Avant de plonger dans les subtilités de l’évolution du film historique en Algérie, une question fondamentale se pose : quelle est la portée du cinéma historique algérien ? La réponse qui s’impose d’emblée est que ce genre cinématographique constitue un vecteur puissant pour immortaliser les moments marquants de notre histoire. Il éclaire les péripéties de la révolution et de la colonisation, tout en renforçant les liens entre les générations et leur héritage culturel.
l Sa célèbre moustache, son trench-coat serré par la ceinture, son accent jijelien, sa façon de se présenter et son jeu inimitable avaient fait de lui l’un des personnages les plus populaires auprès des cinéphiles et des téléspectateurs algériens entre les années 1960 et 1980.
l Les activités de la sixième édition du Festival culturel international du livre, de la littérature et de la poésie, inaugurées lundi, se poursuivent jusqu’au 28 novembre avec une série de séances de débat et d’ateliers autour de la thématique de l’enfance à l’ère des médias numériques et du monde du Métavers.
Smaïl Chertouk et Sarah Handala ont récemment publié à compte d’auteur en France L’Algérie, tu l’aimes ou tu la kiffes !, abécédaire amusé de l’Algérie, un livre illustré publié aux éditions Day Z. Rencontré lors d'une vente-dédicace au niveau du stand du magazine Salama à l’occasion du 27e Salon international du livre d’Alger, qui s’est tenu dernièrement aux Pins Maritimes de la Safex, l’auteur Smaïl Chertouk nous dit tout sur cet abécédaire avec ce souhait de voir son ouvrage publié prochainement en Algérie.
Belle prestation que celle donnée par la chanteuse espagnole Karmento à Oran samedi dernier.
«Le sang. Reprend racine. Oui, nous avions tout oublié. Mais notre terre. En enfance tombée. Sa vieille ardeur se rallume. Et même fusillés, les hommes s’arrachent la terre. Et même fusillés, ils tirent la terre à eux comme une couverture. Et bientôt les vivants n’auront plus où dormir.»
l La dernière légende vivante de la chanson arabe, Faïrouz, a soufflé jeudi ses 90 bougies, alors que son pays, le Liban, qu'elle a tant célébré, est plongé dans une guerre meurtrière entre le Hezbollah et Israël.
Les droits culturels sont partie intégrante des droits de l’homme, qui sont universels, indissociables et interdépendants» (déclaration universelle de l’Unesco sur la diversité culturelle).
Cette semaine, à l’issue d’une enquête de commodo et incommodo et après les avis techniques rendus par les directions de l’exécutif de wilaya, l’APW d’Aïn Témouchent a adopté un plan de protection et de mise en valeur (PPMVSA) du mausolée dit de Syphax.
8 jeunes finalistes seront en lice pour remporter le Prix cheikh Abdelkrim Dali de la meilleure interprétation du chant andalou lors de la 4e édition qui se déroulera du 25 au 29 novembre à Alger.
Ibrahim Qaraly, journaliste, écrivain et poète, né en 1968 à l’est d’Alger, diplômé de la faculté de journalisme de l›université d’Alger, est l’auteur de plusieurs recueils de poésie, parmi lesquels Lahn el-kholoud (La mélodie de l’éternité) et Alfiyat al-djazair (Le millénaire d’Algérie), une épopée de mille vers célébrant l’histoire de l’Algérie.
Une journée scientifique portant sur le patrimoine immatériel a été organisée lundi au musée Zabana, une initiative commune entre cette institution et l’Université Oran 2 par le biais de sa faculté des sciences sociales et son unité de recherche en sciences humaines.
Riadh Belaïd est un étudiant en journalisme, âgé de 24 ans. Ayant été présent au 27e Salon international du livre d’Alger, pour présenter son second livre et compte mettre sur le marché son troisième livre au début de l’année 2025. Il décide d’écrire ses œuvres en langue de Shakespeare.
« Ça devient aussi financier, ce serait dingue de ne pas envisager une troisième version », a confié le réalisateur. Ce dernier ne cache pas que Gladiator 2 ressemble énormément au premier volet.
l L’autrice Lylia Nezar vient tout juste de publier son premier roman Les «Matriochkas, les héritières, aux éditions algériennes El Hibr l Rencontrée lors d’une vente-dédicace à l’occasion du 27e Salon international du livre d’Alger, l’autrice revient sur la thématique de son ouvrage à forte connotation polyphonique.
Sobre mais merveilleux hommage que celui auquel le chanteur Akli Aït Boumehdi a eu droit, dernièrement, à l’occasion de la célébration de son 69e anniversaire et de ses presque cinquante ans de carrière.
Edith Piaf m’a mis dans le monde»: le musicien Charles Dumont, compositeur du légendaire «Non, je ne regrette rien» et compagnon de route de «La Môme», est décédé dans la nuit de dimanche à lundi à l’âge de 95 ans. Ce chanteur-auteur-compositeur, qui a également collaboré avec Dalida et Barbra Streisand, est mort des suites d’une longue maladie à son domicile parisien, a annoncé sa compagne Florence à l’AFP.
Après une programmation culturelle et littéraire des plus riches, le Salon international du livre d’Alger a refermé ses portes, samedi soir, au niveau du Palais des expositions de la Safex. Place au bilan en chiffres.
Tomber de rideau, samedi soir, du 27e Salon international du livre d’Alger avec la remise des prix aux deux lauréats du prix du livre de jeunesse intitulé «Mon premier livre» ainsi que du prix du «meilleur stand» du Salon.
La chercheure émérite au CNRA (Centre national de recherches archéologiques), Ferdi Sabah, représentante algérienne de la rive sud de la Méditerranée, a été conviée à participer à la dernière conférence du COMEN (Colloques interculturels méditerranéens), une manifestation culturelle organisée à Naples (Italie) du 13 au 15 octobre 2024, sous le thème : «Intelligence artificielle et les scénarios possibles, seront-ils un monde meilleur ?» L’archéologue algérienne, qui participe pour la seconde fois, a mis l’accent dans sa conférence sur l’antiquité classique, l’IA et le dialogue interculturel.