La dernière semaine du noctambulisme qui caractérise le mois de Ramadhan est sans conteste celle des enfants. Ils sont, en effet, garçons et filles, remarquablement si nombreux à se faire accompagner par leurs parents le temps de longues déambulations, particulièrement dans le centre-ville et ses rues commerçantes mais aussi dans d’autres lieux, réputés comme tels, à la recherche des bonnes affaires pour mieux s’habiller le jour de l’Aïd.
Le diplomate ougandais qui était accompagné par Tumwin Ronald, responsable des affaires étudiantes de l’ambassade, a, lors de cette visite, eu une rencontre avec les étudiants de son pays. Ces derniers ont exprimé leur satisfaction concernant leurs conditions d’études, d’hébergement et d’intégration.
La projection de courts métrages est toujours un moment intéressant dans le sens où il permet les découvertes ou du moins les indices à travers lesquels il serait possible de se projeter dans le cinéma de demain. Tournés en Algérie ou ailleurs, mais en rapport avec le pays, une série de courts métrages a été proposée jeudi à l’institut français d’Oran en présence des concernés, réalisateurs ou acteurs des films. Tout part de l’idée, mais même quand on en a pas (ou pas encore), on peut toujours se fier à la mémoire individuelle ou familiale.
L’ambassadeur en Algérie de la République d’Ouganda, Julius Joshua Kivuna, a été reçu la semaine dernière à l’université Oran 2 par Ahmed Chalal, recteur de cet établissement d’enseignement supérieur.
Si la pièce intitulée Errabaâ, lla ! (La quatrième….Non !), écrite, mise en scène et produite par Mohamed Adar (coopérative Boudoud el Intadj) a été présentée en 2014, elle aurait très certainement été vue comme une allégorie de la situation politique vécue en Algérie à ce moment-là, ce qui lui aurait, à tort ou à raison, conféré un peu plus de sens comme l’étaient, dans un tout autre contexte, les pièces adaptées par Abdelkader Alloula (1939-1994) de l’œuvre de l’écrivain turc Aziz Nesin (1915-1995).
Pour quelqu’un qui veut devenir célèbre, la prestation assurée lundi au TRO n’est peut-être pas la meilleure manière qui soit pour y arriver.
La défaite contre la JSK, dernière de toute une série, enfonce davantage le MCO dans le doute en le clouant au bas du tableau, et la situation rappelle étrangement celle des années précédentes, malgré les changements opérés au niveau de la direction du club et les moyens mis à sa disposition.
L’accord vise à encourager la mobilité des étudiants, des enseignants et du personnel administratif, développer des formations conjointes, favoriser la mise en place de projets de recherche collaboratifs et promouvoir l’échange de bonnes pratiques dans divers domaines d’enseignement et de gestion universitaire.
Dans le cadre de sa tournée en Algérie sur invitation de l’Institut français, le chanteur chaâbi Kamel El Harrachi a animé un spectacle à Oran ce week-end.
La vie était déjà chère bien avant et c’est pour cela qu’il est inutile de chercher un quelconque effet du Ramadhan sur les prix», indique un vendeur de fruits et légumes au marché de la Bastille (actuellement rue des Aurès). Sur son étal, la pomme de terre est affichée à 130 DA.
l L’université Oran 2 accueille actuellement 16 étudiants sahraouis, 7 en droit, 4 en langues étrangères, 2 en sciences économiques, commerciales et de gestion, 2 en sciences sociales et 1 en sciences de la terre et de l’univers.
Belle est cette initiative qui consiste à réunir une belle voix et une guitare. C’est ce qui caractérise le duo que forme Malik Hanouche avec Souad Bouali, la chanteuse pour laquelle le guitariste vient de réaliser de beaux arrangements inédits pour un morceau inspiré du style «andaloussi», plus particulièrement les «mouachahates».
Parmi les visiteurs du salon ECSEL, dédié au e-commerce et aux services en ligne, qui a eu lieu du 22 au 24 février, au centre des conventions d’Oran, beaucoup de jeunes, notamment des étudiants, ont répondu présents.
Une délégation de l’université de Tifariti de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) comprenant le doyen de cette institution, Moulay M’hamed Brahim, ainsi qu’un représentant chargé de la culture à l’ambassade de la RASD en Algérie a été reçue lundi à l’université Oran 2 par son recteur Ahmed Chalal.
C’est un spectacle original, placé dans la catégorie jazz, qui est proposé par la formation que dirige Abdelhakim, dont une version de ce projet intitulé «Abdelhakim’s steps» a été proposée jeudi à Oran, sur invitation de l’Institut français après une tournée qui englobe également les villes d’Annaba, Constantine et Tlemcen. Un spectacle qu’on pourrait dire divisé en deux parties avec, dans un premier temps, des compositions axées plutôt sur les mélodies et, ensuite, tout un pan où la percussion domine.
Une cérémonie accompagnant le chargement sur un navire d’une cargaison destinée à l’exportation de produits du complexe sidérurgique Tosyali a été organisée jeudi au port d’Arzew en présence du directeur général des douanes, Abdelhafidh Bekhouche du directeur général du Conseil du Renouveau Economique Algérien (CREA) et des autorités locales.
Le duo formé par Amar Amarni et Jasmina Petrovic est en quelque sorte une preuve supplémentaire qu’il existe réellement un fonds musical commun aux peuples du bassin méditerranéen.
Les chiffres sont donnés jeudi par le chef de l’exécutif local précisant que «pour une seule bâtisse, ce sont donc plus de 90 milliards de centimes (900 millions de dinars) qui ont été dégagés». C’était aussi pour dire que «là où il est possible de rénover et à chaque fois que les moyens le permettent, l’Etat ne lésinera pas sur les moyens».
En s’inclinant un but à zéro vendredi contre l’USM El Harrach, le MC Oran sort de la compétition pour la Coupe d’Algérie et provoque une grande déception chez les supporters qui, face aux déconvenues en Championnat, avaient gardé de grands espoirs sur le parcours de leur équipe en Coupe.
L a wilaya d’Oran dispose de deux grandes stations d’épuration des eaux usées, la plus grande à El Kerma pour une capacité de traitement théorique de 270 000 m3 par jour et la seconde à Cap Falcon (Aïn El Türck) pour une capacité de 30 000 m3/j.