Pour ceux qui le connaissent, Améziane Ferhani était un passionné des arts et de la culture. En sa qualité de journaliste, il a contribué à l’animation de la vie culturelle depuis le milieu des années 1970, d’abord au journal El Moudjahid, puis à l’hebdomadaire Algérie Actualité.
Si l’année dernière Al Moâtassim-Billah Midni était considéré comme le plus jeune auteur de livres pour jeunesse au Salon international du livre d’Alger (SILA), il y revient, cette année, avec sa casquette d’écrivain. Ce jeune lycéen a tout l’étoffe d’un petit génie. Un regard vif et intelligent à la fois se cache derrière ses lunettes.
Depuis dix jours, le SILA bat son plein. Il enregistre au quotidien un nombre impressionnant de visiteurs, venus de toutes les wilayas du pays, et ce, eu égard du mauvais temps qui sévit sur la capitale en début de semaine.
En marge du salon international du livre d’Alger, le thème du patrimoine algérien à l’UNESCO, a fait l’objet d’une rencontre, mardi dernier, au niveau du pavillon Panaf.
L’expérience de l’écrivain, poète et sociologue algérien dans l’écriture et les mythes fondateur a été au centre d’une conférence, lundi dernier, au niveau de l’espace Panef du Salon international du livre d’Alger.
La toute nouvelle maison d’édition privée Pro-Cible vient d’éditer, à l’occasion du 27e Salon international du livre d’Alger, un roman intitulé «Eruptions», signé par l’auteur Zahir Battache.
l Le journaliste et écrivain algérien, Salah Badis, et l’écrivain suisse et tchadien, Noël Nétonon Ndjékéry, ont mis en avant, dimanche, lors d’une conférence organisée dans le cadre de la 27e édition du Salon international du livre d’Alger (SILA), la question des langues.
L’espace Palestine a abrité, samedi après-midi, une conférence, ayant pour intitulé «Littérature de résistance en Palestine : des plumes face au feu», animée par des spécialistes algériens et étrangers.
Dans le cadre de la tenue du 27e Salon international du livre d’Alger (SILA), deux spécialistes de l’histoire coloniale française, à savoir Malika Rahal et Hosni Kitouni, ont animé, dans l’après-midi de samedi dernier, une conférence ayant pour thème «Les historiens et la révélation des crimes coloniaux».
Le Salon international du livre d’Alger a ouvert ses portes le 6 novembre pour se poursuivre jusqu’au 16 novembre au Palais des expositions des Pins Maritimes à Alger. Dans cet entretien, le commissaire du SILA, Mohamed Iguerb, nous décortique le programme.
Notre confrère Mohammed Kali, journaliste, auteur et critique de théâtre, vient tout juste de publier aux éditions Chiheb son dernier-né intitulé Raï, oh ! ma déraison.
Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, a inauguré officiellement, hier après-midi, au Palais des expositions des Pins maritimes, à Alger, la 27e édition du Salon international du livre d’Alger.
Un autre artiste de la culture algérienne tire sa révérence. Il s’agit du comédien, dramaturge et réalisateur Djamel Hamouda, décédé hier matin à Annaba, à l’âge de 70 ans, suite à une longue maladie.
l 1007 exposants de 40 pays, dont 290 d’Algérie, sont attendus à la 27e édition du Salon international du livre d’Alger.
L’histoire d’une nation se mesure à travers ses archives. La Télévision algérienne possède un fonds important d’archives sur la glorieuse Révolution nationale, mais une grande partie est encore détenue par d’autres pays étrangers.
La chanteuse Syna Awel vient de sortir en France son nouvel album en langue kabyle intitulé Awel. Dans cet entretien, elle revient avec beaucoup de sincérité sur sa musique aux ondulations orientales, jazzy, électro ou encore latino. Elle parle aussi de son penchant pour les contes pour enfants. Entretien.
Le jeune chanteur chaâbi Mohamed Arab Fethani d’Alger a été consacré, samedi soir, à l’auditorium du palais de la culture Moufdi Zakaria de Kouba à Alger, lauréat de la 9e édition du Prix El Hachemi Guerouabi.
Le Grand prix «El Hachemi Guerouabi» revient dans sa neuvième édition du 23 au 26 octobre au palais de la culture Moudfi Zakaria, à Alger.
Le centre des arts El Kounouz à Alger accueillera du 20 octobre au 1er novembre prochain une exposition intitulée «Reflets d’oasis», signée par l’artiste Marthe Leus.
A la faveur d’une intéressante et passionnante rencontre- débat, organisée, samedi dernier, à la galerie d’art Guessoum, à Alger, les nombreux convives ont pu suivre les interventions d’une haute portée intellectuelle de quatre artistes peintres et plasticiens algériens de renom, à savoir Karim Sergoua, Mustapha Nedjai, Moncef Guita et Rachid Nacib. Les communicants ont essayé de répondre à la question suivante : existe-t-il un véritable marché de l’art en Algérie ?