Le groupe Sonelgaz exporte annuellement plus de 500 MW d’électricité vers la Tunisie. Le PDG de Sonelgaz a souligné, il y a quelques mois, que son groupe a exporté «une quantité importante d’électricité vers la Tunisie, même dans les conjonctures exceptionnelles liées à la demande locale en électricité qui a atteint son pic durant l’été 2023».
L’alliance Opep+ a décidé de reporter sa réunion, initialement prévue le 26 novembre à Vienne, en Autriche, au jeudi 30 novembre en mode virtuel.
Le groupe Sonatrach et la société énergétique publique turque Botas ont signé un accord portant sur le renouvellement, pour trois ans, de leur contrat d’achat et de vente de gaz liquéfié.
Les marchés mondiaux du gaz et du GNL demeurent vulnérables face aux facteurs géopolitiques, notamment après la saisie d’un cargo israélien, et ce, en dépit d’une offre actuellement suffisante et de niveaux de stockages jusqu’à présent préservés par un climat plutôt clément pour la saison, notamment en Europe.
Après une forte volatilité observée depuis un mois environ, les prix du pétrole se sont stabilisés en ce début de semaine dans le sillage d’informations faisant état de probables nouvelles réductions de la production de l’OPEP et ses alliés, lors de leur réunion prévue dimanche prochain.
Les prix du pétrole étaient en voie de se clôturer hier, leur quatrième semaine consécutive de pertes après avoir chuté jeudi d’environ 5% pour atteindre un plus bas niveau en quatre mois. Une situation inattendue au vu de la stratégie de régulation adoptée par l’Opep+ et les réductions volontaires supplémentaires mises en place par l’Arabie Saoudite et la Russie.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a relevé ses prévisions de croissance de la demande de pétrole pour cette année et l’année prochaine, dans son rapport mensuel consacré à l’évolution du marché de l’or noir. L’AIE rejoint ainsi le point de vue de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) qui a, dans son rapport mensuel, publié lundi ses prévisions de croissance de la demande de pétrole pour l’année en cours.
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) a encore une fois fait fi du pessimisme exprimé notamment par l’Agence internationale de l’énergie (AIE) – qui défend les intérêts des pays de l’OCDE –, en tablant sur une demande robuste en 2023- 2024 et un marché pétrolier solide, tout en imputant la baisse actuelle des prix du brut à la spéculation.
L'Algérie, a fourni 46,5% du gaz consommé en Espagne en octobre, consolidant ainsi sa première place de fournisseur de gaz de l'Espagne durant l’année en cours avec 28,8% du total, suivie par les Etats-Unis (20,1%) et la Russie (18,1%).
Alors que les prix du pétrole connaissent depuis trois semaines une tendance baissière en dépit de la réduction de la production Opep+, et des facteurs géopolitiques dont la guerre menée par l’entité sioniste en Palestine, le ministre saoudien de l’Energie estime que ce sont «les spéculateurs pétroliers qui sont à l’origine de la baisse la plus récente des prix du pétrole».
L'OPEP est prête à accueillir le Brésil, devenu un exportateur important de pétrole, s’il souhaite rejoindre l’Organisation, selon les déclarations du secrétaire général de l'Opep. «Aujourd'hui, le Brésil est devenu l'un des plus grands exportateurs. Le pays a arrêté d'acheter du brut sur le marché international.
Le groupe Sonatrach et son partenaire espagnol Naturgy seraient parvenus à finaliser un accord sur le prix du gaz pour 2023 et 2024, suite à des négociations ardues qui se poursuivent depuis plus d’une année, la hausse des cours du gaz ayant rendu difficile un compromis satisfaisant pour les deux parties.
L’Arabie Saoudite et la Russie ont déclaré qu’elles s’en tiendraient à des réductions volontaires supplémentaires de leurs productions pétrolières jusqu’à la fin de l’année, maintenant ainsi le resserrement de l’offre. L’Arabie Saoudite a confirmé qu’elle poursuivrait sa réduction volontaire supplémentaire d’un million de barils par jour (b/j) en décembre pour maintenir sa production à environ 9 millions de b/j, a indiqué une source au ministère saoudien de l’Energie dans un communiqué répercuté par Reuters.
Le gaz naturel continuera à jouer un rôle clé dans la sphère énergétique, pendant les décennies à venir, et devrait être nécessaire pour la transition énergétique ont notamment souligné les intervenants lors d’une session plénière de la conférence OGT 2023 qui s’est tenue au Turkménistan la semaine dernière.
Les prix du pétrole fluctuent énormément ces derniers jours, soumis aux effets contradictoires des taux d’intérêt élevés - qui ont déclenché une vente massive la semaine dernière - et de la prime de guerre au Moyen-Orient. Les hausses de taux d’intérêt visant à maîtriser l’inflation peuvent ralentir la croissance économique et réduire la demande de pétrole, tandis que les baisses de taux visant à stimuler les dépenses pourraient accroître la consommation de pétrole.
Le géant énergétique allemand Wintershall Dea qualifie l’Algérie de source gazière clé pour l'Europe. S'adressant, lundi, aux journalistes après la publication des résultats du troisième trimestre de l'entreprise, le PDG de Wintershall Dea, Mario Mehren, et le directeur financier, Paul Smith, ont mis en relief les opportunités de partenariat dans le domaine gazier en Algérie et les perspectives de son développement dans le cadre du renforcement des exportations vers l’Europe.
Dans un contexte de controverses sur l’évolution de la demande de pétrole pour les années à venir, des opérations de méga fusions acquisitions entre majors pétrolières semblent prouver que des acteurs clés du marché continuent de miser sur les hydrocarbures et à en accroître la production, malgré les appels à se passer progressivement des énergies fossiles considérées comme les principales responsables du réchauffement climatique.
Le PIB de l’Algérie a retrouvé son niveau d’avant la pandémie en 2022, tandis que les prix élevés du pétrole et du gaz ont permis une amélioration marquée de ses soldes extérieurs et budgétaires.
Les prix du pétrole ont nettement augmenté en cours de cotation hier, alors que des informations, selon lesquelles l’armée américaine a mené des frappes en Syrie, donnent des indices d’une aggravation de la situation au Moyen-Orient, ce qui pourrait avoir un impact sur l’approvisionnement en provenance de cette région productrice-clé.
Le rapport de l’AIE, qui conseille les pays industrialisés, contraste avec le point de vue du groupe de producteurs de pétrole, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole, (OPEP), qui prévoit une augmentation de la demande de pétrole bien après 2030 et appelle à des milliers de milliards de nouveaux investissements dans le secteur pétrolier.