La tension en Cisjordanie occupée a atteint de nouveaux sommets alors que les forces d’occupation israéliennes intensifient leurs opérations militaires dans la région.
Le roi Mohammed VI du Maroc a accordé une grâce royale à quatre figures emblématiques de la scène médiatique et intellectuelle marocaine, emprisonnées ou poursuivies depuis des années. Parmi elles, les journalistes Omar Radi, Soulaimane Raissouni, et Taoufik Bouachrine, ainsi que l’intellectuel Maâti Monjib.
L'affaire qui secoue actuellement l'entité sioniste met en lumière non seulement les maux et la crise de valeurs qui gangrènent cette société, mais également l'effondrement moral auquel elle est confrontée.
Les témoignages glaçants de soldats réservistes israéliens, recueillis par le site israélo-palestinien Siha Mekomit (connu également sous le nom de +972 magazine) révèlent des pratiques militaires qui bafouent les lois de la guerre et les règles d’engagement.
C’est dans un contexte de tensions accrues à la suite de la roquette tirée sur Majdal Shams, dans le Golan syrien annexé par Israël, qu’une réunion sur le cessez-le-feu à Ghaza s’est ouverte hier matin à Rome. Le but est de faire avancer les négociations en vue d’un accord entre Israël et le Hamas, en mettant l’accent sur la libération des otages et l’instauration d’un cessez-le-feu dans la bande côtière assiégée.
Un silence de plomb s’est abattu Deir Al Balah, en plein cœur de la bande de Ghaza. En l’espace de quelques minutes, ce calme relatif a cédé place à un chaos indescriptible.
Une agression terrifiante a eu lieu à Bab Ezzouar, dans la banlieue d’Alger : une équipe de pharmaciens a été violemment agressée par quatre individus armés d’épées et de gourdins.
Selon le New York Times, des pourparlers secrets sont en cours entre Le Caire et Tel-Aviv concernant le possible retrait des soldats israéliens de l’axe Philadelphia, sur la bande frontalière entre Ghaza et le Sinaï égyptien. Cette démarche pourrait lever un obstacle majeur à la conclusion d’un accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas.
Les habitants déplacés ont décrit des scènes d’horreur, avec des corps et des membres éparpillés sur le sol.
La situation à Ghaza est critique depuis des mois, avec des pénuries alimentaires sévères qui poussent les habitants à se rassembler aux points de distribution d’aide, souvent au péril de leur vie.
Depuis le début de la guerre à Ghaza, 54 Palestiniens ont été tués dans les prisons israéliennes. Au moins 640 enfants palestiniens ont été détenus en Cisjordanie, beaucoup subissant des abus et des tortures similaires à ceux des adultes.
Les abris gérés par l’UNRWA elle-même, qui est le principal groupe fournissant de l’aide aux personnes déplacées à Ghaza, ont également été touchés à plusieurs reprises, causant la mort de plus de 500 personnes qui s’y abritaient. Il s’agit là de lieux censées être protégées par le droit humanitaire.
Le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, appelle à la désescalade entre Israël et le Hezbollah, prévenant quant au risque d’une déflagration régionale avec ses répercussions dramatiques notamment sur le Sud-Liban.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, a dissous son cabinet de guerre après le retrait de son principal rival, Benny Gantz. Le mouvement palestinien Hamas a immédiatement qualifié cette décision d’une «victoire pour la résistance palestinienne». Qu’en est-il réellement ?
L’aide humanitaire reste insuffisante et entravée, tandis que les conditions de vie des habitants de Ghaza continuent de se détériorer. Selon la chaîne El Jazeera, seulement quatre camions commerciaux et cinq camions de carburant ont été autorisés à y accéder. Comparé aux besoins énormes sur le terrain, cette aide est dérisoire.
Le ministère palestinien de la Santé a annoncé que 12 Palestiniens avaient été tués par les forces d’occupation israéliennes dans différentes régions de la Cisjordanie en moins de 48 heures.
Israël a frappé la bande de Ghaza avec plus de 70 000 tonnes d’explosifs, soit une puissance de feu plus de trois fois supérieure à celle de la bombe nucléaire américaine qui a détruit Hiroshima.
Le voyage de Blinken intervient deux jours après que l’armée israélienne a tué au moins 274 Palestiniens et en a blessé 698 autres à Nuseirat, dans le centre de Ghaza, dans le cadre d’une opération qui a conduit à la libération de quatre Israéliens détenus par le Hamas.
Les habitants de l’enclave palestinienne, bombardée huit mois durant, vivent au rythme des déplacements forcés, dictés par les opérations militaires des forces sionistes.
Un rapport d'experts indépendants publié mardi par le Famine Early Warning Systems Network (FEWS NET) alerte sur une possible famine en cours dans le nord de Ghaza. Cindy McCain, du Programme alimentaire mondial (PAM), a déclaré le mois dernier que le nord de Ghaza était entré dans une «famine à part entière» après près de sept mois de conflit.