On affirme que la coutume des étrennes et ces cadeaux accompagnant les vœux du Nouvel an remontent à fort loin, au moins aux Romains qui avaient l’habitude d’offrir, et d’abord aux puissants, un brin de verveine qui, rapidement, fut remplacé par du miel, et enfin, pragmatisme oblige, par de l’argent en bonne et due forme.
L'écrivain français Pascal Lainé, prix Médicis (1971) et Goncourt (1974), qui a consacré sa vie à l'écriture mais aussi à la photographie, est mort lundi à Paris à l'âge de 82 ans, a-t-on appris mardi auprès de son épouse.
A l’occasion de la prochaine parution de l’ouvrage très attendu par les fans de Amar Zahi, en particulier, et les mélomanes, en général, nous avons approché l’auteur Saâd Saïd qui a bien daigné répondre en diagonale à nos interrogations concernant sa nouvelle publication et son prochain chantier d’écriture.
Très prochainement, le lecteur aura l’occasion de découvrir un pan de vie et une belle tranche du parcours artistique de l’une des icônes de la chanson chaâbie, en l’occurrence Amar Zahi, de son vrai nom Zaï.
Invité de l'association culturelle Tanekra dans le cadre de son neuvième acte de son atelier Si Amer Boulifa de littérature amazighe, l'auteur Tahar Ould Amar a animé, samedi dernier, une conférence à Agouni Fourrou.
Une quinzaine de films traitant de plusieurs thématiques étaient au programme de la 20e édition de la Semaine du film algérien à Lille dédiée à la mémoire de l’artiste Djaaffar Bouhouf, décédé récemment.
l De son vrai nom Mohamed Khelouat, né le 23 juillet 1910 à Taazibt, Ihesnawen, et mort le 6 juillet 2002, à Saint-Pierre de la Réunion, en France l Son nom d’emprunt se réfère à sa région natale d’Ihasnawen, dont la signification littérale : région de paix, de tolérance et de générosité.
S’il y a une chose (parmi quelques autres) de salutaire qui puisse advenir à l’Algérie en 2025, c’est bien de voir la culture renaître enfin de ses cendres.
Le Théâtre national Mahieddine Bachtarzi (TNA) est entré, samedi soir à Alger, en compétition du 17e Festival national du théâtre professionnel (FNTP), avec Aqd El Djouhar (le collier de perles), une épopée historique qui a plongé le nombreux public présent dans les profondeurs de l’histoire.
Le Haut-Commissariat à l’amazighité a élaboré un riche programme pour la célébration nationale officielle de Yennayer 2975-2025 dans la nouvelle wilaya de Timimoun, qui sera parée de ses plus beaux atours pour accueillir de manière grandiose cet événement.
On ne peut pas évoquer l’âge d’or du cinéma algérien dans les années 1960 et 1970, ayant vu la production de chefs d’œuvre du 7e art, sans citer le célèbre duo «Inspecteur Tahar-l’Apprenti», incarné par les regrettés Hadj Abderrahmene et Yahia Benmabrouk.
L’artiste photographe Rachid Ayadi revient sur la scène artistique avec une collection de photographies intitulée «L’âme dans le flou». Cette série de clichés en couleurs se décline sous la forme d’un ballet dans lequel des silhouettes filiformes évoluent dans un univers musical. Les gestes sont gracieux. Les mouvements des corps sont synchronisés.
Le burnous algérien, un habit tissé depuis plusieurs générations à travers certaines régions du pays, souvent par les femmes pour habiller les hommes, est un habit traditionnel chargé de symboles qu’il faut préserver et promouvoir, ont souligné les participants au 5e festival du burnous de Halli Ali, dans la commune d’Assi Youcef, au sud-ouest de Tizi Ouzou.
La 13e édition du Festival culturel national de la musique hawzi s’est clôturée mercredi dans la soirée au palais de la culture Abdelkrim Dali d’Imama, dans une grande ambiance.
La pièce de théâtre Adh’ghath, une comédie aux traits burlesques sur l’importance de préserver la cellule familiale, fondement d’une société saine et d’un pays prospère, est entrée, jeudi soir à Alger, en compétition du 17e Festival national du théâtre professionnel (FNTP), devant un public relativement nombreux.
Le rideau est tombé sur les Journées internationales de la marionnette et le théâtre d’objets à Constantine, laissant derrière elles un écho vibrant et des souvenirs enchantés.
La scène culturelle algérienne vient de perdre une énième plume, et pas des moindres. Boudaoud Amier, l’enfant prodige de Aïn Sefra (Naâma) nous quitte prématurément à l’âge de 64 ans.
Un bel hommage a été rendu, ces jours-ci, à l’artiste algérien M’hamed Issiakhem, précisément au hall de la salle de spectacles qui porte son nom, et ce, à l’initiative de l’association locale «Vue sur les arts culturelles».
La ville d’Akbou a levé le rideau, lundi, sur la 15e édition du Festival de la Soummam du théâtre amazigh amateur, dont les activités se déroulent jusqu’au 28 décembre, à la maison de jeunes de la ville, Abderrahmane Farès.
l La septième édition du Festival de la musique et chanson aroubi se déroule du 25 au 28 décembre à la salle Promo Sim, située au boulevard Mohamed Boudiaf, ex-20 Mètres l Les associations musicales qui participent à ce festival proviennent de Blida, Boufarik, Koléa et Alger.