Le panier de l’OPEP, constitué de prix de référence de 13 pétroles bruts, dont le Sahara Blend algérien, s’est maintenu à plus de 100 dollars au début de la semaine en cours.
Les prix du pétrole étaient en baisse lundi 11 avril, lestés par un confinement en Chine qui menace la demande en or noir et la crise ukrainienne.
La production des signataires de l’accord a chuté de 190 000 b/j pour atteindre 38,06 millions de b/j au mois dernier, soit 1,48 million de b/j en dessous de l’objectif, rapporte Argus Mediaw.
Les prix du pétrole se reprenaient hier, après les pertes de la veille, pris en tenailles entre la libération de réserves stratégiques des pays consommateurs, la baisse de l’offre russe et l’effritement de la demande venant de Chine. Dans la matinée, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juin prenait 1,00% à 101,59 dollars.
Les prix du pétrole poursuivaient leur hausse mardi 5 avril, alors que l'Union européenne discute de nouvelles sanctions contre Moscou.
Les prix du pétrole poursuivaient leur hausse mardi 5 avril, alors que l'Union européenne discute de nouvelles sanctions contre Moscou.
Les prix du pétrole se maintenaient hier, sur une courbe ascendante malgré la libération de réserves stratégiques annoncée par les Etats-Unis et l’Agence internationale de l’énergie (AIE).
Les prix du pétrole baissaient légèrement lundi 4 avril, impacté notamment par le recours aux réserves stratégiques d'or noir.
Les prix du pétrole ont reculé hier, dans le sillage d’informations faisant état d’avancées dans les pourparlers de paix entre la Russie et l’Ukraine, entamés en Turquie. Les cours de l’or noir étaient déjà en proie à une forte volatilité, suite aux nouveaux verrouillages en Chine pour freiner la propagation du coronavirus, ce qui a nui à la demande de carburant.
Les deux références du pétrole perdaient plus de 5% mardi 29 mars, en réaction aux progrès annoncés dans les négociations entre l'Ukraine et la Russie, mais aussi un confinement en Chine qui pèse sur la demande.
La déclaration des Emirats arabes unis, qui intervient à quelques jours de la réunion de l’Opep+, prévue le 31 mars, sonne comme un refus de «casser» l’alliance avec la Russie, et de laisser le marché dériver au gré des tensions géopolitiques.
Le prix du baril de pétrole de WTI américain perdait plus de 5% lundi, lesté par un confinement partiel à Shanghai, capitale économique de la Chine, risquant de peser sur la demande de pétrole dans le pays.
Un choc pétrolier» pour les uns et «euphorie pétrolière» pour les autres. Le conflit armé en Ukraine modifie le paysage géopolitique avec de profondes conséquences pour l’économie mondiale.
Le chef de la diplomatie française, Jean-Yves Le Drian, s’est entretenu hier avec ses homologues saoudien et émirati d’une diversification des approvisionnements des Européens en énergie afin de réduire leur dépendance vis-à-vis de la Russie.
Le ministre éthiopien des Mines et du Pétrole, Takele Uma, a signé un accord avec la société d’exploration de pétrole et de gaz Netherland, Sewell & Associates (NSAI) pour évaluer le potentiel du pays est-africain en hydrocarbures.
La série d’attaques des Houthis contre des installations pétrolières saoudiennes a changé la trajectoire de la courbe des prix du pétrole à la clôture du marché vendredi soir.
Le marché pétrolier restait très volatil hier, alors que l’Union européenne (UE) demeure divisée sur l’opportunité d’imposer un embargo pétrolier à la Russie. Les dirigeants de l’UE n’ont pris aucune décision pour limiter les importations russes de pétrole et de gaz, à la suite des réunions d’urgence consécutives de l’OTAN, du G7 et du Conseil européen de Bruxelles, en présence du président américain, Joe Biden.
Le baril de pétrole de Brent, référence de l'or noir en Europe, est repassé au-dessus de la barre des 120 dollars, galvanisé par la guerre en Ukraine et la perspective de nouvelles sanctions occidentales contre la Russie.
Les prix du pétrole ont augmenté, lundi 21 mars, le Brent et le WTI montant autour de 3% dans le contexte de tensions sur l'offre.
Le groupe Sonatrach a réalisé, avec son partenaire italien ENI, une importante découverte en hydrocarbures, estimée à environ 140 millions de barils de pétrole en place.