En s’inclinant un but à zéro vendredi contre l’USM El Harrach, le MC Oran sort de la compétition pour la Coupe d’Algérie et provoque une grande déception chez les supporters qui, face aux déconvenues en Championnat, avaient gardé de grands espoirs sur le parcours de leur équipe en Coupe.
L a wilaya d’Oran dispose de deux grandes stations d’épuration des eaux usées, la plus grande à El Kerma pour une capacité de traitement théorique de 270 000 m3 par jour et la seconde à Cap Falcon (Aïn El Türck) pour une capacité de 30 000 m3/j.
l C’est parce qu’il est centré sur des titres très connus, déjà repris avec plus ou moins de qualité musicale et c’est pour ne pas dire galvaudés et qui, pour beaucoup, résonnent encore dans les oreilles du public que le projet «Wahrani», porté un collectif de musiciens, ne présente pas, pourrait-on dire, d’intérêt réel par rapport à l’ambition affichée
La prestation n’est cependant pas dénuée d’intérêt, car il y a certainement de l’effort et du travail derrière, mais il lui manquait peut-être cet élan créatif.
Le personnage «Echaytane», campé par Imad Brahmi, est rendu presque sympathique, mais en tout cas clownesque dans un accoutrement indéfinissable aux allures d’épouvantail ne faisant même pas peur aux enfants.
A la tête de la coopérative théâtrale Ennoudjoum, vous venez de terminer une tournée avec sa dernière pièce Cauchemar qui a été jouée cinq fois entre le 9 et le 22 janvier, d’abord à Oran, ensuite à Mostaganem et Aïn Témouchent. Parlez-nous de votre longue expérience…
Le Palais de la culture abrite une exposition de Meryem Ghellai, une jeune artiste-peintre prometteuse qui ambitionne de se frayer un chemin dans cet univers avec des idées novatrices qui méritent qu’on s’y attarde. Pour la majorité d’entre eux, ses travaux n’ont été montrés pour la première fois au public que lors du vernissage qui a eu lieu dans l’après-midi du dimanche 19 janvier.
Dans la perspective de l’ouverture du capital de la Banque de développement local (BDL) et le début de la période de souscription fixée entre le 20 janvier et le 20 février, une rencontre d’information et de sensibilisation au profit des opérateurs économiques et des investisseurs de la région d’Oran a été organisée, mardi soir, à l’hôtel Oran Bay (ex-Sheraton), en présence des directeurs généraux de la Banque en question, de la Bourse d’Alger et de la Cosob.
La soirée était particulièrement festive, mettant en avant les morceaux les plus dansants d’un vaste répertoire qui reste encore à explorer et à redécouvrir.
Le recours aux compétences nationales installées à l’étranger est aussi un moyen de favoriser les échanges à l’international pour plus d’efficacité dans cette démarche de développement de ces nouveaux outils.
Tous le long de sa carrière universitaire, Pr Fatima Beldella a eu à encadrer plusieurs thèses de doctorat en informatique mais en rapport avec les usages de l’intelligence artificielle. Pionnière dans le domaine, elle était l’une des conférencières de «GeoSmart», un colloque de deux jours organisé en fin de semaine dernière par la faculté de mathématiques et des sciences de l’informatique. C’est l’intitulé de son intervention, «De l’IA à l’IA distribuée : au-delà du réel» qui suscite déjà des questionnements. Elle nous livre dans cet entretien son expérience, mais aussi les perspectives qu’ouvrent, même si ce n’est pas toujours réjouissant, ces nouveaux outils qui s’immiscent de plus en plus dans la vie quotidienne.
Informaticien de formation, Redouane Tlemçani s’est vu confier la direction de la maison d’intelligence artificielle de l’USTO, la première MIA à Oran. Il évoque dans cet entretien le contexte de cette initiative mais aussi d’autres aspects liés à la promotion de l’IA en Algérie.
Le récit est inspiré de faits réels se rapportant à l’histoire d’une femme au hasard d’une rencontre, découvre que les parents à qui elle doit tout ne sont pas en réalité ses parents biologique.
l L’ouvrage est une amorce d’un objet d’étude relativement inédit, car parmi l’assistance, y compris des étudiants en histoire, beaucoup ont soulevé des questionnements faisant dire à l’auteur qu’il y a encore des aspects à creuser et, pourquoi pas, sortir avec un deuxième ouvrage.
Le MC Oran s’est qualifié samedi aux 8es de finale de la Coupe d’Algérie au détriment de l’USM Sétif grâce à un but de Merouan Dehar sur penalty sifflé à la 53e minute, suite à un tacle contre son coéquipier Mohamed Sylla.
Pour ce qui relève de ses aspects populaires cela fait déjà quelques jours que la, ville s’est préparée à la célébration de la fête de « Nayer », une célébration séculaire jamais interrompue et cela se remarque, comme à chaque année, d’abord dans les marchés avec l’étalage inhabituel d’énormes quantités de fruits secs et autres friandises de tout genre.
Dans le cadre de la coopération internationale, l’université Oran 2 est concernée par 17 accords aujourd’hui en vigueur dont 10 signés uniquement durant l’année 2024, selon une déclaration du vice-recteur chargé des relations extérieures.
En perdant son match jeudi en déplacement contre le RC Arbaâ (0-1), l’ASM Oran, à condition de ne tenir compte que du nombre de points (23), garde sa troisième place au classement à l’issue de cette 15e journée de Ligue 2, mais s’est fait rattraper par la JS El Biar et la JSM Tiaret.
L’USTO est, pour ce qui est de l’organisation en février prochain du concours d’accès à la formation de troisième cycle, concernée par 9 spécialités réparties sur 5 filières englobant trois domaines que sont les mathématiques et l’informatique, les sciences et technologie et, enfin, les sciences de la nature et de la vie.
C’est l’une des associations les plus anciennes à Oran qui contribue toujours à la préservation de cette musique traditionnelle dite andalouse mais pratiquée uniquement dans le Maghreb, essentiellement en Algérie et au Maroc.