La date limite pour le relèvement de la dette américaine et éviter le défaut de paiement qui devait avoir lieu aujourd’hui, 1er juin, a été repoussé jusqu’à lundi 5 juin après que les camps démocrate et républicain soient arrivés à un accord.
Tout d’abord, il faut comprendre la crise, comprendre ses caractéristiques, savoir ce qu’elle est et ce qu’elle n’est pas, et savoir situer sa propre organisation par rapport au concept de crise, car ce qui peut provoquer des crises chez différentes organisations n’est pas forcément universel.
La Banque africaine de développement (BAD) note que les besoins de financement de l’Algérie pour répondre de manière adéquate aux changements climatiques, sont de l’ordre de 22 milliards de dollars sur la période de 2020-2030.
Le continent a besoin, selon l’évaluation de la BAD, de 1300 à 1600 milliards de dollars sur la décennie afin de pouvoir répondre aux exigences de la lutte contre le réchauffement climatique.
A J-9 du défaut de paiement, les camps démocrates et républicains ne sont toujours pas arrivés à un accord pour éviter la situation de défaut de paiement qui se profile au 1er juin prochain. Récession et économie en chute libre seront au menu de l’administration américaine si la limitation du plafond de la dette n’est pas relevée d’ici la fin du mois en cours.
L’Agence algérienne de promotion de l’investissement (AAPI) a enregistré une hausse de 121% en six mois en termes de nombre de projets d’investissements inscrits. En effet, durant la période allant du 1er novembre 2022 au 30 avril 2023, l’AAPI a recensé cette importante hausse du nombre d’investissements, selon le directeur général de l’Agence, Omar Rekkache.
Prudence, prévoyance et rationalisation des dépenses, telle est la ligne directrice qui sera suivie dans l’élaboration de la prochaine loi de finances pour l’année 2024. Dans son édition d’hier, notre confrère El Khabar a livré les grandes lignes de l’orientation de l’avant-projet de loi portant loi de finances 2024 et le mot prudence revient comme un leitmotiv pour encadrer les dépenses publiques pour les années à venir.
Les principales discussions ont porté, outre la crise bancaire, sur les risques observés dans les chaînes d’approvisionnement depuis l’apparition de la pandémie de Covid-19.
Atteindre un niveau de 13 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures, tel est l’objectif que s’attelle à réaliser le gouvernement de Benabderrahmane. Un tel challenge nécessite toutefois une réforme dans le modèle de production et des facilités à l’export débarrassés des pratiques bureaucratiques. Trois ministres se sont exprimés cette semaine sur le sujet en affirmant une disponibilité à lever certains obstacles freinant l’opération d’exportation.
L’encouragement de l’investissement se traduit par une facilitation des échanges financiers à l’international avec, notamment, l’ouverture de filiales bancaires algériennes à l’étranger. Le premier signal a été donné en avril dernier par l’ouverture d’une filiale d’une banque algérienne au Sénégal.
Le taux d’inscription au registre du commerce électronique a marqué une hausse considérable estimée à pas moins de 72,9% du nombre des commerçants enregistrés au niveau national.
Concernant l’indice du prix de la viande, l’étude démontre une augmentation de 1,3% en glissement annuel, face à des chutes de 1,7% pour les produits laitiers, de 1,3% pour les huiles végétales et de 1,7% pour les prix des céréales.
Le ministre des Finances, Laaziz Fayed, a insisté sur la nécessité d’un meilleur travail de collecte des impôts et juge «inconcevable» que la fiscalité ordinaire n’arrive pas encore à couvrir les salaires des fonctionnaires.
La consommation mondiale passera à des volumes plus importants en s’établissant à 2293 millions de tonnes, soit 5 millions de tonnes de plus qu’au mois de mars dernier, mais reste moins importante que son niveau historique de 2021/22 où elle était de 2297 Mt.
Les ministres de l’Agriculture des Etats membres du Groupe des sept pays les plus industrialisés (G7) ont appelé, hier, à «la prolongation, l’entière mise en œuvre et l’élargissement» de l’accord sur les exportations de céréales ukrainiennes depuis les ports de la mer Noire.
Outre l’Algérie, d’autres Etats attendent ainsi l’accord des BRICS à l’instar de l’Iran, l’Indonésie, l’Arabie Saoudite, l’Egypte, le Zimbabwe et récemment la Tunisie. L’Afrique du Sud, qui a rejoint, pour rappel, le bloc des BRICS en 2011, et qui assure actuellement la présidence tournante des BRICS, accueillera, dans la province de Gauteng, le prochain sommet des BRICS.
Le matelas financier dont dispose le Trésor public se porte mieux, mais la prudence reste de mise, notamment avec une poussée inflationniste qui a fortement pesé à la fois sur les ménages et sur l’économie nationale. La Banque d’Algérie a décidé de réagir en prenant des mesures dont l’augmentation du taux de réserve obligatoire.
Les ministres du Climat, de l’Energie et de l’Environnement du Groupe des pays les plus industrialisés plaident, depuis la ville japonaise Sapporo, pour l’accélération du développement des énergies renouvelables et l’abandon des énergies fossiles.
Les alertes se suivent et se ressemblent concernant les risques de déclins économiques dans différentes régions du monde. Dans sa nouvelle mise à jour du rapport sur le commerce et le développement, l’agence onusienne pour le commerce et le développement Cnuced alerte sur les risques d’une «décennie perdue pour les pays en développement» à cause d’importants niveaux de surendettement.
Avec 1550 entreprises installées en Algérie, la Turquie ou Turkiye, selon la nouvelle appellation adoptée récemment, est le pays étranger qui a le plus grand nombre d’entreprises présentes dans le plus grand pays d’Afrique, affirme l’ambassadrice de Turkiye en Algérie, Mme Mahinur Ozdemir Goktas, lors du désormais traditionnel Iftar du Ramadhan organisé en collaboration avec le Conseil mondial des affaires (DTIK).