Dans l’entretien qu’il a accordé à El Watan, Mohamed Elkeurti parle de son recueil de nouvelles qui a rencontré un joli succès public. Il précise que ses personnages «ne sont pas gâtés, du fait que les situations dans lesquelles ils se trouvent ne sont rien moins qu’angoissantes, sinon étranges, et c’est l’‘essence même de la littérature fantastique qui suppose l’intrusion de l’irrationnel, du macabre quelquefois dans un quotidien ordinaire».
La pièce Hallaq Ichbilia (Le Barbier de Séville) du Théâtre régional Azzeddine Medjoubi d’Annaba a décroché, dimanche 18 février, le prix du jury de la 2e édition des Journées théâtrales arabes de Sétif.
Le comédien et metteur en scène palestinien Ghanam Ghanam a présenté, samedi 17 février, le spectacle Bi oumi ayni 1948 (avec mes propres yeux 1948), au Musée national archéologique de Sétif, à la faveur de la 2e édition des Journées théâtrales arabes de la capitale des Hauts-Plateaux.
L’écrivain Mustapha Hadj Ali, un passionné par les thèmes historiques, a animé samedi dernier une conférence-débat à la bibliothèque communale de la commune d’Ath Laâziz, au nord de la wilaya de Bouira autour de son roman L’Evadé de Cayenne, une œuvre consacrée à un bagnard algérien.
Une rencontre littéraire sur l’écrivain italien Italo Calvino (1923-1985) a été animée samedi à Alger par des écrivains et universitaires algériens et italiens qui ont revisité l’œuvre de cet auteur, engagé dans la vie culturelle et politique dans son pays.
Le Théâtre national algérien (TNA) a organisé samedi à Alger une conférence consacrée au parcours militant et révolutionnaire du chahid Docteur Abdeslam Ben Badis, l’un des intellectuels algériens qui ont lutté dans les rangs du Front de libération nationale (FLN) et se sont engagés dans l’action révolutionnaire contre l’occupant français.
Le biopic réalisé par Christopher Nolan sur J. Robert Oppenheimer, le père de la bombe atomique, se positionne en grand favori des Bafta, les prestigieuses récompenses britanniques du cinéma qui seront décernées ce dimanche.
Au cinéma, on connait surtout les comédiens, un peu moins les réalisateurs, encore moins les scénaristes et pas du tout les techniciens, ces minutieux artisans sans nom sans qui un film n’existerait pas.
Combien d’adhérents à l’association ? 500 abonnés à travers 17 wilayas, et parmi eux, 90 ont déjà obtenu leur carte professionnelle.
Vendredi 16 février, le public de la maison de la culture Houari Boumediène de Sétif a assisté à la pièce El gharib ou naqib (L’étranger et le capitaine) écrite et mise en scène par Oussama Bin Zayed. Oussama Bin Zayed, qui a interprété le rôle du capitaine, a partagé la scène avec Ziad Hadhrami, qui a campé le personnage de Badr, l’étranger.
Cinq pays participent à cette manifestation organisée par l’association culturelle Fen El Ibdaa de Sétif. Outre l’Algérie, l’Irak, le Sultanat d’Oman et la Tunisie participent avec des spectacles en compétition jusqu’à dimanche.
Du 22 au 29 février, la Cinémathèque d’Oran abrite la deuxième édition des journées du film européen l 9 films au total sont attendus, entre comédies et drames, ainsi qu’une master class.
Faire de la littérature, c’est d’abord raconter des «histoires», en vers ou en poème, pour la poésie, en conte, en récit ou, le plus conventionnellement, selon la typologie consacrée, en roman, ce faiseur de «mondes». Mais raconter des histoires ne part pas de rien, il y a, bien sûr, nos expériences personnelles, notre vécu, notre histoire personnelle, et il y a l’histoire, celle avec un grand H, celle qui est la véritable source d’inspiration des écrivains, la muse des idéalistes.
L'Association culturelle nationale le "Kaki d'Or" a annoncé l'ouverture des candidatures pour participer à la septième session du Prix national éponyme, récompensant les meilleurs textes théâtraux, a-t-on appris auprès des organisateurs.
Un livre autobiographique, une auto-thérapie, des souvenirs, des réminiscences, les douleurs d’un parcours professionnel… d’une vie l Ou comment sortir du fond du gouffre… sain et lucide. Un retour de loin.
Djamel Laroussi, né le 5 janvier 1964 à Tiaret, autodidacte, carrure imposante et verbe facile, incarne, localement, l’essence même d’un artiste passionné.
L'«Expression mixte» est le générique de l’exposition de deux plasticiens : un reporter photographe dont les œuvres suscitent l’émerveillement, et un sculpteur sur bois qui convoque, à travers les objets finement ouvragés qu’il décline, un pan de patrimoine berbère dont la charge symbolique se veut omniprésente.
l Dans le cadre de la célébration du 29e anniversiare du décès de l’homme de culture Azzeddine Medjoubi, un hommage sous forme d’une journée commémorative lui sera dédié le mardi 13 février, à partir de 11h, au Théâtre national d’Alger.
«Sous l’égide du ministère de la Culture et des Arts, l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel organise en collaboration avec la Fédération algérienne de la culture et des arts, une tournée poétique pour présenter la dernière œuvre du poète irakien Mourtada Al Tamimi dans plusieurs wilayas du pays du 12 au 24 février.
L’ouvrage, considéré comme un travail de mémoire et académique à la fois, apporte de nombreux éclairages sur des faits survenus durant la période 1942-1962 dans le Nord constantinois.