L’OPEP affirme que la consommation sera soutenue en 2024 par une forte demande de carburants pour le transport et une croissance économique saine et continue.
Mardi, Ilham Aliev, le président de l’Azerbaïdjan, a déclaré que les hydrocarbures sont des «ressources naturelles» et qu’on ne peut «reprocher aux pays d’en avoir et de les fournir aux marchés». Son pays accueille la COP de l’ONU sur le climat à Bakou.
Les prix du pétrole brut étaient en voie de terminer la semaine en hausse, malgré un léger recul plus tôt dans la journée. Les marchés attendent de savoir quelles mesures prendra concrètement le nouveau président américain, Donald Trump, et quelles seront les répercussions sur l’offre de pétrole et sur la courbe des prix de l’or noir.
Les prix du pétrole étaient en nette hausse hier, en réaction à la décision de l’Opep+ de prolonger les réductions volontaires de huit de ses membres, dont l’Algérie, jusqu’à la fin de l’année.
Au cours de l’année écoulée, le conflit au Moyen-Orient a entraîné une forte volatilité des cours du pétrole, en raison notamment de la crainte de dommages aux infrastructures pétrolières et gazières des principaux producteurs si le conflit venait à s’intensifier.
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep+) a annoncé ce dimanche que plusieurs de ses membres, notamment l'Arabie saoudite et la Russie, vont prolonger leurs réductions volontaires de production de pétrole jusqu'à fin décembre. Cette décision vise à soutenir les cours du pétrole, qui ont été récemment sous pression.
L’Irak espère augmenter ses réserves pétrolières à plus de 160 milliards de barils, a déclaré hier le ministre du Pétrole, Hayan Abdel-Ghani, lors du lancement de nouveaux cycles d’octroi de licences pour 29 champs de pétrole et de gaz.
Le retrait de quelques troupes de l’armée sioniste du sud de la bande de Ghaza avant l’entame des négociations avec le Hamas pour un éventuel cessez-le-feu a donné un signe d’apaisement au marché pétrolier.
Au niveau du marché pétrolier, les investisseurs affichent des inquiétudes quant aux risques géopolitiques et leurs retombées, notamment après les attaques ukrainiennes contre la Russie et l’escalade de la guerre au Moyen-Orient avec l’implication de l’Iran, après l’attaque israélienne contre son consulat en Syrie et la promesse de Téhéran de riposter.
Après Goldman Sachs, une autre banque américaine revoit ses prévisions pour les prix du brut pour l’année 2024. En raison de l’évolution des événements et l’escalade des tensions géopolitiques ainsi que le maintien de la réduction de l’offre pétrolière des pays de l’OPEP+, Bank of America Global Research a annoncé hier une nouvelle projection et s’attend désormais à une moyenne de 86 dollars le baril pour le Brent et de 81 dollars pour le West Texas Intermediate.
Les prix du pétrole ont entamé la semaine avec des niveaux de progression appréciables, boostés par l’attente d’une demande en hausse et les perspectives d’un nouvel embrasement au Moyen-Orient.
Selon l’ONS, les importations depuis le Maghreb, les pays arabes et de l’Afrique ont progressé en 2022 de respectivement 64,2%, 29,5% et 25,4%.
Les prix du pétrole clôturent le mois de mars en nette progression en raison du resserrement de l’offre, dans le sillage de la stratégie de l’Opep+ dont le comité de surveillance du marché se réunit la semaine prochaine.
Le secrétaire général de l’OPEP met en garde, encore une fois, contre les appels et les initiatives visant à éliminer l’utilisation du pétrole en raison de son impact sur l’environnement, estimant que les énergies fossiles restent essentielles au développement et à la croissance économique et au bien-être social, à travers le monde.
Le renforcement de la coopération énergétique entre l’Opep et la Chine, dont la croissance économique stimule la demande mondiale de pétrole, a été au centre des discussions de la septième réunion de haut niveau du dialogue énergétique OPEP-Chine, tenue à Vienne en Autriche.
Le PDG de la société saoudienne Aramco a rejeté les prévisions tablant sur un pic de la demande pétrolière à l’horizon 2030, appelant à une révision des plans mondiaux de transition énergétique.
Les prix du pétrole ont continué de progresser hier consolidant les gains de près de 4% de la semaine dernière dans un contexte de resserrement de l’offre, confirmé par les prévisions de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et de l’Agence internationale de l’énergie (AIE).
Les prix du pétrole se stabilisent au dessus de 80 dollars le baril, aidés par l’annonce des réductions volontaires de la production annoncés le 3 mars, par plusieurs pays Opep+.
Les cours du pétrole ont jailli, vendredi, pour porter le prix du baril de West Texas Intermediate (WTI) américain au-delà de 80 dollars, une première depuis novembre, sur un marché repartit à l'achat avec le début d'un nouveau mois.
Les facteurs géopolitiques mondiaux qui se sont amplifiés depuis des mois ont peu impacté les prix du pétrole, dont la courbe n’a pas atteint les valeurs à trois chiffres qu’auraient pu laisser prédire les conflits en cours dans des régions productrices de pétrole, et les fortes perturbations de transport en mer Rouge.