C’est ce matin que les onze millions de potaches des trois paliers scolaires rallieront les bancs des établissements pédagogiques. Une rentrée sociale qui ne s’annonce pas moins «saignante» avec la récurrente dépense des parents appelés à dépocher pour répondre aux besoins des fournitures scolaires de leurs bambins.
Depuis la mise en place des distributeurs automatiques de billets (DAB) par Algérie Poste, nombre de ces appareils de paiement mentionnent à l’usager qu’ils sont «hors service», comme celui des Chèques postaux (1er Novembre) – rarement fonctionnel –, de l’établissement postal de Nelson (BEO) ou du bureau de poste de Bologhine qui vous invitent à rebrousser chemin. N’est-ce pas qu’avec un seul distributeur automatique, on supprime au moins deux postes d’agent aux guichets classiques.
Bien que des efforts soient perceptibles dans le processus de numérisation, censé faire gagner plus de temps et d’argent, causer moins de stress et au fonctionnaire et au demandeur de documents au niveau des guichets administratifs, il est des domaines qui font de la résistance contre la modernisation et l’amélioration de la qualité des services fournis.
Le commerce de la graille est en train de gagner de plus en plus nos espaces publics. Les locaux invitant les gens à faire ripaille s’ouvrent chaque jour que Dieu fait, à travers les artères de la capitale pour répondre à une demande toujours plus forte.
Aïn Benian (*) ou la fontaine autour de laquelle fut érigé un noyau urbain de l’ère romaine se veut une expression qui dénommait un douar où vivait jadis une ancienne peuplade autochtone. Cet endroit historique est connu pour sa source naturelle se déversant dans un grand bassin qui existe encore maintenant. Son eau jaillissait naguère au milieu de ruines romaines éparses provenant de vieilles maisons, gisant sur un promontoire, d’où l’on peut jouir d’un panorama exceptionnel.
Le long de la côte turquoise du littoral ouest du centre de l’Algérois regorge de belles criques, calanques et autres anses. Des sites balnéaires qui sont en friche. Mais il est des initiatives qui ambitionnent de les exploiter à bon escient, à l’image du Petit Vichy, un beau coin, situé à quelques encablures de Cherchell. Zoom.
L’on se rappelle le projet du décret exécutif relatif à l’activité de gardiennage des parkings élaboré en 2011. Une mesure on ne peut réglementaire censée mettre fin à l’anarchie de cet exercice dans le tissu urbain, et ce, par la mise en place de coopératives de jeunes, selon le ministre de l’Intérieur de l’époque.
Dévalant le dédale de la cité de Sidi Abderrahmane Ettaâlibi, quelques artisans, qui se comptent sur les doigts d’une seule main, tentent tant bien que mal de faire de la résistance pour maintenir un tant soit peu vivant ce pan de notre patrimoine ancestral. Bien que la matière première fasse défaut, ils tentent de faire contre mauvaise fortune bon cœur pour préserver ce travail de fin doigté qui, faut-il signaler, périclite au fil des jours au grand dam de la corporation, d’une part, et des visiteurs en quête de la belle ouvrage, d’ autre part. Zoom.
Aïn Benian (*) ou la fontaine autour de laquelle fut érigé un noyau urbain de l’ère romaine se veut une expression qui dénommait un douar où vivait jadis une ancienne peuplade autochtone.
Classé dans le réseau des réserves de biosphère par le programme MAB de l’Unesco en 2002, le Parc national de Chréa s’étend en écharpe sur 26 587 ha, chevauchant les wilayas de Blida, Médéa et Aïn Defla.
Nombre d’associations à caractère caritatif activent à travers le territoire. Si certaines sont soutenues financièrement par les pouvoirs publics, comme la direction de solidarité de wilaya – et c’est de bonne guerre – les autres, en revanche, attendent les actions de bon Samaritain de particuliers et de potentiels pourvoyeurs, s’il en est.
Rahmania est aussi le nom d'une célèbre confrérie musulmane en Kabylie. Située à quelque 25 kilomètres au sud-ouest d’Alger, la commune de Rahmania (ex-Sainte Amélie à l’époque coloniale), cette modeste localité chevauche le territoire de la nouvelle ville de Sidi Abdellah.
Les riverains ont beau alerter à moult reprises la daira de Bab El Oued, le service hygiène de la mairie de Bologhine ainsi que le sécrétariat de l’APC de Bab el Oued, mais leurs griefs sont restés lettre morte.
Sidi Fredj (*) est une petite ville maritime très fréquentée, disposant d’un complexe touristique et d’un port de pêche et de plaisance. Elle est située respectivement à 5 km de Staouéli, 6 km de Bouchaoui et 25 km d’Alger.
L’on est à la mi-saison estivale et la piscine El Kettani n’a toujours pas encore rouvert ses portes. La raison ? Le retard accusé dans les travaux de réfection et d’entretien annuels entamés cette saison sur le complexe aquatique renseigne si besoin est sur le report d’ouverture sine die. Ce qui ne pénalise pas moins les estivants.
Ces derniers jours de chaleurs caniculaires, les plages du littoral sont prises d’assaut au point où certaines familles ne pouvaient se frayer une place sur la bande de sable avant de se rafraîchir.
Souidania (*) est une petite commune, nichée au centre du Sahel algérois, sur un plateau de 120 mètres d’altitude. Son territoire, autrefois propice à la culture de légumes primeurs et autres produits maraîchers, est cerné de grands ravins parcourus de trois cours d’eau, à savoir, l’oued Lahrach, l’oued Boukandoura et l’oued Laâgar littéralement le ruisseau des femmes stériles.
Le toponyme de Birtouta (*) devait initialement s’écrire Bir Ettouta, le puits du mûrier en dialecte local. Ce dernier sera, sous l’occupation, orthographié dans les manuels historiques de différentes façons à savoir Byr-Touta, Bertouta et enfin Birtouta tel qu’il est connu de nos jours. La ville de Birtouta est éloignée de 26 km d’Alger, son territoire autrefois rural à vocation agropastorale était partiellement composé de terres basses marécageuses. Son sol se prêtait facilement à l’arboriculture et la culture des tabacs, des céréales et de la vigne.
«Chassez le naturel, il revient au galop», un adage qui semble bien ancré dans les pratiques et les mœurs de certains de nos concitoyens qui n’en ont cure de la puissance publique, sommes-nous tenus de constater.
Plusieurs associations pro-palestiniennes, dont l’Association France Palestine Solidarité (AFPS), s’élèvent contre la participation de deux personnalités artistiques du milieu culturel français à la 40e édition du Festival international du film de Jérusalem qui se déroule jusqu’au 23 juillet.