Jusqu’au 1er décembre prochain, la maison Nahla située à la rue Mokrane Zouaoui, accueille une exposition plastique de l’artiste Mizo, intitulée Mutation dont les compositions argentiques renvoient à une profonde réflexion.
l Rien, semble-t-il, ne prédestinait cet Alsacien né en pleine guerre dans une famille germanophone, qui fit de solides études de lettres à Strasbourg et Montpellier, avant d’être nommé professeur certifié dans un lycée du nord de la France, à devenir l’un des plus éminents spécialistes des littératures postcoloniales du nord de l’Afrique.
Ali Feraoun, le fils de l’illustre Mouloud Feraoun, dit penser que l’assassinat de son père a été commandité et ordonné par le gouvernement français de l’époque, voire par le général de Gaulle en personne.
Le Salon international du livre d’Alger a ouvert ses portes le 6 novembre pour se poursuivre jusqu’au 16 novembre au Palais des expositions des Pins Maritimes à Alger. Dans cet entretien, le commissaire du SILA, Mohamed Iguerb, nous décortique le programme.
Dans le cadre de la tenue du 27e Salon international du livre d’Alger (SILA), deux spécialistes de l’histoire coloniale française, à savoir Malika Rahal et Hosni Kitouni, ont animé, dans l’après-midi de samedi dernier, une conférence ayant pour thème «Les historiens et la révélation des crimes coloniaux».
Notre confrère Mohammed Kali, journaliste, auteur et critique de théâtre, vient tout juste de publier aux éditions Chiheb son dernier-né intitulé Raï, oh ! ma déraison.
L’avenir se construit au présent, en fidélité au passé, la littérature y contribue grandement, car elle demeure un formidable vecteur de transmission, de novation et d’éthique. C’est en effet ce triptyque qui fonde une vision prospective du futur.
Il est l’un des plus grands connaisseurs des littératures francophones du Maghreb. Charles Bonn est décédé chez lui, mercredi 6 novembre, à Lyon, à l’âge de 82 ans. Professeur émérite à l’Université Lyon II, ce natif de Lipsheim (Bas-Rhin, France) a enseigné dans les universités de Constantine, Fès et Leipzig. Il était le fondateur du programme Limag et du site limag.com.
L’œuvre, représentant le portrait du mathématicien anglais Alan Turing, a été réalisée par le robot bionique Ai-Da qui utilise l’intelligence artificielle pour créer des tableaux ou des sculptures. L’humanoïde est capable de voir, de parler et de se déplacer.
Pour le traducteur du livre, Ahmed Aït Bachir, ce travail laborieux est un modeste hommage à cette grande dame, «à la famille Amrouche qui a tant donné à notre culture, mais à toutes les femmes anonymes qui ont souffert en silence».
Notre confrère Mohamed Kali vient de sortir un ouvrage de référence intitulé Raï, oh ! Ma déraison, Une histoire algérienne, publié par les éditions Chihe International.
Parti favori dès le départ, malgré les trois autres auteurs candidats, Gaël Faye, Hélène Gaudy et Sandrine Collette, cette distinction lui a été décernée sans conteste par les dix membres composant le jury, réunis au restaurant Drouant à Paris.
Artisan de tubes planétaires de Frank Sinatra à Michael Jackson, le producteur américain et trompettiste de jazz Quincy Jones, dont la mort à 91 ans a été annoncée hier, a marqué son époque en s’imposant comme un compositeur hors pair, à la carrière multi-récompensée.
Un autre artiste de la culture algérienne tire sa révérence. Il s’agit du comédien, dramaturge et réalisateur Djamel Hamouda, décédé hier matin à Annaba, à l’âge de 70 ans, suite à une longue maladie.
Sorti récemment, le film Monsieur Aznavour est à l’affiche à Alger, notamment au TMV Cinémas de Garden City.
Une nouvelle exposition de l’artiste plasticienne Nawal Bellal, intitulée «La conférence des oiseaux», a été inaugurée, samedi à Alger, offrant au regard du visiteur une thématique inédite traduite dans des toiles hautement esthétiques, reflétant la vision de l’artiste sur la religion, le mysticisme et la vie spirituelle.
l 1007 exposants de 40 pays, dont 290 d’Algérie, sont attendus à la 27e édition du Salon international du livre d’Alger.
Auteur d’une quinzaine d’ouvrages, Bellahsène Bali, 88 ans, la mémoire toujours vivante, continue, intellectuellement cette fois-ci, son combat pour reconstituer les pans de notre histoire.
La wilaya de Tiaret abritera le Festival national culturel de la chanson engagée, dans sa cinquième édition, du 7 au 10 novembre, a indiqué le commissaire de cette manifestation, Noureddine Zerrouki.
Le monde du cinéma et de la culture est en deuil suite à la disparition de Abderrahmane Mostefa, réalisateur, documentariste, photographe, homme de théâtre et véritable gardien du patrimoine cinématographique algérien.