L’exigence faite au personnel enseignant par le ministère de l’Education nationale pour demeurer à son poste de travail au sein des établissements scolaires, en dépit de la décision prise par les pouvoirs publics d’interrompre les cours en présentiel pour une durée de 10 jours en raison de la flambée des contaminations enregistrée ces derniers jours, a suscité colère et indignation auprès des syndicats du secteur.
L’Algérie n’est pas loin de devenir la «lanterne rouge» des pays du monde en matière de respect des libertés consacrées par la Convention universelle des droits de l’homme qu’elle a pourtant ratifiée il y a plusieurs années.
De variants en sous-variants, la pandémie de coronavirus tient en haleine la planète entière.
Israël n’est pas mûr pour faire la paix avec les Palestiniens. On peut se demander si réellement il a aspiré un jour à cette paix. La preuve : son acharnement à judaïser toute la ville sainte de Jérusalem, en violation du droit international.
Les fans de l’équipe nationale de football ont vécu une soirée cauchemardesque dimanche dernier, à l’occasion du match très attendu des Verts contre la Guinée équatoriale dans le cadre de la Can-2021.
Même s’il n’arrive pas à mener l’équipe nationale à la qualification au second tour de la CAN, le coach Djamel Belmadi aura amplement mérité son titre de «ministre du bonheur».
Sans tomber dans l’alarmisme et autre catastrophisme béats, ni seriner le couplet du spectre de la pandémie et l’imminence d’un pic, on l’espère pas fatal ni létal, quant à l’impact et l’incidence sur le monde de la culture.
La publication des vidéos de l’ancien secrétaire particulier du général Gaïd Salah, Bounouira Guermit, sur les réseaux sociaux a provoqué un véritable tsunami sur la Toile et mis en état de choc l’opinion publique nationale.
Les participants au séminaire sur la modernisation du système de santé, qui vient de se tenir à Alger, ont, entre autres, recommandé «l’amélioration de la contractualisation des structures de soins avec les caisses d’assurance».
La démographie reste un paramètre important dans tout pays qui désire assurer avec maîtrise son développement et éviter les risques de la surprise face à un certain nombre de difficultés qui ne lui laisseront pas vraiment un temps de réaction.
Manifestement, une nouvelle pratique politique est en train de s’installer dans le pays, à contre-courant de celle qui s’observe depuis l’entrée en vigueur des dispositions du multipartisme, il y a de cela plus de trente ans.
Les autorités sanitaires et les praticiens du secteur multiplient les appels à la vigilance à l’endroit de la population, en l’exhortant à un respect rigoureux des gestes barrières de protection contre la pandémie de Covid-19. L’intrusion en Algérie du nouveau variant Omicron inquiète par son degré élevé de contagiosité et de propagation rapide reconnu par les experts.
Le séminaire sur la modernisation du système de santé, qui vient de se tenir à Alger, a permis de raviver le débat institutionnel sur la nécessité de «réformer globalement et profondément» ce secteur névralgique. Parmi les axes de réflexion figurent, notamment, la gouvernance, le financement et la refonte de la formation médicale.
Dans un contexte où le débat public et les interventions officielles tournent globalement autour de la préoccupation alimentaire de base, il est bon de remettre à l’ordre du jour des dossiers aussi névralgiques et vitaux que celui de la santé. En mauvais état depuis de nombreuses années, ce secteur nécessite, aujourd’hui, une véritable admission en réanimation.
De façon cyclique, des tensions sur certains produits de large consommation sont observées sur le marché, donnant lieu à ces images récurrentes de queues interminables devant les magasins d’alimentation.
Avec l’année 2022 qui démarre, le pays se met-il sur les rails du changement ou va-t-il continuer à naviguer dans les eaux troubles de la crise ? Les dirigeants versent dans l’optimisme et avancent leurs arguments, ce qui n’est pas le cas d’une bonne partie de la population, vaccinée contre les promesses et aujourd’hui plongée dans un état de grande sidération par l’effet des malheurs cumulés.
Le président Abdelmadjid Tebboune s’est engagé à tordre le cou à la corruption lors du dernier Conseil des ministres de ce dimanche 2 janvier courant.
Sur le plan international, ce début d’année commence par une interrogation : l’accord d’association qui lie l’Algérie et l’Union européenne sera-t-il révisé cette année ? L’accord qui inclut la fameuse zone de libre-échange est particulièrement défavorable pour l’Algérie qui souhaite l’amender.
Le Premier ministre a réagit ce week-end au rapport de la Banque mondiale sur la situation économique du pays et ses perspectives à l’orée de la nouvelle année.
Il est symptomatique de la dégradation de la qualité du débat national quand un secteur aussi névralgique que celui de l’éducation ne soit évoqué qu’à l’occasion des vacances scolaires ou de l’enclenchement des mouvements de grève des enseignants. Vidée de son contenu pédagogique et des questionnements que cela soulève, l’année scolaire est vouée aux joutes syndicales et à la perpétuelle préoccupation liée à la programmation des examens.