Depuis des décennies, la saison estivale a toujours été une période à haut risque et une source de fortes inquiétudes pour les pouvoirs publics.
Le monde a-t-il perdu son humanité au point d’être tétanisé et de rester insensible devant les larmes d’enfants palestiniens errant parmi les ruines de la maison familiale détruite par les bombes américaines à la recherche de leurs parents, sans doute sous les décombres ?
La veille de sa seconde investiture, Donald Trump, la main sur le cœur, s’est présenté, aux yeux des Américains et du monde, comme un homme de paix, un homme qui n’aimait pas la guerre.
Le Sommet national organisé la semaine dernière sous le thème : «La jeunesse et la participation politique» remet à l’ordre du jour la question du renforcement de l’action des assemblées locales, qui s’inscrit au cœur des préoccupations des citoyens.
Sur les réseaux sociaux, les Algériens sont moins intéressés par la politique et l’économie que par la vie de tous les jours et par la religion, celle-ci occupant de plus en plus une place grandissante, y compris dans les annonces publicitaires commerciales.
Le complot américano-israélien visant l’éradication du peuple palestinien de la terre de ses ancêtres entre dans une nouvelle phase qui, plus que la guerre Iran-Israël, embrasera tout le Moyen-Orient et pourquoi pas son morcellement. Les deux complices, Donald Trump et Benyamin Netanyahu, louent des progrès qui ne manquent pas d’inquiéter.
Le renforcement en cours du secteur de la santé en équipements médicaux de pointe permettra d’asseoir un système de soins performant, à même d’assurer une prise en charge intégrale du malade dès son admission dans une structure publique.
A l’heure où la rivalité sino-américaine redéfinit les rapports de force mondiaux, l’Algérie se positionne en équilibriste stratégique en adoptant le non-alignement actif, héritier des principes du Mouvement des non-alignés, adapté aux réalités factuelles. Cette ligne fondamentale lui permet de tirer profit à la fois des investissements chinois massifs et du rapprochement diplomatique avec Washington, tout en préservant sa souveraineté de décision.
En décembre 2016, Trump, fraîchement élu, accédait au poste le plus puissant de la planète. Il adopte à l’égard des mastodontes de la finance, qu’il recevait dans son bureau, une position de servile soutien : «Vous êtes uniques au monde !» «Je suis là pour faire en sorte que ça marche pour vous.»
En ce jour historique du 5 juillet, l’Algérie vibre au rythme du 63e anniversaire du recouvrement de sa souveraineté. Ce référent historique majeur reste une date-clé dans la mémoire collective algérienne qui en retient divers aspects historiques fondamentaux. Les Algériennes et les Algériens retiennent d’abord le fait que le combat libérateur illustre un passé récent, à la fois tragique, vécu par nos ancêtres et une histoire glorieuse faite de sacrifices et d’héroïsme de nos aïeux qui ont mené un historique combat de décolonisation.
A l’heure où le monde se réinvente sous le prisme de l’innovation, de la discipline et du savoir, le modèle nippon inspire de plus en plus de décideurs et d’experts du monde entier. Ravagé après la Seconde Guerre mondiale, le Japon est devenu une puissance technologique mondiale grâce, entre autres, à un système éducatif rigoureux et une vision stratégique du développement scientifique.
Israël et les Etats-Unis ont mis au point et organisé «les massacres à la chaîne avec un simulacre de distribution». Le constat sans appel est fait par MSF (Médecins sans frontières), une ONG qui, depuis des décennies, vient au secours des démunis à travers le monde, très respectée et apolitique.
L’un des enseignements à tirer de la guerre des douze jours, comme on l’appelle désormais, est que le droit international n’est plus malheureusement la norme dans les rapports entre les nations. Tout ce qui a été bâti depuis la Seconde Guerre mondiale en vue d’assurer la paix, la sécurité et le règlement pacifique de conflits par la négociation et la diplomatie est battu en brèche.
La période des grandes vacances est aussi celle des grandes besognes. Il en est ainsi du secteur des ressources en eau dont le rythme de travail connaît son apogée en été.
Désigné du doigt, culpabilisé, considéré comme un pestiféré, au cœur de l’actualité explosive mondiale, l’Iran est sorti de l’ombre, donnant lieu à une prolifération d’intervenants, sur les plateaux tv, supposés experts, souvent des chefs d’état-major d’armées occidentales, à la retraite, sans arguments convaincants, plutôt montrant leurs vives appréhensions et inquiétudes vis-à-vis de l’Iran et de ses possibilités nucléaires.
Il a bombardé les installations nucléaires iraniennes, en contournant le Congrès américain, couvert l’attaque israélienne sur le sol iranien et stoppé le processus de négociations sur le nucléaire avec Téhéran.
On nous a promis de la farine. On nous disait chaque jour que les camions arrivent. Rien, rien à manger, rien à manger !»
Le 1er décembre prochain, nous célébrerons le quarantième anniversaire de la disparition de M’hamed Issiakhem, cet artiste écorché-vif qui a marqué d’une empreinte indélébile la culture et l’art algériens. Compagnon de route de Kateb Yacine et ce depuis les années 1950 à Paris, ayant fait avec l’auteur de Nedjma les quatre cents coups et même davantage, la vie d’Issiakhem est solidement liée aux trois premières décennies de l’Algérie indépendante.
Des sessions de formation au profit des gestionnaires des établissements de jeunes ont été lancées en début de semaine et devront se poursuivre jusqu’à fin septembre prochain, coïncidant avec la rentrée sociale.
La 30e et dernière journée du championnat d’Algérie de football, exercice 2024-2025, a été endeuillée par la mort de plusieurs supporters du MC Alger suite à une chute d’une vingtaine de mètres au moins de la tribune supérieure située au-dessus de la tribune de presse. L’accident est survenu à la fin du match et juste avant la remise du trophée aux joueurs du Mouloudia.