La semaine de la musique organisée dans le cadre de la fête de la musique par l’Institut Cervantès à Oran s’est terminée avec un très beau spectacle animé par le duo Wafa Oudjit et Paco del Pozo.
L’appel à candidature, lancé quelques jours plutôt, a été largement fructueux avec plus d’une cinquantaine de demandes enregistrées pour une participation à titre individuel ou en groupe.
Demain jeudi la ville d’Oran se parera des couleurs rouge et blanche et ce ne sera pas à cause des supporters du MCO mais plutôt de ceux de l’ASO Chlef et du CR Belouzdad, les deux heureux finalistes de la coupe d’Algérie prévue à 17 heures au stade Hadefi Miloud et qui promet beaucoup de suspens.
Une «erreur d’aiguillage» des bagages a fait que le batteur ne retrouve plus son instrument à la sortie d’avion le jour-même. Cette déconvenue a failli avoir comme conséquence l’annulation pure et simple du spectacle déjà annoncé depuis un moment.
C’est ce qui caractérise la soirée musicale organisée à l’IFO samedi soir et animée principalement par le duo Mouss et Hakim, deux anciens membres du groupe toulousain (France) Zebda. En effet, mis à part deux ou trois titres, tout le reste du répertoire interprété à cette occasion concerne un ensemble de reprises de divers horizons.
A l’Institut français, un appel a été lancé pour tous les musiciens d’Oran désireux de participer à cet événement, et ce, en groupe ou à titre individuel. L’initiative est intéressante dans la mesure où elle permet aux talents existants à Oran, notamment les jeunes, de sortir un peu de l’ombre ou alors de faire des rencontres ouvrant potentiellement la voie à de futures collaborations lorsque les centres d’intérêt convergent. En général, c’est tout le mois de juin qui reste propice aux événements musicaux.
Son intitulé Djanat echaytane (Le paradis de Satan) évoque l’ouvrage Ahd Al-shaytan (l’ère du diable) du célèbre écrivain égyptien Tawfik El Hakim qui s’est lui-même inspiré de la légende faustienne d’origine allemande et ses différentes versions, dont celle rendue célèbre par Goethe et dont on retient grosso modo les conséquences qu’il y a à contracter un «pacte avec le diable».
La caravane cinématographique a séjourné durant trois jours à partir du 1er juin, Journée de l’enfance, avec au programme la projection de 6 long métrages d’animation et d’autres films à caractère informatif concernant les droits de l’enfant (réalisé sous l’égide l’Unicef), la sensibilisation sur l’importance de l’eau, la nécessité de sauvegarder et de prendre soin de la planète, etc.
Le MCO a assuré l’essentiel mercredi à domicile (stade Ahmed Zabana) en battant le HB Chelghoum Laid par deux buts à zéro, s’adjugeant ainsi trois précieux points pour consolider sa place dans le classement du championnat de ligue 1.
La JS Saoura s’est inclinée face à l’ASO Chlef par 3 buts à 1, ratant ainsi l’occasion d’accéder pour la première fois de son histoire à une finale de coupe d’Algérie.
Un film auquel le public a réservé un accueil plutôt favorable, mais qui a en même temps suscité un débat face aux critiques formulées par quelques-uns.
L’archéologie qui se rapporte à la période médiévale en Occident musulman est un cycle de conférences sous l’intitulé générique «Histoire et mémoire partagée» que l’institut Cervantès a initié à Oran.
La thématique de la lutte contre le changement climatique a été au cœur du récent déplacement à Oran de l’ambassadeur de Suède, Bjorn Haggmark, qui a pris le temps de répondre à un grand nombre de questions posées par des élèves issus de deux établissements scolaires d’Oran, l’un privé, l’autre public.
Un cycle de cinéma ibéro-américain est au programme du 18 au 29 mai à l’Institut Cervantès d’Oran.
Un Colloque international intitulé «Les enjeux de la culture et du tourisme à l’ère du numérique : illustration de l’intelligence culturelle» vient de se tenir à l’auditorium de l’université des sciences et des technologies Mohamed Boudiaf d’Oran (USTO).
Les rencontres sur l’architecture et l’urbanisme suscitent toujours des débats passionnés et le conflit entre la ville rêvée et la ville réelle, qui est universel, qui n’est donc pas propre à l’Algérie, n’est pas près d’être résolu.
Rendre la poésie captivante, c’est ce à quoi ce sont attelés les organisateurs de la ballade poétique proposée le 7 mai à l’Institut français d’Oran.
Cette journée initiée en 1998 a lieu le premier dimanche du mois de mai qui coïncide cette année avec la date du 7. «Vu l’importance du rire dans la société, nous avons tenu à marquer cet événement en faisant en sorte que la sortie de la 32e promotion des jeunes que nous formons ici se fasse dans ce cadre-là», explique Mohammed Mihoubi, président de l’association et principal formateur.
Une occasion pour les amateurs de cette musique phare du XXe siècle et dont l’aventure se poursuit toujours et de se replonger dans l’ambiance. «Ce programme comportant un film, une exposition et un concert live a été initialement préparé pour la célébration de la journée internationale du jazz correspondant au 30 avril, mais, pour des raisons de calendrier, la manifestation a été décalée», explique Juan Manuel CID Munoz, le directeur l’institut.
l Plusieurs années après sa réalisation et la présentation de son avant-première à la salle El Mougar, le film Mémoire de scène, de Abderahim Laloui a été projeté, mercredi soir, à la salle répertoire d’Oran de la Cinémathèque algérienne.