En plein cœur d’un climat géo-politique délicat, voire explosif, le parti politique Talaie El Hourriyet (Avant-garde des libertés) a appelé hier les autorités algériennes à «renforcer le front intérieur» face aux défis qui nous entourent. Cet appel, contenu dans un communiqué publié hier, fait suite à une réunion périodique tenue hier, samedi 13 janvier, au siège du parti à Alger, sous la présidence de Reda Ben Wanane, président du parti.
La violence persistante et dévastatrice empêche tout espoir d’entrevoir rapidement un avenir après cette guerre, laissant dans son sillage une détresse insoutenable et des traumatismes profonds au sein de la population palestinienne.
Le ministère palestinien de la Santé a annoncé hier que 23 084 personnes avaient été tuées dans la Bande de Ghaza depuis le début des opérations militaires engagées par Israël.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, accompagné de son homologue sierra-léonais, Julius Maada Bio, a souligné, dans une déclaration conjointe à la presse tenue à Alger, avec fermeté la situation déchirante à Ghaza, dénonçant les actes qualifiés de «génocide» et de «crimes de guerre inhumains».
Le ministre de l’Education a souligné une nette amélioration des résultats par rapport à l’année précédente, exprimant sa satisfaction face à cette évolution. Selon lui, cette progression positive est attribuable à «la stabilité» constatée dans le secteur.
Les hôpitaux, déjà surchargés, ont été pris pour cible, en violation du droit humanitaire, et sont désormais dans l’incapacité d’accueillir les milliers de personnes nécessitant des soins urgents.
Tandis que la situation à Ghaza reste épouvantable et intenable à cause des bombardements israéliens incessants, l’Afrique du Sud a déposé une plainte le 29 décembre devant la Cour internationale de justice (CIJ), accusant Israël de violer la Convention sur la prévention et la répression du crime de génocide. Pretoria invoque «les droits et les obligations de l’Afrique du Sud» de prévenir le génocide et «de protéger les Palestiniens de Ghaza de la destruction.
Hier, de la fumée s’élevait après un bombardement au-dessus de la grande ville de Khan Younès, dans le sud de Ghaza, où Israël a annoncé concentrer désormais l’essentiel de son offensive contre le Hamas et qui abrite de nombreux déplacés ayant fui le Nord
En plus des bombardements continus qu’elle subit depuis 80 jours, Ghaza est menacée de famine. Le dernier rapport du Programme alimentaire mondial publié jeudi 21 décembre souligne que 93% de la population ghazaouie est «en situation d’insécurité alimentaire aiguë».
Cette année, Noël n’a pas été célébré en Palestine, le lieu même de la naissance du prophète Jésus, en raison de la guerre à Ghaza et des tensions en Cisjordanie occupée.
L’aspect financier demeure au cœur de cette refonte. Le projet prévoit une contribution élargie de l’Etat pour soutenir les municipalités, avec des dispositions spécifiques visant à résoudre les difficultés financières rencontrées par certaines communes dans l’accomplissement de leurs tâches assignées.
La récente visite de la Rapporteuse spéciale des Nations unies, durant laquelle elle a fait part de ses préoccupations (et recommandations) concernant la situation des droits de l’homme en Algérie, a suscité une réponse favorable de la part du gouvernement.
Dans de nombreux domaines, le Maroc et les Emirats prévoient de collaborer sur des solutions de financement impliquant les secteurs public et privé. Cependant, il est important de noter que plusieurs de ces projets se situent dans un territoire que le Maroc a annexé, sans tenir compte des résolutions de l’ONU et des aspirations du peuple sahraoui.
La tension monte en Cisjordanie, où au moins 248 Palestiniens ont perdu la vie et 3540 ont été arrêtés depuis le 7 octobre. En parallèle de la guerre menée à Ghaza, les forces d’occupation israéliennes intensifient les attaques meurtrières et les opérations de détention, visant toutes les strates de la société palestinienne, y compris les étudiants.
Le quotidien des Palestiniens de Cisjordanie est marqué par les incursions et les provocations israéliennes, comme c’est le cas à Tulkarem, Bethléem ou encore dans les environs de Ramallah.
La 28e Conférence des parties de l’ONU (COP28) s’ouvrira à Dubaï, ce jeudi 30 novembre, mettant en lumière l’urgence croissante du dérèglement climatique, en particulier en Afrique. Les pays africains, premières victimes des conséquences dévastatrices du réchauffement climatique, devront y participer avec un objectif clair : mettre en place des mesures concrètes pour une transition climatique équitable et durable.
Après quarante-neuf jours de bombardements incessants, marqués par une privation d’accès à la nourriture, à l’eau potable et aux médicaments depuis plus de six semaines, la Bande de Ghaza se voit enfin offrir une aide humanitaire avec l’arrivée de 248 camions par le point de passage de Rafah, durant les trois premiers jours de la trêve conclue entre le Hamas et Israël.
Depuis la déclaration d’une trêve de quatre jours dans la Bande de Ghaza, un autre front, discret mais meurtrier, persiste en Cisjordanie. Alors que l’attention du monde est souvent focalisée sur les atrocités commises à Ghaza, l’armée israélienne poursuit une campagne cynique et criminelle en Cisjordanie depuis le 7 octobre dernier. Des jeunes Palestiniens sont abattus, des incursions et des arrestations sont monnaie courante dans les villes et villages occupés, laissant présager une escalade menée pour déstabiliser la région.
L ’accord de trêve temporaire entre Israël et le Hamas a été globalement salué par la communauté internationale. Des Etats-Unis à la Russie, en passant par la Chine et l’Union européenne, les réactions se sont enchaînées tout au long de la journée d’hier. Biden se dit ainsi «extraordinairement heureux», Macron veut «faire entrer de l’aide», tandis que le Qatar et la Grande-Bretagne défendent un traité «durable». L’Autorité palestienne demande, pour sa part, l’arrêt de l’«agression israélienne».
Les négociations entamées entre Israël et le Hamas par le biais du Qatar affichaient hier des signes prometteurs d’un accord imminent, selon le Qatar. Menés par le Qatar, l’Egypte et les Etats-Unis, ces pourparlers visent à instaurer une trêve (de cinq jours) renouvelable dans la guerre à Ghaza.