémorandum d’entente avec la société espagnole Cepsa, pour la réalisation conjointe d’une étude de faisabilité pour le développement d’un projet intégré de production d’hydrogène vert et de dérivés, en Algérie, en vue d’approvisionner principalement le marché européen.
La demande de gaz naturel a nettement augmenté en 2024, et devrait rester sur une courbe ascendante en 2025, alors que l’offre ne cesse de décliner, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), qui avertit que cela pourrait conduire à une situation de pénurie d’approvisionnement en gaz à court terme.
L’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) a démenti les informations faisant état de l’exclusion «délibérée» des fournisseurs français de blé, suite au dernier appel d’offres.
Dans un tweet sur la plateforme X (ex-Twitter), le secrétariat de l’Opep a «réfuté catégoriquement» les affirmations formulées dans l’article publié par le journal américain, à quelques heures de la réunion du Comité de suivi de l’Opep (JMMc).
Des régions russes ont déclaré l’état d’urgence en raison de conditions de sécheresse extrême.
Les analystes prédisent qu’une agression contre l’Iran pourrait retirer 1,5 million de barils par jour de brut iranien du marché, tandis que des perturbations dans le détroit d’Ormuz pourraient faire progresser les prix du pétrole de plus de 20 dollars le baril.
Les prix du pétrole, qui étaient tombés en dessous de 70 dollars le baril en septembre, pour la première fois depuis fin 2021, ont depuis nettement rebondi. Hier, le Brent s’échangeait au-dessus de 75 dollars le baril, soutenu par des facteurs géopolitiques. Depuis le début de la semaine, les prix ont augmenté d’environ 5% en raison des craintes d’une éventuelle escalade au Moyen-Orient.
L’Europe se prépare à la fin potentielle des approvisionnements en gaz russe via l’Ukraine, l’accord de transit de cinq ans entre les deux pays devant expirer cet hiver.
Une réunion de coordination aura lieu prochainement entre les ministres de l’Energie de l’Algérie, du Niger et du Nigeria, les trois pays concernés par le projet du gazoduc transsaharien TSGP (Trans-Saharan Gas-Pipeline), afin de faire le point sur l’état d’avancement de ce projet «stratégique», selon les déclarations du ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab.
L'Accord historique d'Alger, signé par les pays membres de l'OPEP en 2016, a été un moment important dans l'histoire de l'industrie pétrolière, estime l’Opep par la voix de son Secrétaire général. Haitham Al Ghais a ainsi déclaré, à l’occasion de la célébration de la huitième année de l’accord d’Alger, que la signature a «non seulement posé les bases de ce qui est devenu plus tard une force vitale pour la stabilité et l'équilibre du marché mondial du pétrole - la Déclaration de coopération historique - mais il a également démontré l'approche sacrificielle, responsable et inclusive de l'OPEP qui prend en compte toutes les parties prenantes de l'industrie».
Un accord mettant fin au conflit sur le contrôle de la Banque centrale libyenne devrait permettre la reprise de la production de pétrole et des exportations qui ont chuté à 400 000 barils par jour ce mois-ci, contre plus d'un million de barils le mois dernier.
L’OPEP lance le World Oil Outlook (WOO 2024), anticipant une demande mondiale de pétrole supérieure à 120 mb/j à l’horizon 2050, tout en appelant à investir 17,4 milliards de dollars dans l’industrie pétrolière à cette échéance, contre 14 milliards de dollars prévus d’ici 2045, l’année dernière. «Il n’y a pas de pic de demande de pétrole à l’horizon», écrit le secrétaire général de l’Opep, Haitham Al Ghais, dans l’avant-propos du rapport.
Les analyses montrent que les revenus tirés du pétrole sont principalement perçus par les principaux pays consommateurs, via la fiscalité souligne Haitham Al Ghais, secrétaire général de l’OPEP.
Les prix du pétrole ont entamé la semaine de cotation en nette hausse, dans une sillage des tensions géopolitiques au Moyen-Orient, la baisse des taux d’intérêt et la baisse de l’offre de brut aux Etats-Unis et de l’annonce de la Chine, premier importateur de pétrole au monde, qui prévoit de nouvelles mesures de relance pour son économie.
Les exportations de GNL de l’Algérie ont connu une nette augmentation ce mois-ci, dans le sillage, d’une part, de la stratégie de Sonatrach de conforter sa place sur le marché du GNL, et d’autre part, et de la compensation de la baisse des flux par gazoduc depuis quelques jours, vers l’Espagne, en raison de la maintenance annuelle sur la partie sous-marine du Medgaz.
Une réunion de travail entre les représentants d’ExxonMobil et de Sonatrach s’est tenue à Houston (Etats-Unis), en marge du la Conférence mondiale sur l’énergie «Gastech», afin de matérialiser les axes du protocole d’accord, signé entre les deux parties, en mai 2024 à Alger, autour des opportunités de développement des ressources en hydrocarbures, dans les bassins de l’Ahnet et de Gourara dans le sud du pays.