La première conférence programmée par l’ENSCRBC (Ecole nationale supérieure de conservation et restauration des biens culturels) de Tipasa, afin d’entamer la célébration du mois du Patrimoine, aura permis à l’assistance de prendre connaissance sur les conséquences tragiques que subit le peuple palestinien et ses patrimoines culturels, à la suite de la sauvage et féroce agression menée par les militaires israéliens sionistes et criminels et leurs alliés, sous le regard passif et impuissant de la communauté internationale.
Du 11 au 12 mai à Montrouge, en région parisienne (France), aura lieu le 1er Salon business autour de la diaspora arabo-amazighe. Selon Saïda Eddyb, l’attachée de presse, «l’idée de ce salon est de mettre en avant les talents de notre diaspora, mais aussi, de rencontrer des exposants qui ont lancé leurs entreprises proposant des produits ou services».
Comment expliquer cet acharnement violent commis par les militaires sionistes contre les sites culturels et historiques palestiniens ?
l De l’eau, de la verdure, des rivières qui coulent et des arbres qui poussent mais des navets, pas relatifs au cinéma mais à ce légume blanc, qui vaut aujourd’hui 300 DA le kilo. Le printemps est beau et exceptionnel cette année, mais sera-t-il productif ? Les projets cinéma sont nombreux et ce n’est peut-être pas que du cinéma.
La pièce El Barzakh (L’isthme) de l’université de Batna, en compétition au 14e Festival national du théâtre universitaire à Sidi Bel Abbès, a été présentée, vendredi 19 avril au Théâtre régional. Une pièce qui porte une série d’interrogations sur le sens de l’existence et de la responsabilité.
La wilaya de Guelma est à présenter lorsqu’il s’agit de patrimoine matériel et immatériel tant cette région n’aura pas fini d’émerveiller ses visiteurs. Mais, contre toute attente, les pouvoirs publics n’ont pas mis en valeur ni même fait connaître ce trésor à l’occasion de la célébration du mois du patrimoine, dont l’ouverture n’a pas manqué de faire rougir de honte, jeudi dernier.
Dix troupes participent au festival, venues d’Adrar, de Batna, d’Oran, de Bouira, de Sidi Bel Abbès, de Constantine, de Bordj Bou Arréridj, de Khenchela et de Mostaganem. Azzeddine Rebiga, directeur-adjoint de l’action au milieu universitaire au niveau du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, est le nouveau commissaire du festival.
Après avoir assisté dernièrement à une pièce au Théâtre national algérien (TNA), Le ministre Kamel Baddari a invité des artistes et des metteurs en scène pour contribuer à la relance du théâtre universitaire. Actuellement, le ministère travaille pour lancer concrètement des activités culturelles et sportives au sein des universités.
La Fédération franco-algérienne Aquitaine organise aujourd'hui (samedi) 20 avril à 14h30 au cinéma l'Utopia de Bordeaux une projection unique du film sur l'Emir Abdelkader, fondateur de l'Etat algérien moderne intitulé, Abd El-Kader, de Salem Brahimi suivie d’une discussion avec Ahmed Bedjaoui, producteur et auteur, Ahmed Bouyerdene, historien, et Christian Delorme, prêtre de l’archidiocèse de Lyon. La billetterie est disponible au cinéma l'Utopia de Bordeaux.
Le 4e Festival d'Annaba du film méditerranéen aura lieu du 24 au 30 avril avec la participation de 18 pays. Trois compétitions sont prévues pour les longs et courts métrages ainsi que les documentaires avec 46 films, la plupart projetés en avant-première algérienne au niveau du théâtre régional Azzeddine Medjoubi et la cinémathèque. Les films primés auront La Gazelle d'or. L'Italie est le pays invité d'honneur du festival qui reprend après quatre ans d'arrêt.
L’auteure marseillaise Audrey Sabardeil nous conte une histoire humaniste aux accents sympathiques en ces temps de montée de l’exclusion et de la xénophobie.parution les naufragés d’audrey sabardeil
Le commissaire du Festival du film méditerranéen de Annaba, M. Mohamed Allel, a annoncé, hier, lors d’un point de presse tenu au niveau de l’hôtel Seybouse international de Annaba «la présence du réalisateur italien Nanni Moretti, lors de l’ouverture du festival, et du non moins célèbre acteur et réalisateur syrien, Dourid Lahem, en clôture qui seront honorés aux côtés de l’Algérien Merzek Allouache. Ils seront présents et invités de marque, dont des producteurs originaires de Gaza.».
Le succès fulgurant du film "Civil War", qui prend la tête du box-office nord-américain dès son premier week-end d'exploitation, reflète l'intérêt du public pour les récits explorant les tensions sociales et politiques.
Malgré ses nombreuses diffusions par la télévision algérienne depuis sa sortie en 2008, on ne se lasse jamais de regarder le film documentaire La balle de la dignité, produit et réalisé par Rachid Diguer, tant les émotions fortes qu’il suscite à chaque fois auprès des spectateurs ne s’estompent jamais.
Installé à Timimoun, cet homme du Nord aura tout fait, entre autres un parti politique et une association de sauvegarde des ânes, une entreprise cinématographique et des infrastructures pour le cinéma.
Yahia Mouzahem est le réalisateur du feuilleton El Berani (L’étranger) diffusé ce mois du ramadan par la chaîne Echourouk TV. El Berrani a été le feuilleton le plus vu sur la plateforme youtube avec plus de 50 millions de vues en trois semaines, secondé de Doumou’e loulia (Les larmes de la femme), diffusé par Samira TV, et El rihane (Le pari), par Ennahar TV, et Hdach hdach, par Echourouk TV. Ecrit par Yahia Mouzahem avec l’appui de Yousra Mouloua et Ahmed Izzet, El Berani raconte l’histoire de la famille Qali’i, sortie de la misère grâce à des trafics en tous genres, dont celui de la drogue.
Djamel Hacene Aït Iftene est de ces amoureux du septième art, qui réalise des reportages et des films dont les thèmes tournent autour de l’histoire et de la sociologie.
L’auteur Yahia Boubekeur vient tout juste de publier aux éditions TPA son dernier roman intitulé La Fractale. Un livre de 235 pages qui convoque les dates phares de l’histoire de l’Algérie. Dans cet entretien, Yahia Boubekeur nous parle de son livre, de sa façon d’écrire, de son ressenti de la bataille sanglante qu’a enduré le peuple algérien durant la colonisation.
1001 leyla… est le dernier ouvrage de Sari-Ali Hikmet. Il s’agit d’une traduction des poèmes mystiques de Cheikh Benyelles, figure du soufisme maghrébin, l’homme qui, aussi, a appelé en 1911 à la «hidjra» pour protester contre la conscription obligatoire des jeunes Algériens dans l’armée coloniale.
Lounis Ait Menguellet vient de couronner sa tournée en apothéose avec, à la clé, deux spectacles envoûtants à Tizi Ouzou. L’artiste a fait voyager ainsi le public vers les «années d’or» en remettant au goût des dizaines d’années de chansons ayant marqué sa longue carrière artistique. Lounis a, comme à chaque prestation, bercé ses fans qui ont eu droit à des moments mémorables avec, sans doute, les derniers spectacles de l’enfant d’Ighil Bouamas.