«On peut alors affirmer qu’examiner l’œuvre de Merzak Allouache, dans son ensemble et en continuité, permet de mieux comprendre l’Algérie (…)», tranche Nabil Boudraa, auteur d’un essai sur la production du réalisateur algérois.
En lisant les récits bien menés de Rachid Hammoudi, journaliste et scénariste, des auteurs de la littérature algérienne pointent leur nez. L’influence de deux auteurs, désormais classiques (Tahar Djaout, Rachid Mimouni) est évidente.
Les écrits sur Albert Camus abondent. Du vivant de l’auteur, des ouvrages s’intéressaient à son œuvre, déjà très connue, et à l’auteur lui-même. Biographies, essais critiques, correspondances, bandes dessinées sont périodiquement publiés. Mais quand c’est un natif du pays, le sien, qui s’y intéresse, on cherche à lire. A compulser.
Vous venez de publier les Actes du café littéraire et philosophique de Tizi Ouzou. Le recueil contient des textes des différents intervenants. Comment est né ce projet ? Effectivement, le recueil contient des textes de différents intervenants. Cela touche à beaucoup de disciplines allant de l’histoire, à la philosophie, en passant par la sociologie, l’anthropologie, la géopolitique, la littérature, le cinéma... Cela répond aux objectifs du café littéraire et philosophique de Tizi Ouzou et de Larbaâ Nath Irathen (LNI) de diversifier les thématiques et donner la parole aux chercheurs et auteurs de différents bords pour s’exprimer et rencontrer le public. Vous n’êtes pas sans savoir l’importance de ces rendez-vous pour toute société qui aspire à évoluer.
Préparé à base de semoule de blé ou d’orge, roulé avec des plantes médicinales, servis avec un ragoût de légumes et de viande, il y a autant de manières de préparer ce plat national que de régions du vaste pays.
L'Algérie et le Royaume-Uni ont convenu, à l’issue des travaux de la 2e session du dialogue stratégique, tenus à Londres, de renforcer leur partenariat dans tous les domaines et de coopérer sur les questions régionales et internationales d'intérêt commun.
Les violences faites aux femmes occupent l’opinion. Les services de sécurité communiquent, dans leurs bulletins quotidiens, sur des cas, souvent très graves. Des associations alertent périodiquement sur des cas de féminicides. Les spécialistes en sciences sociales organisent des séminaires sur ce phénomène.
L’engagement algérien de Jean-Paul Sartre est bien réel. Son soutien aux combattants du FLN-ALN était sans concession. Si l’engagement de son journal, les Temps modernes, a procédé le sien, l’entrée en scène de Sartre n’en fut pas moins très remarquée. En mars 1956, il publie un article intitulé : «Le colonialisme est un système». Suivront d’autres textes bien sentis et de tonitruantes interventions publiques.
Djouher Amhis Ouksel poursuit son travail de défrichement. Essayiste exigeante, elle s’intéresse aux auteurs algériens dont elle dissèque les ouvres. Son dernier ouvrage, publié aux éditions Imel, rassemble ses articles consacrés à Mouloud Mammeri, écrivain et anthropologue.
La lutte contre le trafic transfrontalier de la drogue se poursuit toujours. Périodiquement, le ministère de la Défense nationale (MDN) et les différents services de sécurité (Gendarmerie, DGSN, Douanes) annoncent d’importantes saisies de drogues.
C’est l’histoire de destins individuels et d’un idéal commun : celui de la libération nationale. Les écrits d’acteurs de la Guerre de Libération foisonnent. Des personnalités, souvent connues mais parfois de parfaits anonymes, publient leurs mémoires.
Les travaux de réaménagement de la rue Tripoli (Hussein Dey) tirent à leur fin. Si le pont enjambant oued El Harrach est achevé, les opérations d’embellissement de l’avenue à hauteur du quartier La Glacière et de la cité Behidj Hocine (ex-Caroubier) sont toujours en cours.
Il est l’un des auteurs les plus promoteurs de sa génération. Jeune trentenaire, Saïd Khatibi, qui a tôt fréquenté les rédactions algéroises, s’est intéressé aux arts. Auteur de deux essais sur l’histoire socioculturelle de la musique raï, il publie quatre romans, qui ont reçu un accueil formidable.
L’écrivain français Albert Camus a vu ses textes traduits en plusieurs langues et dialectes du monde. Jean-yves Guérin, qui en est l’un des meilleurs spécialistes, parle de 75 traductions du texte le plus lu de l’auteur de l’absurde, L’Etranger (1942). «Il existe aujourd’hui 75 traductions de ce roman dans le monde. Il est traduit au Népal, aux îles Féroé, en javanais, en neuf idiomes indiens...», précise à L’Express le professeur émérite de littérature française à l’université de la Sorbonne nouvelle.
Le président de la République a affirmé que «la priorité» doit être accordée au maintien du pouvoir d’achat des citoyens. Il a précisé que le PLF ne prévoit pas de nouvelles taxes.
Je Haut Commissariat à l’amazighité (HCA) participe à la 26e édition du Salon international du livre en Algérie (SILA), qui s’ouvre aujourd’hui, avec de nombreuses nouveautés. «Comme chaque année, le HCA marque sa présence au Salon international du livre d’Alger, à l’instar de nombreuses instances et institutions nationales et de diverses maisons d’édition nationales et étrangères.
Native de Meskiana, dans le nord du vaste pays chaoui, Yamina Mechakra est l’auteure de deux romans, le premier préfacé par Kateb Yacine, reste le plus connu. Le second, qui présente formidablement son expérience de psychiatre, l’est malheureusement moins.
Le président Tebboune a décliné l’invitation de son homologue égyptien de se rendre au Caire pour participer au sommet sur la situation en Palestine. Des «désaccords profonds» sur les moyens de règlement de la crise expliquent la décision de la présidence algérienne.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a insisté sur l'«importance de réhabiliter et de développer le Barrage vert.» Dans le communiqué publié à l’issue de la réunion du Conseil des ministres, tenue hier, le chef de l’Etat a ainsi souligné la nécessité «d’associer» les startups et d’ouvrir la voie au recrutement des jeunes habitant les wilayas que traverse le Barrage vert, dans des opérations de reboisement.
L’arrivée au pouvoir d’un gouvernement israélien très dur complique davantage la vie des populations palestiniennes. Depuis sa nomination en décembre 2021, l’équipe formée par le Premier ministre, Benyamin Netanyahu, engage un bras de fer permanent avec les populations des Territoires occupés : des opérations meurtrières sont menées périodiquement dans les camps de Jénine et de Naplouse, entre autres.