La guerre à Ghaza, violente et barbare, marquée par les tueries contre les civils palestiniens, pourrait torpiller le processus de normalisation en cours entre plusieurs capitales arabes et Israël.
C’est une guerre sans témoins et sans images que souhaite mener Israël, n’hésitant pas à cibler les journalistes de Ghaza et leurs familles dans le but d’instaurer ainsi un «black-out» médiatique. En 25 jours de bombardements massifs, 38 journalistes et professionnels des médias ont perdu la vie, selon un décompte du Syndicat des journalistes palestiniens publié mardi soir par l’agence palestinienne Wafa. Les domiciles d’au moins 35 journalistes ont été bombardés, entraînant la mort de dizaines de membres de leurs familles.
Vingt-cinq jours d’une guerre abominable contre les Palestiniens de Ghaza et aucune voix sensée n’a pu encore imposer un cessez-le-feu pour arrêter le massacre. Tandis que les Etats-Unis et leurs alliés accordent à Israël l’impunité pour commettre des crimes de guerre et que les voix arabes sont inaudibles, l’entité sioniste poursuit son plan macabre dans ce qui ressemble à une seconde Nakba.
Alors que des tonnes d’aides humanitaires sont prêtes à être acheminées et distribuées dans la bande de Ghaza, les camions restent bloqués au point de passage de Rafah, à la frontière avec l’Egypte. Israël bloque délibérément les aides internationales, notamment de carburant, aggravant ainsi les souffrances des populations palestiniennes à Ghaza.
Ghaza est aujourd'hui le théâtre d'une tragédie humanitaire sans précédent. Confrontés à des bombardements intensifs et barbares depuis 24 jours, les Palestiniens de Ghaza sont sans eau, sans nourriture, sans carburant, sans électricité… L’aide humanitaire arrive au compte-gouttes.
Le président de l'Assemblée tunisienne des représentants du peuple (ARP), Brahim Bouderbala, a conclu sa visite officielle de quatre jours en Algérie, marquant une étape significative dans le renforcement des relations entre les deux pays voisins. L'invitation à cette visite a été lancée par le président de l'Assemblée populaire nationale (APN) de l'Algérie, Brahim Boughali.
Dans un acte de cynisme ultime, Israël, qui bombarde sans relâche la bande de Ghaza depuis le 7 octobre, nie être à l'origine de cet acte aussi abject qu’immonde qu’il attribue l'attaque au «Jihad islamique».
Plus d’un million de personnes ont déjà quitté leurs foyers dans ce territoire de 362 kilomètres carrés placé en état de siège et coincé entre Israël, la Méditerranée et l’Egypte.
Les pays occidentaux restent néanmoins aveugles et sourds à la détresse des Ghazaouis, tandis qu’Israël, fort de son impunité, masse ses troupes pour une offensive terrestre – qui semble imminente.
La réunion ministérielle d’urgence de la Ligue arabe, qui s’est tenue au Caire jeudi dernier et qui était censée condamner l’agression israélienne contre Ghaza et trouver des moyens de mettre fin à la guerre qui y sévit, n’a finalement pondu qu’une déclaration timorée, marquée par des réserves émises par l’Algérie, ainsi que par d’autres pays, tels que la Syrie, l’Irak et la Libye.
Les ministres arabes des Affaires étrangères se sont rendus, mercredi 11 octobre, au siège de la Ligue arabe au Caire, pour une réunion extraordinaire, en réponse à la détérioration de la situation à Ghaza, marquée par des bombardements continus contre l’enclave palestinienne.
Alors que les bombes pleuvent sur Ghaza, l’Union européenne choisit de «réexaminer» son aide financière à la Palestine. Bruxelles a multiplié les déclarations contradictoires sur cette question, annonçant d’abord une «suspension» de cette aide, puis plaidant – dans une déclaration avec le Conseil de coopération du Golfe (CCG) – pour «un soutien financier durable» aux Palestiniens. L’UE s’achemine vers une suspension des aides au développement, l’aide au développement réservée aux Territoires palestiniens, en maintenant néanmoins l’aide humanitaire. Une démarche déjà entamée par l’Allemagne et le Danemark.
La révision des programmes scolaires entreprise par le Conseil national des programmes (CNP) vise à adapter les programmes éducatifs aux évolutions de la société algérienne et aux avancées scientifiques et technologiques, tout en allégeant le poids du cartable. Elle encourage, également, l’apprentissage de différentes langues étrangères pour mieux préparer l’élève à un monde de plus en plus connecté.
Les décès dus à une consommation excessive de drogues, en particulier de substances dures et de psychotropes, comme la cocaïne, l’héroïne, la «tchoutchna» (un mélange de plusieurs produits) et la Prégabaline (connue sous le nom de «el saroukh»), sont en constante augmentation.
Afin de lutter plus efficacement contre l’évasion fiscale en Algérie, de la part des grandes sociétés étrangères, le projet de loi de finances rectificative 2023 apporte des modifications significatives aux dispositions du code de procédure fiscale liées aux transferts.
La période d'inscription pour la prochaine rentrée professionnelle, débutée le 15 juillet dernier, se poursuivra jusqu'à la fin du mois de septembre. Cette année, marquée par l'introduction de nouvelles filières de formation, vise à attirer un nombre croissant de candidats.
Le Dr Akhamoukh a expliqué que les déplacements massifs de populations fuyant des zones de conflits ainsi que les changements climatiques, qui entraînent des catastrophes naturelles, favorisent la résurgence de maladies qui avaient été éradiquées et la propagation de nouvelles infections.
La rentrée scolaire de cette année est marquée par quelques nouveautés et une forte inflation des fournitures scolaires, mettant à mal les ménages.
Les concertations avec ses homologues nigérian, béninois et ghanéen porteront sur «la crise au Niger et les moyens de la prendre en charge, à travers la contribution à une solution politique qui évitera à ce pays et à la région tout entière les retombées d’une éventuelle escalade de la situation».
Johannesburg, en Afrique du Sud, se prépare à recevoir le 15e sommet des BRICS, du 22 au 24 août. Cet important rendez-vous devrait aborder les inégalités et le rôle des pays développés dans la lutte contre le changement climatique, selon les récentes déclarations du président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva.