l Le premier tronçon de 8 km, sur les 26 devant relier le port à l’autoroute Est-Ouest, sera ouvert aux usagers dès cette semaine. Un projet d’une importance capitale pour désengorger l’ancienne route empruntée par près de 1800 camions par jour, avec tous les désagréments qu’on imagine sur la circulation mais aussi sur l’environnement urbain.
Parmi les projets relatifs à l’approvisionnement en eau à Oran, il y a celui de la grande opération de transfert à partir d’Oued Tlelat qui est attendue. Il s’agit de réaliser pas moins de 530 km de canalisations, un certain nombre d’ouvrages, dont des réservoirs (7000 m3), mais aussi des stations de pompage nécessaires pour l’adduction d’eau.
Deux parmi six nouvelles spécialités (4 licences et 2 masters) qui seront lancées à l’USTO-MB à la rentrée universitaire prochaine entrent dans le cadre global de la volonté des autorités du pays de développer l’industrie mécanique en tentant de répondre stratégiquement aux exigences de l’industrie contemporaine.
Par cette initiative, nous avons voulu donner une dimension théâtrale à un genre déjà connu en Algérie mais qui se pratique de manière éparpillée», explique l’animateur qui n’est pas à sa première expérience en tant que formateur et par conséquent en tant que promoteur du genre.
L’université des sciences et technologies d’Oran Mohamed Boudiaf a participé en Tunisie au 4e sommet universitaire Japon-Afrique du Nord célébrant le 20e anniversaire de l’alliance pour la recherche sur la Méditerranée et l’Afrique du Nord (Arena).
La récompense de la 14e édition du Festival local de théâtre de Sidi Bel Abbès, qui s’est clôturé jeudi à Oran au Théâtre régional Abdelkader Alloula, est allée vers la pièce Maqabl el Masrah de l’association Kartina de Mostaganem.
La 14e édition du Festival local du théâtre professionnel de Sidi Bel Abbès, délocalisé momentanément à Oran pour cause de rénovation de la bâtisse du théâtre régional de la capitale de la Mekkera, a été ouverte avant-hier au TRO dans une ambiance autant émouvante que festive.
Durant la guerre civile espagnole, la communauté d’origine ibérique à Oran était divisée et la moitié s’était déclarée ouvertement en faveur de Franco. Mais presque tous se confondront dans le paysage colonial français et donc forcément et globalement à l’encontre de l’intérêt des Algériens.
Les étudiants de l’USTO auront loisir de faire des licences en urbanisme, en automatique (système automobile) et en génie industriel (métier industriel et fabrication mécanique), trois filières qui seront enseignées dès la prochaine rentrée universitaire.
Costumes et accessoires ou éléments de décor utilisés dans les productions théâtrales meublent depuis la semaine dernière le grand hall et les travées du Théâtre régional d’Oran. Cette initiative, prise par l’actuel directeur Mourad Senouci, vise à donner au visiteur des lieux une occasion de se pencher, de manière originale, donc non conventionnelle, sur l’histoire de ce théâtre.
L’ombre de Rachid Taha (1958-2018) a plané jeudi sur la scène du Théâtre régional d’Oran, le temps d’un concert événement organisé à l’initiative de l’Institut français et concocté spécialement pour lui rendre hommage.
lUn large pan de la peinture de Othmane Mersali est exposé en ce moment et jusqu’au 31 juillet au musée Zabana, à Oran.
Il a été projeté dans le cadre de la tenue à Oran à l’Institut Cervantès du Festival du cinéma ibéro-américain. Le choix de cette œuvre pour représenter ce grand pays d’Amérique latine est particulièrement judicieux car c’est une véritable découverte qu’est cette réalisation datant de 2022 (sortie), signée Efterpi Charalambidis (son deuxième long métrage) et interprétée avec brio, notamment par l’actrice principale, la talentueuse et flamboyante Irabé Seguia présente à Oran pour débattre avec le public.
C’est le théâtre régional Azzedine Medjoubi de Annaba qui a sélectionné et produit en ce moment le texte de Bouzeboudja Ghafour Houari (Alias Houari Bora), un artiste d’Oran.
La prestation des musiciens a été particulièrement appréciée, et c’est un véritable voyage dans l’espace et dans le temps qui a été proposé par cet ensemble dirigé par le chef d’orchestre Missak Baghboudarian, Syrien d’origine arménienne et formé de neuf instrumentistes, une contrebassiste, un violoncelliste et des violonistes, dont une femme, premier violon, saluée par le chef comme il est d’usage lorsqu’il a fait son entrée.
L’ASMO reprend la 12e place (34 points) du championnat de Ligue 2 après avoir battu à domicile le SKAF de Khemis Meliana. L’unique but de la rencontre comptant pour la 28e journée et qui s’est déroulée vendredi au stade Bouakeul à Oran a été marqué en première mi-temps par El Ghomari.
Pris individuellement, les éléments engagés dans le spectacle intitulé La Discrétion, présenté jeudi au TRO ont sans doute, chacun dans son domaine, un talent avéré. Mais c’est le rendu de cette «performance» qui laisse à désirer, du moins pas à la hauteur des attentes eu égard à l’importance en nombre et sans doute aussi en qualité des «acteurs institutionnels» engagés dans la production.
Le programme du festival du film ibéro-américain, prévu à Oran cette année entre le 15 et le 27 mai, concerne une dizaine de films d’expression espagnole ou portugaise et issus de plusieurs pays dont, hormis l’Espagne et le Portugal, l’Argentine, le Brésil, la Colombie, Cuba, le Chili, le Mexique, le Pérou et le Venezuela.
Le spectacle, donné à l’Institut Cervantès, est le résultat d’une initiative que la flûtiste espagnole avait prise lors de sa première venue à Oran l’an dernier en organisant des masters-class.
L’œuvre picturale de Patrick Altes semble être, mais c’est une façon de parler, beaucoup plus dans les mots que dans le graphisme. Il fait partie de ces artistes qui ne tarissent pas d’explications au sujet de leurs œuvres, donnant leurs propres grilles de lecture et leurs interprétations mais surtout leurs intentions qu’elles soient admises ou pas par le public.