C’est une double peine pour bon nombre d’Algériens présentant des symptômes d’une infection à la Covid-19.
A en croire les chiffres officiels, l’Algérie dépasse désormais les 610 nouveaux cas confirmés de coronavirus (Covid-19) par jour.
Le produit de Sanofi et son pendant local, le Varenox, des laboratoires Frater-Razes, font l’objet d’une forte tension depuis qu’ils ont été intégrés dans le protocole de soin du coronavirus.
Les mesures prises pour endiguer la crise sont des plus intrigantes : dans une déclaration à la presse, en marge de son déplacement hier à Oran, le ministre du Commerce confirmait que son département avait décidé l’interdiction de la vente de l’huile de table aux moins de 18 ans.
Les études de médecine devront être revues dans leur contenu et dans leur architecture, afin qu’elles puissent mieux répondre aux défis de notre ère et s’adapter aux évolutions des connaissances dans le domaine.
A la quatrième vague des contaminations liées au coronavirus, il apparaît que les denses centres urbains du nord du pays sont les plus touchés par la pandémie.
Le gouvernement lance un appel aux citoyens et citoyennes à prendre la juste mesure de l’inquiétante situation sanitaire de par le monde et de la menace d’un rebond des cas de contaminations qui risque de nous exposer aux difficiles situations que nous avons vécues lors de la troisième vague de cette épidémie.
L’avènement du variant Omicron en Algérie est d’autant plus «inquiétant», que la campagne de vaccination tourne au ralenti et que les objectifs de l’année 2021 n’ont pas été atteints, affirme le Pr Ryad Mahyaoui, membre du Comité scientifique chargé de la lutte et du suivi de la pandémie Covid-19.
La crise sanitaire connaîtra-t-elle son épilogue en 2022 ? C’est, en tout cas, l’un des engagements de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).