Nous nous verrons en août», grâce à Internet j’ai lu quelques pages du roman inédit de Gabriel Garcia Marquez publié à titre posthume, dix ans après sa mort.
La poésie de Mohamed Amokrane dénonce l’injustice, la violence, la bêtise humaine, l’ignorance et l’hypocrisie sociale, pour ne citer que ceux-là. Le poète, à ce titre, est un témoin gênant d’une société qui a tourné le dos à son histoire, ses traditions et ses valeurs…», dit Fayçal Medjahed, auteur et journaliste, à propos de Mélodie de l’espoir.
l La 13e édition du Festival culturel national de la chanson chaâbie aura lieu du 28 au 31, au palais de la culture Moufdi Zakaria (Alger), a-t-on appris mardi auprès du commissaire du festival, Abdelkader Bendaamache.
L’interprète de musique andalouse Lila Borsali donne rendez-vous à ses mélomanes, le 15 mars à 22h, à la salle Ibn Khaldoun, à Alger, où elle présentera son nouveau spectacle Madyan.
L’infatigable artiste peintre et plasticienne Djahida Houadef à l’Institut Cervantès à Alger avec une nouvelle collection de peinture très colorée.
Un constat s’impose : les traductions d’œuvres algériennes sont rares. Il y a eu certes les traducteurs «historiques» (Marcel Bois, Said Boutadjine, Mohamed Sari, Merzak Begtach), mais ces expériences n’ont guère suscité un véritable mouvement, comparable à celui enclenché dans le monde arabe (Liban, Egypte…)
Dans l’entretien accordé à El Watan, Mohamed Sari revient sur l’acte de traduction, ses exigences et les moyens à mettre en œuvre pour impulser un vrai mouvement de traduction dans le pays. «C’est en forgeant qu’on devient forgeron. Et c’est le même processus dans tout acte d’apprentissage, et la traduction est un vrai champ d’apprentissage pour peu que le traducteur puisse trouver un champ fertile où il puisse forger son talent et mettre en pratique les différentes théories de traductologie qu’on lui a inculquées dans les années de sa formation universitaire.»
Le numéro 14 de la revue Cinéma Horizons, perspectives cinématographiques, édité par le laboratoire d’index des films de guerre dans le cinéma algérien de l’université d’Oran 1 Ahmed Ben Bella, a porté sur des contributions traitant l’image de l’émigré dans le documentaire et la spécificité du cinéma de l’exil.
Le chef-d’œuvre de Christopher Nolan est un grand film à l’ancienne : casting éclatant, budget colossal, effets spéciaux faits maison et grands enjeux. Il retrace en plus de trois heures les moments-clés de la vie de Robert Oppenheimer, le physicien, qui fait entrer la planète dans l’ère nucléaire, précipite la fin de la Seconde Guerre mondiale avant de se voir assailli par le doute face à sa création devenue outil de toute puissance.
La maison d’édition Random House a annoncé que le roman inédit de Gabriel Garcia Marquez est publié dix ans après sa mort par ses fils.
La galerie Baya du palais de la culture a accueilli une collection artistique comprenant plus de 80 tableaux réalisés par 21 artistes plasticiennes participant à cette exposition collective qui leur est dédiée, à l’occasion de la Journée internationale de la femme, célébrée le 8 mars de chaque année.
Publié fin 2023 par la maison d’édition et de distribution Dar El Mothakaf, le roman Khamissa El Badaouia (Khamissa la bédouine), de l’écrivain et enseignant en histoire Mohamed Azza, est une halte littéraire et historique sur les sacrifices des mères des chouhada durant la guerre de Libération nationale, tout en constituant un apport significatif pour l’effort national de documentation de la mémoire et de l’histoire locale et nationale.
Les dénominations des rues de l’ancienne médina d’Alger sont considérées, selon le registre de la littérature «algérianiste», comme une énigme incompréhensible, voire un exotisme pittoresque et original.
l Contrairement à ce qu’on pense, le mythe du héros de la révolution est bien tardif dans le cinéma algérien, parce qu'un seul héros, le peuple, slogan non négociable adopté collectivement au lendemain de l’indépendance l Comment le traduire au cinéma et réaliser des biopics par définition centrés sur le héros individuel ?
-C’est difficile de jouer Larbi Ben M’hidi ? Plus difficile que de jouer un héros anonyme de la Révolution ? Pas vraiment, c’est un rôle, une fois qu’on est dedans, on y est, d’autant qu’il n’y a pas vraiment de documents sur sa personnalité, donc on a le droit de prendre quelques marges, l’essentiel étant de ne pas le rendre éteint. C’est un faux calme, grâce, je pense, à un travail volontaire sur lui-même.
l L’Institut culturel italien à Alger (L’Istituto Italiano di Cultura di Algeri, IICA) organise plusieurs activités artistiques et académiques jusqu’à la fin août 2024.
L’Algérie sera au rendez-vous du 3e Salon du livre africain qui se déroulera du 15 au 17 mars à Paris.
Dans le cadre du projet «Tlemcen, territoire en devenir» l’association La Grande Maison et l’association culturelle pour le développement communautaire lancent un appel à candidature à destination des personnes qui ont entre 18 et 30 ans et qui sont intéressées à participer à un programme d’accompagnement autour de la photographie.
La grille des programmes qui seront diffusés durant ce Ramadhan sur les neuf chaînes de l’Etablissement public de télévision (EPTV) s’annonce riche et variée à la fois.
Le film Ben M’hidi de Bachir Derais sort plus de six ans après sa mise au placard. Le long métrage a été projeté à l’Opéra d’Alger Boualem Bessaih.