C’est l’une des associations les plus anciennes à Oran qui contribue toujours à la préservation de cette musique traditionnelle dite andalouse mais pratiquée uniquement dans le Maghreb, essentiellement en Algérie et au Maroc.
La 15e édition du Festival de la chanson oranaise a été ouverte dans la soirée de dimanche à la salle le Maghreb. Une édition prévue au départ sur trois jours comme le montre l’affiche annonçant l’événement, mais qui a été finalement rallongée pour durer cinq jours.
Intitulée «Les terres rares, un substitut énergétique», la conférence du Pr Aïssa se veut aussi une occasion de «remettre les pendules à l’heure», selon sa propre formulation.
l La chanteuse tunisienne Nawel Benkraiem s’est déjà produite sur scène en Algérie, à Oran en particulier, mais c’était dans un cadre collectif, notamment avec «l’Armée mexicaine», le concept qui a débarqué il n y a pas si longtemps pour rendre hommage à Rachid Taha (1958-2018).
Sous l’appellation «Hayat Tahrir Al Sham» (HTS), l’organisation islamiste qui a initié et mené l’offensive contre Bachar Al Assad existe sous cette appellation depuis 2017, mais son histoire remonte à bien des années plus tôt et a connu beaucoup de soubresauts et de changements de cap avérés ou feints et c’est selon.
Pour Ahmed Attaf, la marginalisation du continent africain ne concerne pas que les Africains eux-mêmes et l’«Oran Process» œuvre à contribuer à réparer l’injustice historique imposée au Continent afin de lui permettre de porter haut et fort sa voix à l’international.
Le message du président de la République évoque la situation de crise qui caractérise les relations internationales pour mettre en avant la nécessité de faire entendre les voix de la sagesse, de la justice et de l’engagement.
Une exposition en hommage au peintre Abderrahmane Mekki est proposée au public du musée d’Oran depuis jeudi dernier, jour du vernissage qui a rassemblé un grand nombre d’invités, dont notamment des artistes peintres, des enseignants dans les Beaux-Arts mais surtout beaucoup d’étudiants du domaine et de l’école d’Oran en particulier.
Belle prestation que celle donnée par la chanteuse espagnole Karmento à Oran samedi dernier.
Une journée scientifique portant sur le patrimoine immatériel a été organisée lundi au musée Zabana, une initiative commune entre cette institution et l’Université Oran 2 par le biais de sa faculté des sciences sociales et son unité de recherche en sciences humaines.
L’écrivain Lazhari Labter a, sans doute, raison de souhaiter que le nom d’Anna Gréki, de son vrai nom Colette Anna Grégoire, soit apposé quelque part en Algérie en hommage à cette militante de la cause nationale algérienne.
La série des bons résultats se poursuit pour le MC Oran qui vient de battre l’Entente de Sétif et accéder par la même occasion, même si c’est si juste pour 24 heures, à la place de leader du championnat. Une symbolique forte pour l’équipe oranaise qui affiche clairement cette année ses ambitions de jouer les premiers rôles.
L’exploration et l’exploitation minière sera au centre de la journée scientifique prévue en décembre à l’initiative de la faculté des sciences de la terre et de l’univers de l’université Oran 2. Une occasion pour mettre en avant le potentiel national dans ce secteur notamment en ce qui concerne les terres rares considérées comme «un substitut énergétique» à potentiel économique indéniable pour l’avenir.
Les étudiants, des universitaires, des représentants d’instances financières, d’entreprises publiques et privées ont pris part au séminaire organisé mercredi dernier à l’école supérieure d’économie d’Oran. Le programme comporte deux tables rondes.
La femme est le combat pour l’indépendance, mais aussi pour la promotion de la paix dans le monde, a été au centre de la rencontre organisée lundi au musée Zabana à Oran.
Le peintre Nouredine Belhachemi a été l’invité du musée Zabana à Oran le 19 octobre pour un double événement.
On devine bien que dans ces cas-là, ce sont les enfants et surtout les femmes qui en pâtissent et c’est sur cette catégorie que la réalisatrice irano-américaine Anna Fahr a voulu attirer les regards par son film Valley of exile (comptant pour le Liban) et projeté au festival du film arabe d’Oran.
Le traitement des demandes de visas pour l’Espagne sera scindé en deux, et une des parties concernera celles formulées pour la première fois. «Un traitement spécifique aux primo-demandeurs» pour, indique le consul général d’Espagne à Oran, M. Juan Lopez Herrera, plus d’efficacité dans la gestion de ce dossier qui enregistre toujours un afflux remarquable.
La cérémonie de clôture a été ponctuée par plusieurs hommages rendus à des personnalités diverses.
Présent uniquement avant la projection, le réalisateur Mauritanien Abderrahmane Sissako a exprimé son affection pour l’Algérie, un pays qui lui tient à cœur, car ayant lui-même un demi-frère algérien de par sa mère.