Les plans de l’Arabie Saoudite, visant à réduire la production d’un million de barils supplémentaires par jour en juillet, en plus d’un accord plus large de l’OPEP+ visant à limiter l’offre jusqu’en 2024, ont offert un soutien supplémentaire aux prix.
La mise en œuvre des réductions de production pétrolières ce mois-ci, et l’annonce de coupes supplémentaires dès le mois prochain, par l’Arabie Saoudite, la Russie et l’Algérie devraient aider à stabiliser les prix et à équilibrer le marché pétrolier, fortement perturbé par les incertitudes économiques et les interférences géopolitiques.
Le troisième trimestre sera un «trimestre décisif, car les attentes élevées de croissance de la demande de l’Opep et de l’AIE doivent se concrétiser pour éviter une pression à la baisse supplémentaire sur les prix», a déclaré Ole Hansen, responsable de la stratégie des matières premières de Saxo Bank.
Les prix du pétrole sont repartis à la hausse hier, dernier jour de cotation du mois de juin enregistrant le premier gain mensuel de l’année pour le Brent et le second pour le brut américain le WTI. Les deux références ont enregistré cependant des pertes trimestrielles, respectivement de 6% et 7%, au plus bas depuis deux ans.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) s’attend à ce que la demande mondiale de pétrole atteigne 110 millions de barils par jour (bpj) et que la demande globale d’énergie augmente de 23% d’ici 2045, selon son secrétaire général Haïtham Al Ghais.
Les prix du pétrole retombaient hier malgré la réduction des taux directeurs en Chine, qui devait doper la demande, ces efforts paraissant insuffisants aux investisseurs qui se focalisent sur la santé économique fragile du pays.
Les prix du pétrole ont entamé la semaine de cotation en baisse, l’incertitude sur l’évolution de l’économie chinoise l’emportant sur les réductions de production mises en œuvre par l’OPEP+.
Le rapport mensuel de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) indique que la production de pétrole de l’Opep avait chuté en mai, reflétant l’impact des réductions de production antérieures promises par l’Opep+.
L’OPEP+ pompe environ 40% du brut mondial et a réduit son objectif de production d’un total de 3,66 millions de bpj, soit 3,6% de la demande mondiale.
La réunion de l’Opep et de ses alliés s’est avérée très ardue hier, au vu des tractations difficiles qui se sont poursuivies pendant plus de sept heures.
La rencontre à laquelle prendra part le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, se déroulera dans un climat tendu, le marché étant fortement perturbé par des signaux contradictoires et des perspectives incertaines, sur fond de tiraillements entre pays consommateurs et pays producteurs.
Les prix du pétrole sont repartis à la hausse hier, prolongeant les gains de la session précédente. La remontée des cours, très instables depuis quelques semaines, a été constatée dans le sillage de la conclusion par le gouvernement américain d’un accord provisoire sur le plafond de la dette.
Le président iranien Ibrahim Raisi a appelé à l'unité des membres de l'Opep face aux pressions occidentales, tout en espérant que les producteurs de pétrole membres de l’Opep pourraient «calmer le marché».
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ses alliés, dont la Russie, connue sous le nom d'Opep+, continueront d'être un régulateur responsable du marché, a indiqué le ministre saoudien de l'Energie.
Le sous-investissement dans le secteur pétrolier et gazier pourrait entraîner une volatilité du marché à long terme et mettre en péril la croissance mondiale, a notamment déclaré Haitham Al Ghais, secrétaire général de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep).
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) affirme, dans son rapport mensuel du mois de mai, que la baisse actuelle des prix du pétrole ne reflète pas la réalité des fondamentaux et une crise d’approvisionnement imminente dans le sillage d’un fort rebond de la demande de la Chine, qui représentera 60% de la croissance mondiale en 2023.
Les prix du pétrole ont prolongé leurs pertes hier, après avoir plongé de 5% lors de la session précédente, alors que les investisseurs s’inquiétaient de la santé de l’économie mondiale, notamment aux Etats-Unis et en Chine.
Les prix du pétrole ont entamé la semaine de cotation en forte chute, entraînés par le pessimisme concernant la croissance économique, et ce, en dépit de l’entrée en vigueur ce mois-ci des réductions volontaires de 1,16 million de barils par jour, décidées par neuf membres de l’OPEP+.
Les prix du pétrole demeurent stables malgré une légère baisse enregistrée hier en séance d’ouverture du marché. Les inquiétudes face à la hausse des taux d’intérêt, les perspectives de l’économie mondiale et le niveau de la demande de carburant pèsent sur la courbe des prix du pétrole plus que le resserrement de l’offre.
Le pétrole restait en légère baisse vendredi à la clôture du marché, après avoir dévissé sur la semaine d’environ 6%, les craintes autour de l’économie américaine persistant après des indicateurs économiques moins encourageants que prévu.