Le dernier rapport de la Banque mondiale (BM) sur les perspectives économiques mondiales publié ce 11 janvier prévoit un ralentissement «prononcé» jusqu’en 2023. Les pressions inflationnistes sont donc parmi les conséquences les plus redoutables de la situation actuelle.
Avec des opérations d’exportation de produits agricoles marquées par l’irrégularité et la faiblesse des volumes, la contribution du secteur dans le développement des exportations hors hydrocarbures reste timide, autour d’un milliard de dollars en 2020.
Les difficultés risquent de s’accentuer avec les tendances sur le marché international, notamment en cette période de crise sanitaire et de changements climatiques.
La production de la semence potagère est insignifiante. Elle atteint à peine 2% des besoins. C’est ce qu’a dévoilé la représentante de l’Institut technique des cultures maraîchères industrielles (ITCMI) le 6 janvier dernier lors d’une rencontre sur les échanges de semences locales entre agriculteurs organisée par l’association Torba.
Par exemple, pour un revenu de 60 000 DA, le gain sera de 3300 DA. L’IRG passera ainsi pour cette catégorie de salariés de 14 500 à 11 200 DA. Un salaire mensuel imposable de 40 000 DA sera soumis, de son côté, à un IRG de 3100 DA, contre 5500 DA auparavant, soit un gain net de 2400 DA.
Les salaires des fonctionnaires de la Fonction publique représentent, cette année, 52% du budget de fonctionnement.
Pour l’économiste Ali Harbi, l’édition 2021 de l’évaluation sur l’économie algérienne par la Banque mondiale (BM) fait ressortir des points positifs, des faiblesses et des risques. Notre expert estime qu’il appartient aux pouvoirs publics de prendre en charge les faiblesses et de mettre en place des actions de maîtrise des risques relevés. Mais aussi d’améliorer les indicateurs et de communiquer sur les performances.
Maintenant que la décision est prise, il reste à savoir comment feront les services concernés pour la mettre en œuvre et pour vérifier les marges bénéficiaires appliquées par les commerçants.