Bruno Jean-Richard Itoua, ministre des Hydrocarbures de la République du Congo, a déclaré, il y a quelques jours, que son pays «réaffirme son engagement constant en faveur de la politique stratégique» définie par l’OPEP et l’OPEP+.
Le PDG a déclaré que le Groupe aspirait à développer son portefeuille d’investissement par l’extension de ses activités dans le domaine des industries pétrochimiques.
L’Angola, deuxième producteur de pétrole d’Afrique, quitte l’OPEP, à partir de janvier 2024 pour ne plus être astreint à la politique des quotas, mettant ainsi fin à ses seize années d’adhésion à l’organisation.
Les prix du pétrole continuaient à progressé hier, dans le sillage de facteurs géopolitiques dominés par les perturbations du transport en mer Rouge suite aux attaques répétées des Houthis dans le détroit de Bab El Mandeb.
Le mégaprojet de transport de gaz relie l’Algérie, le Niger et le Nigeria sur une distance de plus de 4000 km, dont 1037 en territoire nigérian, 84 au Niger et 2310 km en Algérie. Il permettra de raccorder les champs gaziers du Nigeria (à partir de Wari sur le fleuve du Niger) au réseau algérien.
La Russie a annoncé qu’elle accentuerait la réduction de ses exportations de pétrole en décembre, potentiellement de 50 000 barils par jour ou plus, dans le sillage de la stratégie de l’Opep+ de soutenir les prix de l’or noir et de stabiliser le marché.
La consommation mondiale de gaz a enregistré une hausse sensible au mois de novembre 2023, selon le dernier rapport mensuel du Forum des pays exportateurs de gaz (GECF). La consommation a notamment été tirée par l’Union européenne (UE), qui a connu son deuxième mois consécutif d’augmentation de la consommation de gaz équivalant à 33,6 milliards de mètres cubes (bcm).
Les prix du pétrole ont nettement augmenté hier, bénéficiant des prévisions haussières de l’OPEP et de l’AIE, ainsi que de la montée du risque géopolitique.
Le ministre koweïtien du Pétrole a qualifié la démarche de certains pays occidentaux lors de la COP28 d'«attaque agressive» et de tentative de dominer l'économie mondiale grâce à des sources d'énergie alternatives.
Le défi de l’export pour l’industrie céramique nationale a été au centre du débat soulevé hier, à Alger, dans le cadre du séminaire «ALGERCERAMICA» consacré à la thématique de la valorisation et de la promotion de l’industrie nationale de carreaux céramiques destinés aux marchés national et international.
L’Algérie continue d’être le principal pays fournisseur de gaz à l’Espagne, avec 28,7% du total, (106 275 GWh) devant les Etats-Unis et la Russie, en dépit d’un recul des exportations algériennes enregistré au mois de novembre, au profit des Etats-Unis qui continuent leur offensive pour placer leur GNL en Europe, en profitant des sanctions imposées à la Russie.
Les pays de l’alliance Opep+, dont l’Algérie, envisagent une reconduction de leur décision de réductions volontaires au-delà du mois de mars prochain, si les conditions du marché l’exigent, indique le ministre de l’Energie et des Mines. «Le ministre Mohamed Arkab a informé que l’OPEP et ses partenaires de la Déclaration de Coopération demeurent extrêmement vigilants et attentifs à l’évolution des fondamentaux du marché pétrolier à court terme.
L’ancien ministre de l’Energie, Sadek Boussena, estime que les questions pétrolières et gazières nationales ne relèvent pas uniquement d’équations économiques et techniques, car selon lui, «les bonnes réponses ne peuvent émaner que d’un débat politique en vue d’asseoir le plus large consensus possible autour de mesures et de réformes dont certaines sont certes complexes et difficiles à entreprendre mais urgentes à traiter».
Le froid qui caractérise les relations diplomatiques algéro-espagnoles et son impact sur le volet économique poussent de nombreuses entreprises espagnoles à contourner les obstacles d’exportation de leurs produits, en passant par des entreprises intermédiaires au Portugal, et en y créant des filiales.
Les cours du pétrole ont entamé la semaine de cotation en forte instabilité. Après avoir augmenté à l’ouverture de la première séance de la semaine, les prix ont nettement chuté hier, en dépit des réductions volontaires équivalentes à plus de 2 millions de barils jour, annoncées par plusieurs pays membres de l’alliance Opep+, dans le sillage de la réunion tenue en mode virtuel jeudi.
Le secrétariat de l’OPEP a noté l’annonce par plusieurs pays de l’OPEP+ de réductions volontaires supplémentaires pour un total de 2,2 millions de b/jour.
Le Brésil, le plus grand producteur de pétrole d’Amérique du Sud, rejoindra l’alliance OPEP+ à partir de janvier 2024, et permettra ainsi de renforcer les rangs du groupe de producteurs et de soutenir son rôle et son influence sur le marché, selon un communiqué de l’OPEP.
Tout en gardant un œil sur les avancées des discussions à Dubaï, les membres de l’OPEP+ se concentreront aujourd’hui sur la politique pétrolière pour 2024, tout en s’assurant de maintenir la cohésion de ses rangs et de trouver un compromis avec certains de ses membres africains autour des quotas.
L’Opep et l’AIE se sont affrontées à plusieurs reprises sur des questions telles que les perspectives de demande de pétrole à long terme.
Le report de la réunion de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ses alliés, du 26 au 30 novembre, aurait permis de rapprocher certains points de vue sur la stratégie à adopter en 2024.