Les opportunités d’investissement, de coopération et de partenariats entre les entreprises algériennes et éthiopiennes, notamment dans les secteurs du pétrole, du gaz, des carburants, des engrais et des énergies renouvelables, étaient au centre des entretiens qui ont réuni, cette semaine à Addis-Abeba, les PDG de Sonatrach et de Sonelgaz avec le PDG d’Ethiopian Investment Holdings (EIH).
Le renforcement de la coopération bilatérale, dans les domaines de la production, du transport, de la distribution et de la transformation de l’électricité, le développement de projets d’énergies renouvelables ainsi que les opportunités de renforcement de la coopération commerciale et de la formation, ont été les principaux points abordés par le ministre de l’Energie avec ses homologues éthiopiens lors de la visite qu’il effectue actuellement en Ethiopie.
Le PDG de Sonatrach a insisté sur le respect des délais fixés pour la construction d’une nouvelle station de pression du gaz à Rhourde Nouss, dans la wilaya d’Illizi, en vue de renforcer la pression du gaz et maintenir le niveau de production des champs.
L’Algérie prépare activement la Foire commerciale intra-africaine 2025 (IATF-2025), prévue à Alger du 4 au 10 septembre 2025. Regroupant plus de 2000 exposants, l’IATF-2025 devrait déboucher sur «des accords commerciaux et d’investissement d’une valeur de plus de 44 milliards de dollars, mettant en lumière l’impact croissant de la foire en tant que premier marché d’Afrique», indiquent les organisateurs.
Le ministre de l’Energie a procédé hier à la pose de la première pierre d’un projet de construction d’une centrale solaire photovoltaïque de 80 mégawatts dans la commune d’El Abadla, dans la wilaya de Béchar.
Réagissant à un appel de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), en faveur de l’investissement dans l’amont pétrolier et gazier, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) se réjouit de voir l’AIE partager à nouveau ses analyses sur l’avenir du marché, tout en appelant l’Agence à éviter les analyses contradictoires et les messages incohérents et à revenir à une analyse basée sur les «réalités» et à se concentrer sur son mandat de sécurité énergétique.
Le Forum des pays exportateurs de gaz (GECF) estime, dans la 9e édition du rapport «GECF Global Outlook 2050» lancée officiellement cette semaine, à Doha, au Qatar, que la demande mondiale de gaz naturel devrait croître de 32% d’ici 2050, sans qu’aucun pic de la demande ne pointe à l’horizon.
Le secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Energie chargé des Energies renouvelables, a souligné que la Stratégie nationale tracée à l’horizon 2035 vise à renforcer le recours aux énergies renouvelables à un taux de 30% du mix énergétique global, en produisant 15 000 mégawatts d’énergie renouvelable.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole et les nations productrices alliées ont déclaré que l’OPEP+ procéderait à la première augmentation de la production depuis 2022.
L’Opep célèbre cette année le cinquantième anniversaire du premier Sommet historique des dirigeants des Etats membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), qui s’est tenu en Algérie du 4 au 6 mars 1975.
Huit membres de l’Opep+, dont l’Algérie, ont décidé d’annuler progressivement les réductions volontaires de leur production pétrolière, à partir du 1er avril 2025, compte tenu des fondamentaux sains et des perspectives positives du marché.
l «L’Algérie est un partenaire clé pour la sécurité énergétique italienne et européenne dans une situation historique particulièrement délicate au niveau international», a indiqué une note publiée par le du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, à la veille de la visite du chef de la diplomatie italienne en Algérie, et la tenue du forum d’affaires bilatéral.
Les prix du gaz en Europe ont atteint un niveau inédit depuis deux ans, alors que les réserves de gaz souterraines sont tombées sous les 50%, entraînant un rythme de retrait parmi les plus élevés jamais enregistrés en cette période de l’année, en raison d’une consommation hivernale soutenue.
L’Algérie a pris part au Sommet international de l’énergie du Nigeria (NIES 2025) en vue de mettre en l’avant l’importance du renforcement de la coopération énergétique africaine et l’engagement de l’Algérie à développer des projets communs d’infrastructures, notamment le projet de gazoduc transsaharien (TSGP), qui permettra l’intégration des ressources gazières de l’Afrique dans le marché mondial et renforcera la sécurité énergétique du continent.
Le groupe Sonatrach et la société chinoise Sinopec ont signé, hier, un contrat de partage de production, visant à explorer et exploiter des hydrocarbures dans la zone de Hassi Berkane-Nord, sous l’égide de la Loi n°19-13 régissant les activités hydrocarbures en Algérie.
La nécessité de rationaliser la consommation d'énergie tout en augmentant les investissements énergétiques, et en investissant dans les énergies nouvelles, telles que l'hydrogène vert et l'énergie solaire, ont été les principales directives données au gouvernement par le président de la République, lors du dernier Conseil des ministres.
L’Opep estime qu’au cas où les décideurs politiques adoptent une approche équilibrée vers le zéro émission nette, la prochaine décennie permettra non seulement de réduire considérablement les émissions à effet de serre, mais garantira également un avenir énergétique stable et sûr pour tous.
L’étude de faisabilité du projet de Gazoduc transsaharien (TSGP) Algérie-Nigeria, confiée au bureau d’études britannique Penspen, sera mise à jour dans six mois, a annoncé hier le groupe Sonatrach, qui estime que l’étude permettra d’actualiser les stratégies de la réalisation du projet, afin d’entamer l’exploitation du TSGP dans les meilleurs délais.
Le groupe Sonatrach a insisté auprès de son partenaire espagnol Técnicas Reunidas, sur la nécessité de respecter les délais de réalisation du projet de la nouvelle raffinerie de Hassi Messaoud, au vu de son importance stratégique pour le pays et les perspectives qu’il ouvre en termes d’export.
Placée sous le thème «La révolution digitale et durable du BTPH», la rencontre, qui se veut «conviviale et interactive», selon Akli Amrouche, prendra les contours d’un événement «hybride et innovant», une première pour le secteur, tient-il à préciser.