Deux affaires de trafic de stupéfiants et de psychotropes ont été conclues cette semaine par les services de police, révèle la Sûreté de wilaya de Aïn Témouchent. La première a été déclenchée à la suite d’agissements suspects d’un groupe de six individus.
Dans le but d’élever le théâtre marionnettique au rang qui lui est dû et le sortir, in fine, de son statut de «semi-professionnel», l’Association nationale des marionnettes, basée à Aïn Témouchent, annonce l’organisation, pour le mois de décembre prochain, des Journées théâtrales internationales dédiées à cet art.
Clôturée dimanche dernier, la 14e édition du Festival de théâtre de marionnettes, qui s’est tenue dans la wilaya d’Aïn Témouchent, a permis à plusieurs troupes de marionnettistes de faire découvrir au public leurs nouvelles pièces.
Pour cette saison estivale, dont le coup d’envoi a été donné samedi dernier, ce sont 17 plages dans la wilaya d’Aïn Témouchent qui sont autorisées à la baignade sur les 25 existantes l Cette même wilaya recense pas moins de 42 structures hôtelières totalisant environ 7000 lits.
Pour être rentabilisé, le considérable parc de moissonneuses- batteuses de la wilaya, soit 632 unités, devra presqu’en totalité se redéployer en d’autres régions, le temps de la campagne de moissons battages qui, à Témouchent, a été lancée lundi. En effet, en raison de l’extrême sécheresse qui y a sévi, la céréaliculture a subi un catastrophique sinistre de l’ordre de 85% sur les 69 697 ha emblavés.
A travers un communiqué qui nous a été adressé, le Palestine Film Institute (PFI), sis à Ramallah en Palestine occupée, annonce sa participation au principal Festival de documentaires du Royaume-Uni qui se tient du 12 au 17 juin à Sheffield, ville située au nord de l’Angleterre.
La Journée nationale de l’artiste a été célébrée de façon originale, cette année à Aïn Témouchent, en ce sens qu’il s’était agi d’une «lemma» (retrouvailles) à l’occasion de laquelle des artistes de différents bords et disciplines se sont retrouvés dans une ambiance chaleureuse et fraternelle.
Forcément, son auteur a sagement attendu que s’accumule en lui le nombre des années pour qu’il dépasse ses appréhensions, lui l’ancien professeur de langue anglaise, averti de ce qu’exigence littéraire signifie. Covidium, la première nouvelle qui ouvre le bal d’une dizaine d’autres, est la plus longue.
Hier, Mohamed Charfi, le président de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), était à Témouchent, poursuivant son périple à travers le pays afin d’évaluer le niveau de préparation des structures locales de l’ANIE, cela «au regard des dispositions de la Constitution et des lois au plan de l’organisation et de l’encadrement de l’élection présidentielle prochaine, de façon qu’elle soit à la hauteur des attentes de l’électeur».
Le quatrième jour du festival a été incontestablement celui de la cinéphilie qui s’affiche. Il a coïncidé avec le samedi, jour férié, en après-midi, où cinq courts métrages concouraient pour l’unique sacre consacré par le festival au profit de ce seul genre.
Chroniques fidèles survenues au siècle dernier à l’hôpital psychiatrique Blida, Joinville, au temps où le docteur Frantz Fanon était chef de la cinquième division entre 1953 et 1956, c’est même un avertissement à tout spectateur qui s’attendrait à voir un flamboyant et épique biopic sur Frantz Fanon auquel, d’ailleurs, Zahzah a précédemment consacré un documentaire, Mémoire d’asile, un 54 min en 2002, un genre dans lequel il excelle comme dans son superbe L’oued, l’oued.
Des spectateurs sont demeurés debout au fond de la salle jusqu’au mot fin. Un moment de silence quasi religieux s’ensuit. Le suspense est cependant bref. Une ovation et des youyous fusent. Bachir Derraïs et son équipe sont au comble de la satisfaction.
De la sorte, il est prôné l’abandon de la généralisation, jugée irréfléchie, de la céréaliculture pluviale, celle-ci étant définie comme une agriculture dont les résultats de production sont en fonction directe de la quantité des pluies annuelles, contrairement à la céréaliculture en irriguée, cette dernière étant aussi inenvisageable dans le Témouchentois pour la même raison, sachant l’insuffisance des précipitations qui ne permettent pas la constitution de ressources hydriques souterraines exploitables pour l’agriculture.
Pour sa septième édition, le très convivial Festival national de la littérature et du cinéma de la femme (FNLCF), domicilié à Saïda, y sera de retour du 23 au 26 mai, avec cette différence que cette année, son programme lui fait dépasser son caractère national puisque pour la première fois, il s’ouvre à un cinéma autre que national.
l Pour des raisons de maintenance de la station de dessalement de l’eau de mer, située à Oued El Hallouf, une bonne partie des robinets de Témouchent risquent d’être à sec à partir du 21mai l Notons que cette maintenance est nécessaire, signale-t-on, car elle s’assure de la fiabilité et de la longévité de l’usine de façon à éviter sa dégradation prématurée et à se prémunir des perturbations de la production d’eau potable comme de la détérioration de la qualité de cette dernière.
La 55e édition promet d’être un bon cru. Bien que de prometteurs indices laissent penser que la 55e édition du Festival national de théâtre amateur de Mostaganem sera d’un niveau élevé, d’autres n’encouragent guère à l’optimisme quant à la bonne santé de la pratique théâtrale en amateur, notamment à l’est du pays.
Cet entretien croisé associe deux universitaires de la diaspora, Abdeljalil Belarbi, professeur éminent de l’université de Houston, Texas, et Abdelhafid Khelidj, professeur à l’IUT Saint Nazaire, université de Nantes, responsable de la licence professionnelle et en conduite de projets de travaux publics, selon leurs qualifications académiques respectives.
Rencontré à Témouchent où, tout comme à Skikda et à Tizi Ouzou, pour l’est et le centre du pays, il a supervisé la sélection des spectacles devant figurer au programme de la prochaine édition du Festival national de théâtre amateur, Mohamed Takiret fait état d’une démarche arrêtée afin de redynamiser le plus ancien festival national et de contribuer à relever le niveau de la pratique théâtrale chez les amateurs.
Avec le printemps, il n’y a pas que les hirondelles qui réapparaissent, les troubadours du terroir aussi. Ce jeudi, sur le plus anciennement principal boulevard de Témouchent, du primitif centre de l’agglomération, cheikh Mamachi, pas l’illustre cheikh Mohamed de Hassi Mamèche (wilaya de Mostaganem), dit lui aussi El Mamachi, puisqu’il n’est plus de ce monde.
Pour sa première production théâtrale, présentée à Témouchent dans une étape de sa tournée nationale, la coopérative culturelle Branès d’Oran s’est colletée à une sérieuse gageure en algérianisant Une demande en mariage de Tchékhov.