Mohamed Arkab affirme qu’après le ralentissement saisonnier des trois premiers mois de l’année, une plus grande reprise de la demande de pétrole est à attendre à partir d’avril prochain. L’OPEP+ tient plus que jamais, et malgré les pressions, à la cohésion de ses rangs.
Les pays européens ont importé, en 2024, 11,27 millions de tonnes de gaz naturel liquéfié (GNL) algérien, soit 97% des exportations totales du pays, rapporte l’Unité de recherche sur l’énergie basée à Washington, Attaqa.
La banque américaine décrit un scénario dans lequel l’Iran serait confronté à des perturbations persistantes de l’approvisionnement, tandis que la Russie subirait des revers temporaires.
Le Sommet des chefs d’Etat africains sur l’énergie, Mission 300, qui s’est tenu pendant deux jours à Dar Essalam en Tanzanie, s’est clôturé hier avec l’adoption d’une déclaration d’engagement visant à «mener des réformes et des actions concrètes pour élargir l’accès à une électricité fiable, abordable, durable stimulant la croissance économique, améliorant la qualité de vie et encourageant la création d’emplois sur tout le continent».
Dans le cadre des préparatifs des travaux de la 12e session du Comité intergouvernemental algéro-russe pour la coopération économique, commerciale, scientifique et technique, une réunion des experts s’est tenue hier à Alger sous la présidence du ministre de l’Agriculture Youcef Cherfa, et du vice-Premier ministre russe, Dmitry Patrushev.
La Cour des comptes note que la fiscalité pétrolière a représenté, en 2022, une part de 44,33% dans la composante des ressources budgétaires, après avoir enregistré un recul en 2020 et 2021, pour se situer, respectivement, à 26,91% et 32,66%.
Les marchés mondiaux du gaz naturel devraient rester tendus en 2025, avec une demande continuant d’augmenter et une offre plus lente qu’avant la pandémie et la crise énergétique.
Selon les estimations de l’Energy Research Unit, la production algérienne de pétrole devrait se maintenir à 908.000 barils par jour jusqu’à la fin 2025 en raison d’un assouplissement progressif des réductions de l’OPEP+ jusqu’à la fin de l’année.
Dans ses nouvelles perspectives sur l’économie mondiale pour l’année 2025, le Fond monétaire international (FMI) prévoit une croissance à 3,3% (elle restera la même en 2026), soit un niveau inférieur à sa moyenne historique de 3,7% sur la période 2000/2019.
L’investiture de celui qui est qualifié d’ami des pétroliers américains est attendue «avec impatience» par l’industrie du pétrole et du gaz pour savoir quelle direction prendront les marchés dans les jours, semaines et mois à venir.
«La participation au marché du travail diminue, en particulier chez les jeunes»,indique l’OIT dans son étude précisant que l’activité a fortement baissé chez cette catégorie.
L’Agence qui conseille les pays industrialisés maintient ses projections d’offre excédentaire pour l’année en cours, en raison «d’une croissance de l’offre supérieure à une expansion modérée de la demande».
Pour contourner les sanctions et stimuler les exportations de carburant, la Fédération de Russie pourrait, selon des spéculations, augmenter sa capacité de raffinage nationale.
Le ministre de l’Energie et des Mines a rappelé que le secteur avait «entamé depuis 2021 la mise en œuvre d’une nouvelle stratégie visant à consolider l’activité de l’exploitation artisanale de l’or…»
Les cours de pétrole ont pris une belle envolée hier en atteignant leur plus haut niveau en trois semaines. Le prix du baril de Brent a caracolé à 77,89 dollars en ouverture de séance avant de s’établir à 77,32 dollars. La référence américaine du baril a quant à elle atteint 74,61 dollars, son plus haut depuis la mi-octobre 2024.
L’expiration de l’accord de transit du gaz russe à destination de l’Europe a provoqué une hausse des prix du gaz sur le Vieux continent et met une pression supplémentaire sur le stress énergétique que connaît l’Europe depuis le début de la guerre en Ukraine.
La Loi de finances pour l’année 2025 comporte un certain nombre de dispositions fiscales visant deux principaux objectifs que sont la préservation du pouvoir d’achat et l’encouragement de l’investissement économique.
Selon cette organisation internationale, tous les indices des composantes du baromètre restent supérieurs ou égaux à la tendance, à l’exception de l’indice des composants électroniques (95,4), qui s’est stabilisé en dessous de la tendance.
Le rapport 2024, et après des constats récents, vient réviser complètement cette projection en triplant son estimation des coûts de production jusqu’en 2050.
Alors que Trump se dit non partisan de la guerre, une reprise de force du canal de Panama par les Américains risquerait pourtant de provoquer un conflit dans la région que l’Amérique ne voudrait pas assumer.