Dans le domaine des droits des femmes – dont on célèbre aujourd’hui la journée – l’Algérie brosse une réalité contrastée.
Infrastructures dévastées, maisons éventrées, colonnes de fumée. La Cisjordanie s’embrase depuis que l’armée d’occupation israélienne y a lancé une offensive d’une ampleur inédite, notamment sur Jénine et Tulkarem.
Les tensions entre Alger et Paris n’ont cessé de s’exacerber ces derniers mois, jusqu’à faire craindre une rupture diplomatique définitive. Les médias internationaux voient cela d’un œil distancié, égrenant une somme de griefs accumulés de part et d’autre, entre querelles mémorielles, divergences stratégiques et crispations politiques.
Le tribunal criminel de première instance du Conseil judiciaire de Annaba a prononcé cette semaine la peine de mort à l’encontre d’un homme reconnu coupable du meurtre de son épouse, Samia Djamouai, et de leurs trois enfants. Le crime d’une brutalité inouïe a été rapporté par la page «Féminicides Algérie».
C’est un pan de l’histoire que la France aurait préféré laisser enfoui sous des tonnes d’archives classées. Le documentaire Algérie, sections armes spéciales sera diffusé le 16 mars à 23h sur la chaîne télévisée France 5, et devra jeter la lumière sur un sujet aussi explosif que méconnu : l’usage d’armes chimiques par l’armée française pendant la guerre d’Algérie.
L’administration Trump espérait sceller un accord historique avec Kiev afin d’octroyer aux entreprises américaines un accès privilégié aux ressources minières ukrainiennes. En contrepartie, Washington comptait compenser les 120 milliards de dollars d’aide militaire et financière versés à l’Ukraine depuis le début du conflit avec la Russie.
Tensions diplomatiques, surenchère verbale, déclarations enflammées… Depuis quelques mois, le feuilleton orageux entre Paris et Alger s’intensifie, atteignant un niveau de crispation inédit.
Les forces d’occupation israéliennes renforceront leur présence avec le déploiement quotidien de 3000 agents armés autour de Jérusalem-Est.
Le réchauffement diplomatique entre Alger et Madrid se confirme. Après une période de tensions marquée par la crise autour du Sahara occidental, la visite officielle du ministre algérien de l’Intérieur, Brahim Merad, en Espagne, les 24 et 25 février, signe une nouvelle étape dans la relance des relations bilatérales.
Le ministre des Transports, Saïd Sayoud, a défendu les développements de son secteur lors de son audition devant la commission des transports de l’Assemblée populaire nationale (APN). Il s'agit du développement ferroviaire, le renforcement des flottes maritimes et aériennes, et la modernisation des infrastructures portuaires.
«Les mots s’ennuient dans leur banalité et dans leur abstraction, dès lors que l’image paraît, elle se passe de vocabulaire. C’est à cette lecture supérieure que nous convie Kouaci». Ces mots de Malek Haddad résonnent avec une acuité saisissante face aux clichés de Mohamed Kouaci exposés au Palais des Raïs (Bastion 23) du 27 janvier au 20 février.
Blida a accueilli, hier, la rentrée de la formation professionnelle pour la session de février 2025. Le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, Yacine El-Mahdi Oualid, a donné le coup d’envoi de cette session à l’Institut national spécialisé (INSFP) en agroalimentaire Aboubakr Belkaid, au cœur de la Ville des Roses, où un exposé détaillé lui a été présenté sur l’état du secteur et ses perspectives d’évolution.
Le gouvernement a publié un décret exécutif consacrant une revalorisation des allocations des moudjahidine et des ayants droit des martyrs, du personnel blessé et des victimes des mines antipersonnel.
Al’heure où les lignes géopolitiques se redessinent, l’Afrique aspire à occuper la place qui lui revient dans l’architecture institutionnelle mondiale. C’est dans ce contexte que l’Algérie a réitéré son engagement en faveur d’une réforme profonde et équitable du système multipartite.
Un nouvel épisode vient assombrir les relations algéro-françaises. Le ministère algérien des Affaires étrangères a vivement réagi à la récente visite de Rachida Dati, membre du gouvernement français, au Sahara occidental.
Le Premier ministre, NadirLarbaoui, a donné des instructions pour «l’accélération de la prise de mesures pour l’exploitation optimale des unités de production récupérées, dans le cadre de la lutte anticorruption, concernées par le transfert à la collectivité nationale, en application des directives du Président de la République».
Dans le sillage d’une diplomatie algérienne de plus en plus engagée aux côtés du Liban, le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a reçu hier un appel téléphonique le chef du gouvernement libanais, Nawaf Salam.
Face à la proposition jugée «délirant» par certains, «explosive» par d’autres du président américain Donald Trump autour de l’avenir de Ghaza, l’Egypte a annoncé la tenue d’un sommet d’urgence le 27 février au Caire.
En décidant d’interrompre toute aide financière à Pretoria et en proposant un programme de réinstallation pour les Afrikaners, le président américain Donald Trump a ainsi porté la crise à un niveau inégalé depuis la période des sanctions imposées au régime de l’apartheid en 1986.
Les opérations militaires israéliennes se multiplient, s’intensifient et redessinent le territoire déjà fragmenté de Cisjordanie. Ce qui autrefois était une occupation sauvage et brutale se révèle aujourd’hui sous son vrai jour : un plan d’annexion à marche forcée.