Plusieurs grands défis attendent le président Kaïs Saïed après avoir obtenu le satisfecit populaire lors du référendum du 25 juillet 2022 sur son projet de Constitution.
Face aux tensions qui affectent le marché mondial des céréales, conséquence du conflit armé en Ukraine, l’Algérie se retrouve une nouvelle fois face au défi de développer sa production céréalière pour assurer l’autosuffisance.
Pour beaucoup de citoyens, l’eau ne vient ni du ciel ni du ventre de la Terre, mais tout bonnement du robinet. Point n’est donc besoin d’économiser une ressource que l’on croit infinie et dont on peut disposer à profusion par un simple geste de la main, comme par magie. Quand vous tombez quotidiennement sur des scènes de conduites qui fuient de jour comme de nuit, de citoyens qui lavent à grande eau leurs voitures ou le trottoir en face de leur maison, par ces temps de stress hydrique et de sévère sécheresse, vous comprenez alors qu’il est plus qu’urgent de changer le rapport de l’Algérien à cette eau qui ne cesse de se raréfier.
L’accélération du bouleversement climatique et l’accentuation du désordre social sont les deux défis majeurs de l’Algérie d’aujourd hui. La furie des éléments naturels, devenue de plus en plus régulière, avec son lot de victimes et de dégâts matériels, interpelle l’Etat au plus haut niveau.
Rares sont les hommes politiques qui font l’unanimité pour recevoir les éloges. Mikhaïl Gorbatchev en fait partie indiscutablement. L’ancien président de l’URSS, secrétaire général du puissant PCUS, est mort hier, et le monde entier s’est incliné à l’annonce de cette nouvelle.
Cette année, la rentrée scolaire connaît un chamboulement presque attendu. La décision d’introduire la langue anglaise à partir du cycle primaire vient s’ajouter aux sempiternelles tracasseries qui minent ce genre de rendez-vous.
On espérait une rentrée scolaire à peu près normale après deux années pénibles dues à la pandémie. Visiblement, ce n’est pas encore gagné. Car, si la situation sanitaire s’est nettement améliorée, beaucoup d’indices laissent entrevoir que cette rentrée 2022-2023 ne sera pas des plus sereines.
Le Bureau fédéral (BF) se réunira aujourd’hui à Oran en marge de la tenue du tournoi UNAF de la catégorie U17 qu’accueillent les villes de Mostaganem et Sig.
La visite d’Emmanuel Macron à Alger, un nuage d’été ou un progrès dans les relations tumultueuses entre la France et l’Algérie ? On le saura dans un proche avenir, une fois les lampions éteints et les langues amenées à se délier. Du fait même d’une rencontre entre les deux chefs d’Etat et d’un voyage officiel, c’est un progrès.
Le communiqué du gouvernement rendu public à l’issue de sa réunion tenue mercredi est symptomatique du peu d’entrain observé chez les responsables en charge des affaires du pays au sujet du développement local.
La rupture des stocks de médicaments vitaux est, certes, un vieux problème récurrent qui dure depuis plusieurs décennies en Algérie, mais ces dernières années, ce fléau a pris des proportions alarmantes. Ces ruptures de stocks concernent autant les médicaments importés que ceux produits localement.
Comment éviter la reproduction des scénarios catastrophes d’El Tarf et de Tizi Ouzou ? Il va falloir que les pouvoirs publics ouvrent ce dossier et agissent rapidement pour doter le pays d’un système efficace d’anticipation et de lutte contre les incendies.
En tant que pays semi-aride situé presque entièrement à l’intérieur du plus grand désert du monde, c’est peu de dire que le réchauffement climatique pose à l’Algérie de nouveaux défis.
Du 25 au 27 août, Emmanuel Macron effectuera une visite officielle de trois jours dans notre pays, avec deux villes au menu : Alger et Oran. Sa dernière visite en Algérie remonte, rappelle-t-on, au 6 décembre 2017, soit il y a cinq ans, et elle n’avait duré qu’une douzaine d’heures.
Telle une malédiction, les feux de forêt s’abattent régulièrement sur le pays. Ils emportent, hélas, beaucoup de vies humaines.
Deuil et colère comme il y a une année. Cela pourrait bien recommencer l’été prochain sous les coups de boutoir de la nature, désormais hors de contrôle, par l’effet apocalyptique du dérèglement climatique, de portée planétaire. Comme d'autres pays désertiques et semi-désertiques, l’Algérie paye le prix le plus fort, pas seulement à la furie des feux, mais aussi au déferlement d’eaux issues d’orages ravageurs. Dans quelques semaines, des torrents vont balayer les villes et villages et ajouter de la destruction à la destruction.
Le massacre que perpétue Tsahal à Ghaza ne sera pas télévisé. La vie des enfants palestiniens comme celle des Yéménites ne compte pas pour le «monde libre», ses plateaux télé et ses BHL.
Le parcours du quotidien El Watan durant ses trente-deux ans d’existence a toujours été jalonné d’embûches et d’entraves de différentes natures.
Lorsque l’on voit ces milliers de baigneurs agglutinés sur nos plages, parasol voilé contre parasol voilé et table contre table, on est en droit de se demander si on peut les appeler touristes...
Si le journal El Watan venait à disparaître définitivement des kiosques, ce qui, à l’heure actuelle n’est pas exclu, on sablera le champagne d’abord à Rabat. Depuis plus de trente années, le quotidien a porté à bout de bras le combat des Sahraouis pour leur indépendance et pour cela il est honni au Maroc.