Pris individuellement, les éléments engagés dans le spectacle intitulé La Discrétion, présenté jeudi au TRO ont sans doute, chacun dans son domaine, un talent avéré. Mais c’est le rendu de cette «performance» qui laisse à désirer, du moins pas à la hauteur des attentes eu égard à l’importance en nombre et sans doute aussi en qualité des «acteurs institutionnels» engagés dans la production.
Le programme du festival du film ibéro-américain, prévu à Oran cette année entre le 15 et le 27 mai, concerne une dizaine de films d’expression espagnole ou portugaise et issus de plusieurs pays dont, hormis l’Espagne et le Portugal, l’Argentine, le Brésil, la Colombie, Cuba, le Chili, le Mexique, le Pérou et le Venezuela.
Le spectacle, donné à l’Institut Cervantès, est le résultat d’une initiative que la flûtiste espagnole avait prise lors de sa première venue à Oran l’an dernier en organisant des masters-class.
L’œuvre picturale de Patrick Altes semble être, mais c’est une façon de parler, beaucoup plus dans les mots que dans le graphisme. Il fait partie de ces artistes qui ne tarissent pas d’explications au sujet de leurs œuvres, donnant leurs propres grilles de lecture et leurs interprétations mais surtout leurs intentions qu’elles soient admises ou pas par le public.
La compagnie Rassegna a offert de réels moments de partage musical au public du TRO à Oran, un spectacle intitulé Luna LLela, prélude à une petite tournée devant concerner cette semaine autant Tlemcen (maison de la culture) que Annaba (29 avril) et Constantine (30 avril), un événement organisé en collaboration et à l’initiative de l’Institut français.
L’auditorium de l’USTO-MB portera désormais le nom de l’architecte japonais Kenzo Tange, concepteur du projet initié dans les années 1970 et réalisé dans les années 1980. Une cérémonie d’inauguration est prévue ce lundi 29 avril.
Les concerts de musique classique sont rares et c’est pour cela qu’ils sont remarquablement appréciés par les mélomanes lorsqu’ils surviennent.
Malgré toutes les mesures de prévention préconisées et les campagnes d’information et de sensibilisation menées régulièrement par plusieurs acteurs, dont la Protection civile, le problème demeure et constitue toujours un défi pour la santé publique.
Ce sont, entre autres, 137 immeubles dans le centre-ville d’Oran qui sont concernés par des opérations de réhabilitation, sans compter des édifices patrimoniaux, à l’image de l’hôtel de ville ou du Grand hôtel, et ce, dans le but de donner une belle image de la ville pour elle-même et pour ses visiteurs.
La chanteuse Souad Asla a réellement fait œuvre utile avec la fondation de la troupe Lemma, un projet musical qui lui a tenu à cœur pour sauver de l’oubli tout un pan des pratiques musicales de la Saoura et des environs de Béchar qu’elle promeut autant en Algérie qu’à l’étranger. Rencontrée en marge de la prestation assurée vendredi à la salle Maghreb, sur invitation de l’ONCI, elle est revenue sur les conditions qui ont abouti à la concrétisation de cette initiative.
lQuelle énergie chez la chanteuse gabonaise Pamela Badjogo ! Elle a charmé un public d’Oran venu la découvrir samedi à l’Institut culturel français.
La problématique de l’eau potable qui a connu une embellie indéniable pendant quelques années à Oran commence à montrer des signes d’essoufflement, en attendant la réalisation du nouveau projet de la station de dessalement de Cap Blanc (300 000 m3/j) dont la mise en service est prévue avant la fin de cette année 2024.
Le roman intitulé Les Gens du Peuplier (Editions Casbah, 2023) a été présenté mercredi au TRO en présence de son auteur, l’écrivain et journaliste Arezki Metref. La rencontre, suivie d’une vente-dédicace, a eu lieu dans le cadre des journées littéraires d’Oran qui se tiennent désormais à la mémoire du défunt Hadj Meliani, chercheur universitaire et enseignant en littérature, maghrébine notamment, dont un hommage particulier lui sera rendu le 21 mars.
Né d’une collaboration entre Rudolph Burger, Mehdi Haddab et Sofiane Saidi, le spectacle «Mademoiselle» est un mélange improbable pour une recette qui fonctionne, notamment à Oran où il a débarqué lundi à l’IFO, le premier d’une tournée dans les instituts des autres villes concernées : Tlemcen, Alger et Constantine.
La sociologue Fatma Oussedik n’a pas effectué le déplacement à Oran pour assister à la présentation de son livre intitulé Avoir un ami puissant… (Editions Koukou 2022). Une enquête sur des familles urbaines d’Alger, d’Oran et d’ Annaba.
L’ambition de la ville d’Oran de devenir une métropole méditerranéenne est en quelque sorte tirée vers le bas par un transport urbain qui ne répond pas tout à fait aux exigences d’une prestation de service digne de ce nom l Le tramway mis à part, c’est dans cette perspective que l’opération de numérisation des dossiers des opérateurs dans le domaine a été initiée et peut contribuer à améliorer la situation.
En déplacement à Béchar, le MCO a évité de justesse une défaite qui aurait été lourde de conséquences pour le club. En effet, le but d’égalisation contre la JS Saoura a été marqué dans le temps additionnel et le sauveur est paradoxalement un défenseur central, en la personne de Mohamed Naâmani.
Le MCO s’est résigné à partager les points de la rencontre qui l’a opposée à l’ASO Chlef vendredi au stade Zabana à Oran. La reprise du championnat n’a finalement pas souri aux locaux qui espéraient sortir au plus vite de la zone rouge.
Adaptée d’un conte oriental, la pièce El Wassit (l’intermédiaire), présentée mercredi dernier (7 février) au TRO, aurait pu constituer un joli prétexte pour un travail théâtral de premier ordre. Ceci d’autant plus qu’il a été produit dans un cadre associatif (avec la troupe du Murdjadjo) et donc dans un espace qui offre beaucoup plus de liberté d’action.
Que l’intelligence artificielle génère des textes est un fait aujourd’hui admis mais que celle-ci fasse intrusion dans l’édifice institutionnalisé de la littérature suscite toutes sortes de craintes et de débats.