«O rond», une intéressante exposition de photographies, jetant son dévolu sur les formes arrondies des édifices oranais (de construction récente ou ceux de la période coloniale), se tient ces jours-ci au musée d’art moderne d’Oran.
Sitôt rouvert au public, le palais de la Culture Zeddour Brahim Belkacem devra participer, au même titre que les autres instances dépendantes du secteur de la culture, aux animations prévues dans le cadre de la tenue à Oran des Jeux méditerranéens.
L’enveloppe supplémentaire de 13 milliards de DA allouée pour la réussite de la 19e édition des JM confirme la volonté des autorités du pays de ne rien laisser au hasard.
De l’avis de tous, l’entame des épreuves du bac s’est déroulée de manière optimale hier à Oran. Fait remarquable pour des candidats de cette tranche d’âge, de plus en plus de parents viennent accompagner leurs enfants.
Les spectateurs qui ont assisté au concert du samedi soir au TRO ont sans doute vécu des moments exceptionnels de musique grâce à la prestation du trio Jacky Terrasson.
Quelques minutes avant 8h ce lundi 6 juin, devant l’entrée d’un des CEM du vaste quartier El Othmania (Maraval, à Oran), des dizaines de parents d’élèves, hommes et femmes, venus accompagner leurs enfants pour passer le BEM (prévu du 6 au 8 juin), sont toujours là en face de l’entrée principale. «Nous sommes-là mais une fois que les portes se fermeront, nous partirons», expliquent quelques-uns d’entre eux. Une manière de s’assurer que tout va bien pour cette entame des épreuves, car après, tout devrait aller de soi.
La rencontre organisée lundi dernier au Crasc par l’association Josette et Maurice Audin (JMA) sous l’intitulé «Quelle mémoire et quelle histoire de la colonisation en Algérie et en France ? Quelles relations entre les deux peuples et les deux Etats ?» a permis de débattre des difficultés qui entravent la recherche de la vérité historique.
Les préparatifs pour les Jeux méditerranéens, prévus entre le 25 juin et le 5 juillet, vont bon train et d’ici 15 à 20 jours maximum, tout sera fin prêt pour le grand rendez-vous.
Dix photographes, dix expositions et dix lieux. C’est l’option mise en avant cette année par les organisateurs des Journées de la photo d’Oran, un événement qui fête ses dix ans d’existence et qu’organise depuis tout ce temps Iso club en partenariat avec l’Institut français d’Oran.
La prévention et la gestion des risques en milieu portuaire» est l’intitulé de la journée d’étude organisée hier au Méridien par l’Entreprise portuaire d’Oran (EPO), en présence du président-directeur général de cette dernière, des représentants syndicaux des travailleurs du port et du directeur des transports de la wilaya d’Oran.
Enseignantes chercheures à l’USTO-MB, Najet Mouaziz Bouchentouf et Fadila Kettaf ont porté le colloque international intitulé «La ville au temps de la Covid-19», organisé il y a quelques jours au Crasc (partenaire) par le département architecture de la faculté d’architecture et de génie civil. La première est maître de conférences, HDR (pour habilitation à diriger des recherches). La seconde est architecte-urbaniste et docteure en géographie et aménagement de l’espace. Elles nous livrent dans cet entretien quelques-unes des idées directrices qui ont émaillé les débats autour de cette question.
Çà a été particulièrement le cas le jeudi 19 mai dernier, une date coïncidant avec la célébration annuelle de la journée de l’étudiant.
Initiateur du Salon de l’équipement médical (Simem) en 1998, Mustapha Chaouch, présent à l’inauguration de la 24e édition qui s’est tenue du 11 au 14 mai, revendique plus de soutien de la part des autorités pour cette manifestation économico-scientifique, considérée comme le plus ancien Salon professionnel en Algérie.
Du 11 au 14 mai, le Centre des conventions d’Oran abritera la 24e édition du Salon international du mobilier hospitalier et de l’équipement médical (Simem). 147 exposants ayant confirmé leur participation devront présenter les produits de 442 firmes englobant 27 pays.
Injonction ou pas, les mêmes habitudes se répètent les jours de l’aïd. A Oran, si durant le premier jour on constate une certaine effervescence, durant le second, du moins dans la matinée, c’est le calme plat.
Devant l’entrée, deux clowns font de l’animation en se prenant en photo avec les enfants. Ils sont recrutés par le gérant de ce qui apparaît comme un «supermarché du prêt-à-porter», un immense magasin occupant tout l’espace des deux premiers niveaux d’un immeuble flambant neuf de la catégorie haut standing situé à l’intérieur, côté ouest, du périmètre urbain de la commune d’Oran.
La version doublée en langue amazighe du film L’Opium et le bâton, réalisé par Ahmed Rachedi d’après le roman éponyme de Mouloud Mammeri, a été projeté dans la soirée de mercredi à la Cinémathèque d’Oran.
A la tête de sa start-up NafsiyaTech, Djalila Rahali a organisé et mené à bout l’événement «She’s in Tech Challenge», une compétition en ligne conçue pour encourager l’entrepreneuriat féminin en Algérie et dont la finale a eu lieu récemment en présentiel à Oran. Elle est également pionnière dans le domaine de la cyberpsychologie ayant entamé sa carrière en 1999. Elle nous livre dans cet entretien les conditions ayant présidé à l’organisation de ce «marathon technologique» mais aussi des éléments en rapport avec sa spécialité.
La cérémonie officielle annonçant l’ouverture du cycle de formation des nouveaux doctorants, ceux retenus sur concours pour l’année 2021/2022 a été organisée samedi 16 avril à l’USTO en présence de Abdelhafid Aourag, DG de la recherche au ministère de l’enseignement supérieur.
A l’issue de cette opération de simulation, on apprend que les déchets collectés intégralement vers 13h ont refait leur apparition à hauteur de 40% à 15h et à presque 100% à 17h. Un appel est alors lancé à la population pour adopter un minimum de civisme en évitant de sortir les poubelles durant la journée mais aussi aux opérateurs économiques qui ont tendance à jeter leurs déchets n’importe où.