L’ambassade suisse à Alger a célébré du 19 au 21 novembre le modèle architectural helvète avec l’ouverture d’une nouvelle résidence et la rénovation du jardin. Jean-Pierre Fux, ambassadeur de suisse à Alger, a précisé, lors d’une réception, le 21 novembre au soir, que le bâtiment, qui abrite les services de la représentation diplomatique, à la rue Slimane Amirat, à El Mouradia, à Alger, a déjà dix ans d’existence (au niveau de l’ex-Domaine Les Tamaris).
Au 26e Salon international du livre d’Alger (SILA), qui s’est déroulé du 25 octobre au 4 novembre, nous avons rencontré certains d’entre eux. Ils estiment que le SILA est un grand moment de rencontres avec les auteurs et les lecteurs-acheteurs. «Mais, il faut penser au reste de l’année», disent-ils. Azzedine Guerfi, directeur des éditions Chihab, regrette la baisse du nombre de librairies au niveau national. «Il y a de moins en moins d’espaces pour vendre des livres.
Samia Zenadi est codirectrice des éditions APIC à Alger. Elle revient sur les difficultés de publier des livres en Algérie.
C’est une expression de fidélité à un homme qui a livré sa vie à l›islam et son pays l›Algérie», a souligné Mohamed Iguerb, commissaire du SILA, lors d’un colloque international consacré à l’auteur de Les conditions de la renaissance.
Le nombre de visiteurs a sensiblement augmenté durant le week-end coïncidant avec la célébration du 69e anniversaire du déclenchement de la guerre de libération nationale, le 1er Novembre 1954.
L’historien Amar Mohand Amer est revenu, lors d’un débat organisé à la salle Tassili, au Palais des expositions des Pins maritimes et modéré par Hassan Arab, sur l’écriture de l’Histoire du mouvement national.
L’historien Amar Mohand-Amer vient de publier aux éditions Frantz Fanon, à Boumerdès, «La crise du FLN de l’été 1962, indépendance nationale et enjeux de pouvoirs(s)». Un ouvrage préfacé et postfacé par les historiens Omar Carlier et Mohammed Harbi.
Lilian Thuram, ex-star du football, était, mardi 31 octobre, au 26e Salon international du livre d’Alger (SILA) où il a animé un débat à l’Espace Afrique, au pavillon central du Palais des expositions des Pins maritimes, et signé deux de ses ouvrages.
Un débat sur «le livre papier et le livre numérique et leur circulation en Afrique» a été organisé, lundi 30 octobre, à la faveur du 26e Salon international du livre d›Alger (SILA), qui se poursuit jusqu’au 4 novembre. L’écrivain sénégalais Mamadou Samb, qui a modéré le débat à l’Espace Afrique au niveau du pavillon central du Palais des expositions, a estimé que les éditeurs et libraires s’accordent à exprimer leur frustration sur le manque de circulation du livre africain en Afrique. «Nous devons aborder cette question essentielle et régler les problèmes technologiques et économiques qui se posent à certains pays africains», a-t-il dit.
Le 26e Salon international du livre d’Alger (SILA) se poursuit au Palais des expositions des Pins maritimes, à l’ouest de la capitale, avec l’organisation de plusieurs rencontres, débats et vente-dédicaces.
L’écrivain guinéen Tierno Monénembo a dialogué avec la romancière camerounaise Calixthe Beyala dans l’espace africain au 26e Salon international du livre d’Alger (SILA) sur l’Afrique, la littérature et l’avenir. Le débat a débuté avec une question provocante : «Qui est l’homme Tierno Monénembo ?»
La pensée africaine ou l’affirmation de soi aux XXIe siècle» était le thème d’une rencontre qui a rassemblé l’écrivain et universitaire béninois Mahougnon Kakpo, la romancière camerounaise Calixthe Beyala, la sociologue sénégalaise Aoua Bocar Ly-Tall, l’éditeur guinéen Sansy Kaba Diakité et l’universitaire algérien Benaouda Lebdai. Le débat a été modéré par l’écrivain camerounais, Jean-Célestin Edjangué.
La romancière camerounaise Calixthe Beyala a plaidé, lors d’un débat sur «La pensée africaine ou l’affirmation de soi aux XXIe siècle», pour l’unification des Africains et a évoqué le nouveau panafricanisme porté par les jeunes.L’Algérie est un pays qui s’est toujours montré à la hauteur des défis.
Le coup d’envoi du 26e Salon international du livre d’Alger (SILA) a été donné, mercredi soir, au Palais des expositions des Pins maritimes (Safex), à l’ouest d’Alger. Le SILA durera jusqu’au 4 novembre avec la participation de 61 pays. «L’Afrique écrit son avenir» est le slogan choisi cette année pour le salon.
Walid Abdellahi est journaliste, metteur en scène et président de l’association culturelle ELManara de Corso à Boumerdès. Sa dernière pièce Djadb (Terre aride) a été présentée lors du Festival international du théâtre de Béjaïa (FITB), qui s’est déroulé du 14 au 20 octobre. Il a mis en scène une dizaine de pièces de théâtre pour enfants et pour adultes, dont Baraghith (puces) et Bled Z. Interview.
Le public du 12e Festival international du théâtre de Béjaïa (FITB) a suivi, vendredi 20 octobre au soir, au Théâtre régional Abdelmalek Bouguermouh, cette pièce syrienne jusqu’au bout. Avec un thème accrocheur, le spectacle, qui a duré près de deux heures, n’a, à aucun moment, perdu de rythme.
Un hommage a été rendu, vendredi, au Théâtre régional Abdelmalek Bouguermouh de Béjaïa, à la comédienne Fatiha Soltane et au metteur en scène Mouhoub Latrèche, lors de la clôture du 12e Festival international du théâtre de Béjaïa (FITB). Ce festival s’est déroulé du 14 au 20 octobre.
Le Centre de recherche en langue et culture amazighes (CRLCA) de l’université Abderrahmane Mira de Béjaïa a abrité, pendant deux jours les 18 et 19 octobre, un colloque sur la thématique de «Théâtre et résistances», à la faveur du 12e Festival international du théâtre de Béjaïa (FITB).
Naker lahsan (L’ingrat) est la nouvelle pièce du Mouvement théâtral de Koléa (MTK). Ecrite et mise en scène par Youcef Taouint, la pièce défend ouvertement la cause de l’artiste, un artiste qui peine à se faire écouter par la société.
l La pièce égyptienne Itirafat zaoudjia (Confessions conjugales), présentée lundi 16 octobre au soir, au Théâtre régional Abdelmalek Bouguermouh de Béjaia (TRB), au troisième soir du 12e Festival international du théâtre de Béjaïa (FITB), explore les relations, jamais simples, au sein d’un couple.