Deux milles vingt quatre, année perdue pour la paix et la justice. D’abord, l’incroyable boucherie de Ghaza, Israël soumettant quotidiennement ce territoire et sa population à un tapis de bombes.
C’est avec douleur que je pense à Ghaza, à tant de cruauté, aux enfants mitraillés, aux bombardements d’écoles et d’hôpitaux.»
L’Algérie, avec ses paysages montagneux variés, de la verdure dense des forêts du Nord aux formations rocheuses spectaculaires du Hoggar, dispose d’un potentiel touristique énorme.
Le sujet de la numérisation est devenu incontournable dans les interventions publiques des responsables de tous les secteurs de la vie nationale.
Bien qu’elles aient bénéficié de projets de développement à l’échelle locale, visant essentiellement à améliorer le cadre de vie d’une population ayant souffert de disparités en matière d’opérations structurantes, les zones frontalières de la région Est ont souvent été rattrapées par les images des activités de contrebande de divers produits, qui continuent de coller à ses habitants.
La révision des codes communal et de wilaya aborde sa dernière ligne droite avec la finalisation du travail des experts et en attente d’un enrichissement et des observations des représentants des partis politiques siégeant dans les assemblées élues.
Peu à peu s’estompe l’émotion suscitée par la chute de Bachar Al Assad et se mettent en place de nouveaux jeux géopolitiques dans lesquels est intégrée la nouvelle Syrie libérée par le mouvement Hayat Tarhir Al Sham, conduit par Mohammad Al Joulani.
On s’attendait à tout, sauf à ça ! Qu’un haut fonctionnaire de l’Organisation des Nations unies fasse preuve d’autant d’aveuglement et de discrimination à l’égard des Palestiniens qui subissent un véritable génocide, ordonné par Benyamin Netanyahu et les suprémacistes racistes de son gouvernement.
L’Algérie et l’UE s’apprêtent à entrer dans une phase de «consultations techniques» pour réviser l’accord d’association, signé entre les deux parties en 2002. Les négociations, qui débuteront en janvier prochain, visent à établir un cadre plus équitable et adapté aux réalités économiques actuelles.
Au lendemain de la «chute» de Damas et de la fuite de Bachar Al Assad, plusieurs pays européens, dont la France, l’Allemagne, le Danemark, la Belgique, la Norvège, la Suède et la Grèce, ont annoncé, en cascade, la suspension de l’examen de demandes d’asile, émanant de Syriens. Le Royaume-Uni et la Suisse les ont immédiatement suivis. L’Autriche est allée jusqu’à annoncer qu’elle préparait un programme de rapatriement et d’expulsion de réfugiés syriens !
Le cycle de formation sur le thème de l’agriculture et du développement rural, organisé la semaine dernière au profit des P/APC, rappelle l’ampleur et l’importance des tâches qui incombent aux élus en exercice et attendent les prochaines assemblées locales.
Depuis des années, le ministère de la Santé et les structures concernées par la lutte contre le cancer sous ses différentes formes en Algérie mènent inlassablement des campagnes de sensibilisation pour enraciner la culture du dépistage auprès des citoyens.
On pensait que le pire de l’horreur avait été atteint dans la guerre génocidaire que mène Israël contre les Palestiniens qui vivent un véritable calvaire depuis 420 jours.
Le ministère de l’Education nationale a initié ces derniers jours un cycle de réunions avec les représentants des organisations syndicales. La densité de ces «rencontres bilatérales avec les partenaires sociaux» atteste de la volonté des pouvoirs publics de renforcer la stabilité recouvrée dans le secteur.
Fin du calvaire pour le peuple syrien. Durant 54 ans, il a subi l’enfer avec le clan Al Assad, d’abord avec le père Hafez et ensuite le fils Bachar, 54 ans durant lesquels il a connu une répression sanglante avec les emprisonnements arbitraires, la torture, le viol des jeunes femmes.
Le régime de la dynastie Al Assad, qui a régné sur la Syrie durant un demi-siècle, vient de s’effondrer. C’est un événement majeur au Proche-Orient. La chute du régime de Damas rebat les cartes de la géopolitique régionale, du fait de l’implication de puissances étrangères sur le théâtre syrien.
Israël vient de reconnaître que son armée a été à l’origine de l’assassinat de six de ses ressortissants détenus à Ghaza par le Hamas, après l’attaque du 7 octobre 2023. Ces prisonniers enlevés par le Hamas auraient étés tués, ainsi que leurs six gardiens palestiniens, lors d’une attaque sioniste, en février dernier.
Une campagne de sensibilisation aux dangers de la route en temps hivernal a été lancée en direction des automobilistes à travers plusieurs wilayas du pays. Des consignes sont prodiguées à l’effet de relever le niveau de vigilance et de respect des règles de conduite, en prévision des perturbations météorologiques se répercutant sur les conditions de circulation sur les routes.
Le monde entier est pétrifié par l’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche à cause de ce qu’il va entreprendre pour assouvir son obsession de faire des Etats-Unis le gendarme de la planète. La zone qu’il va privilégier sera le Moyen-Orient, ayant d’autres projets moins destructeurs pour le conflit Russie - Ukraine. Il vient de déclarer que si «les otages à Ghaza ne seront pas libérés avant le 20 janvier 2025, le prix à payer sera ''terrible'' au Moyen-Orient, et pour les responsables qui ont perpétré ces atrocités contre l’humanité».
La situation à Ghaza est «épouvantable et apocalyptique». Jamais l’ONU, durant toute son existence, n’a employé des mots aussi dramatiques, aussi forts pour décrire et dénoncer l’extermination des Palestiniens en Cisjordanie et à Ghaza par Israël.