Cap sur l’enseignement de la langue anglaise dès le primaire. Lors du Conseil des ministres tenu dimanche 19 juin, le président Abdelmadjid Tebboune a mis l’accent sur la nécessité de réviser les programmes éducatifs en se référant, selon le communiqué publié à l’occasion, «à l’esprit pédagogique, qui a permis la formation, depuis l’indépendance, d’une élite dans diverses spécialités». Il y est question d’adopter la langue anglaise à partir du cycle primaire, après une étude approfondie menée par des experts et des spécialistes.
Les subventions sur les produits de base dépassé les 5000 milliards de dinars en 2021, selon le directeur général du Budget au ministère des Finances, Faïd Abdelaziz, qui intervenait samedi à l’occasion d’une journée parlementaire à l’Assemblée populaire nationale (APN), organisée par le groupe parlementaire du Front El Moustakbal sur l’accompagnement par le Parlement de la politique de réforme de l’aide sociale.
A Ghardaïa, 2 candidats ont été condamnés pour le même motif, 5 à El Menéa, 7 à Oum El Bouaghi, 3 autres à Batna et autant à Souk Ahras., et ce, conformément à la correspondance du ministère de la Justice.
Le ministre de l’Education nationale a affirmé tout récemment que l’encadrement spécialisé des mathématiques en Algérie «ne répond pas aux besoins du secteur, au vu du faible intérêt pour les filières des mathématiques et mathématiques-techniques par les élèves».
Le département de Ramtane Lamamra considère qu’il s’agit là d’«un désaccord politique avec un pays européen de nature bilatérale n’ayant aucune incidence sur les engagements de l’Algérie à l’égard de l’Union européenne et ne nécessitant, par voie de conséquence, nullement le déclenchement d’une quelconque consultation européenne aux fins de réaction collective».
Le président de la République a ainsi ordonné «la poursuite de l’enrichissement du projet proposé pour définir la nature de la relation entre les services de l’Etat et les agences foncières devant être créées pour l’octroi et la gestion du foncier économique, tous types confondus».
C’est la troisième «promo Covid», fortement ébranlée par les répercussions des restrictions sanitaires sur la scolarité. Près d’un million et demi d’élèves de terminale et de quatrième année moyenne, dont les trois dernières années scolaires ont été bouleversées par l’épidémie, devront entamer l’examen de fin de cycle (bac et BEM) du 6 au 16 juin.
Le buste de Maurice Audin, mathématicien anticolonialiste, torturé et assassiné le 21 juin 1957 par des militaires français, a été inauguré hier à la place éponyme sous les chants de Min Jibalina, des slogans «Djazaïr hourra dimocratia» (Algérie, libre et démocratique) et des youyous encouragés par les klaxons des automobilistes.
Mina Namous naît en 1984 à Paris dans une famille algérienne et passe son enfance et son adolescence en Algérie. Après un doctorat de droit, elle s’installe en tant que juriste et exerce d’abord à Alger avant de revenir vivre en France.
Les autorités ont procédé à la mise en place de pistes d’atterrissage pour les avions de lutte contre les feux de forêt et réfléchissent à l’affrètement de bombardiers pour renforcer les capacités de lutte contre ces incendies.
Face à la montée au créneau des détenteurs de doctorat et de magistère, qui se plaignent du chômage des élites universitaires, le ministre de l’Enseignement supérieur a annoncé, samedi à Batna, le lancement d’une plateforme pour recueillir les dossiers des candidats aux postes de maîtres-assistants de classe B, via le système Progres. Cela sera-t-il suffisant pour apaiser leur colère ?
Malgré l’incertitude qui les habite, leur faible représentation dans les instances politiques et des rapports compliqués avec les autorités, marqués par une «crise de confiance», les jeunes Algériens ont néanmoins le sens de la responsabilité et une certaine idée de la participation à la vie publique.
Même si le dossier de l’importation des véhicules et du montage automobile traîne en longueur, le ministre de l’Industrie se veut néanmoins rassurant. Ahmed Zeghdar a ainsi affirmé hier, lors d’une intervention médiatique autour du lancement du régime d’importation des chaînes de production rénovées, que de grands constructeurs automobiles devraient bientôt se lancer sur le marché algérien. Il n’a donné aucune date ni autre détail sur lesdites entreprises internationales avec lesquelles le ministère est en contact.
Le groupe Sonatrach a annoncé, hier, dans un communiqué de presse, l’acquisition des parts de l’Etrhb Haddad dans le capital de Fertial.
Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a mis l’accent, hier lors de sa visite à Alger, sur les «relations stratégiques» qui lient les deux pays et appelées à être renforcées, saluant la position «objective» d’Alger sur le dossier ukrainien.
Les postes d’emploi créés dans les nouvelles wilayas du Sud devront revenir en priorité aux fonctionnaires originaires de ces régions. C’est l’une des instructions données par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, lors du Conseil des ministres tenu dimanche.
Dans un climat social tendu, marqué par une détérioration fulgurante du pouvoir d’achat, le président Abdelmadjid Tebboune a promis, dans un message adressé aux travailleurs algériens à l’occasion de la Journée internationale des travailleurs (1er Mai), lu en son nom par le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, d’améliorer le pouvoir d’achat des Algériens.
Le Front des forces socialistes (FFS) s’est élevé, dans un communiqué publié à l’occasion du double anniversaire du Printemps amazigh et du Printemps noir, contre ce qu’il considère comme une «fermeture sans précédent du champ des libertés individuelles et collectives» ainsi que des tentatives qui viseraient à «attiser la discorde», pointant du doigt des «manœuvres sournoises pour semer la haine et la division dans les rangs d'un même peuple».
Le journal El Khabar passe à son tour à 40 DA. Annonçant hier sa décision de revoir les prix de vente à la hausse – qui sera effective à partir du 30 avril –, le journal a justifié sa décision par l’envolée des prix du papier sur le marché international ainsi que la baisse des revenus publicitaires.
Sommes-nous au bout de la pandémie liée à la Covid-19 ? Peut-on désormais se permettre de retirer les masques ? Que nous réserve l’avenir ?