Depuis le début de la guerre à Ghaza, 54 Palestiniens ont été tués dans les prisons israéliennes. Au moins 640 enfants palestiniens ont été détenus en Cisjordanie, beaucoup subissant des abus et des tortures similaires à ceux des adultes.
Les abris gérés par l’UNRWA elle-même, qui est le principal groupe fournissant de l’aide aux personnes déplacées à Ghaza, ont également été touchés à plusieurs reprises, causant la mort de plus de 500 personnes qui s’y abritaient. Il s’agit là de lieux censées être protégées par le droit humanitaire.
Le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, appelle à la désescalade entre Israël et le Hezbollah, prévenant quant au risque d’une déflagration régionale avec ses répercussions dramatiques notamment sur le Sud-Liban.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, a dissous son cabinet de guerre après le retrait de son principal rival, Benny Gantz. Le mouvement palestinien Hamas a immédiatement qualifié cette décision d’une «victoire pour la résistance palestinienne». Qu’en est-il réellement ?
L’aide humanitaire reste insuffisante et entravée, tandis que les conditions de vie des habitants de Ghaza continuent de se détériorer. Selon la chaîne El Jazeera, seulement quatre camions commerciaux et cinq camions de carburant ont été autorisés à y accéder. Comparé aux besoins énormes sur le terrain, cette aide est dérisoire.
Le ministère palestinien de la Santé a annoncé que 12 Palestiniens avaient été tués par les forces d’occupation israéliennes dans différentes régions de la Cisjordanie en moins de 48 heures.
Israël a frappé la bande de Ghaza avec plus de 70 000 tonnes d’explosifs, soit une puissance de feu plus de trois fois supérieure à celle de la bombe nucléaire américaine qui a détruit Hiroshima.
Le voyage de Blinken intervient deux jours après que l’armée israélienne a tué au moins 274 Palestiniens et en a blessé 698 autres à Nuseirat, dans le centre de Ghaza, dans le cadre d’une opération qui a conduit à la libération de quatre Israéliens détenus par le Hamas.
Les habitants de l’enclave palestinienne, bombardée huit mois durant, vivent au rythme des déplacements forcés, dictés par les opérations militaires des forces sionistes.
Un rapport d'experts indépendants publié mardi par le Famine Early Warning Systems Network (FEWS NET) alerte sur une possible famine en cours dans le nord de Ghaza. Cindy McCain, du Programme alimentaire mondial (PAM), a déclaré le mois dernier que le nord de Ghaza était entré dans une «famine à part entière» après près de sept mois de conflit.
Des organisations humanitaires indiquent que près de 2000 Palestiniens sont incarcérés sous le statut de «combattant illégal» et non comme prisonniers de guerre.
Dans une intervention médiatique sur le plateau de la chaîne Echorouk, Chamseddine Boulaâssel, directeur de la Caisse nationale de sécurité sociale des non-salariés (Casnos), a mis en lumière les orientations pour la Caisse qu’il dirige.
L’Observatoire euro-méditerranéen des droits de l’homme (REMDH) appelle la communauté internationale à déclarer officiellement la famine dans la bande de Ghaza et à exercer des pressions sur Israël pour rétablir l’accès à l’aide humanitaire conformément au droit international.
Malgré l’indignation internationale suscitée par l’effroyable bombardement d’un camp de déplacés à Rafah dimanche dernier, l’armée d’occupation israélienne poursuit sa guerre génocidaire et son offensive terrestre dans cette ville surpeuplée lancée le 7 mai.
Israël a mené une véritable guerre de l’ombre pour éviter que ses dirigeants ne soient poursuivis par la CPI, incluant des écoutes téléphoniques et des menaces physiques.
Depuis l’assaut terrestre lancé le 6 mai, l’armée d’occupation israélienne cible régulièrement les zones densément peuplées de la région de Rafah, cherchant à contrôler la frontière entre Ghaza et l’Egypte.
L’attaque d’un camp de tentes à Rafah survient alors que la pression internationale s’accroît sur Israël. Toutefois, cette pression montre ses limites, exploitées par l’Etat sioniste.
Après bientôt huit mois d’une guerre barbare et dévastatrice menée contre les Palestiniens de Ghaza, la pression s’accroît chaque jour un peu plus sur Israël, en faveur d’une trêve.
L’armée israélienne a de nouveau bombardé hier la bande de Ghaza, notamment la ville de Rafah, six mois et demi après le début de son agression contre le territoire palestinien.
L’armée d’occupation israélienne a intensifié ses frappes meurtrières sur la bande de Ghaza, territoire qu’elle assiège et bombarde continuellement depuis 196 jours et où environ 2,4 millions d’habitants sont menacés de famine, selon les Nations unies.