Avec une narration classique, sans prétention et une histoire qui tient la route, le film «Mandoob» représente quand même une évolution, celle de montrer un visage inattendu de la société saoudienne.
Projeté en compétition et en avant-première mondiale dans la soirée de dimanche, le film «Terre de Vengeance», du réalisateur algérien Anis Djaad ayant quand-même drainé un peu plus de public que d’habitude, a reçu un accueil mitigé. Les silences, les plans fixes à durée indéterminée, les lenteurs, etc. font certainement écho à son très beau court métrage, le méditatif «Passage à niveau» sorti il y a une dizaine d’années.
Le film La Gare ou Ain Lahdjar a été choisi comme film d’ouverture de la douzième édition du Festival du film arabe d’Oran et a été projeté en avant-première samedi à la salle Mahgreb. S’exprimant juste avant, son réalisateur, l'Algérien Lotfi Bouchouchi, a sans doute bien fait d’avertir les spectateurs de ne pas s’attendre à voir un film dans le style de son premier coup d’essai, Le Puits.
Le défunt s’est produit sur plusieurs scènes en répondant présent à chaque fois que les animateurs culturels de la ville faisaient appel à lui.
Pour tous ceux qui ont mis un bulletin dans l’urne, hommes ou femmes, jeunes ou moins jeunes, la journée d’hier s’est passée dans une grande sérénité à Oran. Tous les moyens nécessaires ont été réunis pour que cette présidentielle de 2024 se déroule dans des conditions optimales.
Des travaux seront incessamment lancés pour rénover un tronçon, d’une longueur de 4 km, du réseau d’acheminement d’eau, celui qui est situé en aval de la station de dessalement d’eau de mer d’El Mactaa.
A la veille du départ de son équipe à Izmit, en Turquie, Youcef Bouzidi, l’entraineur du MCO, a déclaré que son équipe va jouer le haut du tableau du championnat cette saison car toutes les conditions sont réunis pour réaliser cet objectif.
Le département d’aéronautique de la faculté de génie mécanique de l’Université des sciences et de la technologie d’Oran (USTO-MB) a investi près de 12 millions de dinars pour l’acquisition d’un simulateur de vol, apprend-on auprès de Maamar Boudia, porte-parole de cet établissement.
l Le premier tronçon de 8 km, sur les 26 devant relier le port à l’autoroute Est-Ouest, sera ouvert aux usagers dès cette semaine. Un projet d’une importance capitale pour désengorger l’ancienne route empruntée par près de 1800 camions par jour, avec tous les désagréments qu’on imagine sur la circulation mais aussi sur l’environnement urbain.
Parmi les projets relatifs à l’approvisionnement en eau à Oran, il y a celui de la grande opération de transfert à partir d’Oued Tlelat qui est attendue. Il s’agit de réaliser pas moins de 530 km de canalisations, un certain nombre d’ouvrages, dont des réservoirs (7000 m3), mais aussi des stations de pompage nécessaires pour l’adduction d’eau.
Deux parmi six nouvelles spécialités (4 licences et 2 masters) qui seront lancées à l’USTO-MB à la rentrée universitaire prochaine entrent dans le cadre global de la volonté des autorités du pays de développer l’industrie mécanique en tentant de répondre stratégiquement aux exigences de l’industrie contemporaine.
Par cette initiative, nous avons voulu donner une dimension théâtrale à un genre déjà connu en Algérie mais qui se pratique de manière éparpillée», explique l’animateur qui n’est pas à sa première expérience en tant que formateur et par conséquent en tant que promoteur du genre.
L’université des sciences et technologies d’Oran Mohamed Boudiaf a participé en Tunisie au 4e sommet universitaire Japon-Afrique du Nord célébrant le 20e anniversaire de l’alliance pour la recherche sur la Méditerranée et l’Afrique du Nord (Arena).
La récompense de la 14e édition du Festival local de théâtre de Sidi Bel Abbès, qui s’est clôturé jeudi à Oran au Théâtre régional Abdelkader Alloula, est allée vers la pièce Maqabl el Masrah de l’association Kartina de Mostaganem.
La 14e édition du Festival local du théâtre professionnel de Sidi Bel Abbès, délocalisé momentanément à Oran pour cause de rénovation de la bâtisse du théâtre régional de la capitale de la Mekkera, a été ouverte avant-hier au TRO dans une ambiance autant émouvante que festive.
Durant la guerre civile espagnole, la communauté d’origine ibérique à Oran était divisée et la moitié s’était déclarée ouvertement en faveur de Franco. Mais presque tous se confondront dans le paysage colonial français et donc forcément et globalement à l’encontre de l’intérêt des Algériens.
Les étudiants de l’USTO auront loisir de faire des licences en urbanisme, en automatique (système automobile) et en génie industriel (métier industriel et fabrication mécanique), trois filières qui seront enseignées dès la prochaine rentrée universitaire.
Costumes et accessoires ou éléments de décor utilisés dans les productions théâtrales meublent depuis la semaine dernière le grand hall et les travées du Théâtre régional d’Oran. Cette initiative, prise par l’actuel directeur Mourad Senouci, vise à donner au visiteur des lieux une occasion de se pencher, de manière originale, donc non conventionnelle, sur l’histoire de ce théâtre.
L’ombre de Rachid Taha (1958-2018) a plané jeudi sur la scène du Théâtre régional d’Oran, le temps d’un concert événement organisé à l’initiative de l’Institut français et concocté spécialement pour lui rendre hommage.
lUn large pan de la peinture de Othmane Mersali est exposé en ce moment et jusqu’au 31 juillet au musée Zabana, à Oran.