L’Algérie vit l’un des épisodes de sécheresse les plus graves de sa jeune histoire. L’automne n’a tenu aucune de ses habituelles promesses d’orages et d’averses salvatrices et il ne pleut toujours pas, après un été long et caniculaire.
Il est en première ligne de l’information sur le drame de Ghaza, c’est Wael El Dahdouh, journaliste à Al Jazeera, chaîne révélée par sa couverture de la guerre du Golfe. Trois jours après la mort, sous les bombes, de son épouse et de ses deux enfants, il était à l’antenne pour poursuivre son travail, un exemple d’abnégation avec le devoir de rendre compte, minute par minute, de l’opération génocidaire israélienne.
Les prochaines élections locales n’auront lieu que dans trois ans, mais il n’est pas trop tôt pour préparer une échéance dont l’importance et l’incidence sur la vie quotidienne des populations ne sont plus à démontrer.
Nul être humain, avec tout ce que l’humanisme porte comme valeurs, ne peut rester insensible à ce qui se passe à Ghaza depuis le 7 octobre. La guerre menée par l’armée israélienne contre les civils palestiniens a pris, désormais, les allures d’une campagne d’extermination totale, face au silence complice des pays occidentaux, au mutisme des régimes arabes et l’incapacité du Conseil de sécurité de Nations unies.
Les start-up sauveront-elles l’Afrique ? Des faiblesses économiques structurelles subsistent certes sur ce continent émergent, mais sa jeunesse est bouillonnante d'idées qui façonnent une économie de plus en plus basée sur les nouvelles technologies.
Bien délicate est la position des pays ayant cédé à la tentation de normaliser les relations diplomatiques avec Israël. Depuis le déclenchement de l’escalade militaire en Palestine et la barbarie sans limite des attaques israéliennes sur Ghaza, les gouvernements arabes, ayant signé les accords d’Abraham avec Tel-Aviv, affichent profils bas devant des opinions nationales ouvertement hostiles au marché de dupes contracté avec Israël.
Six mille morts, dont 1000 enfants, 20 000 blessés, des centaines d’habitations détruites, ce bilan à Ghaza est occulté dans les pays occidentaux, tant par les gouvernants que par les médias, dans un odieux partage des tâches pour dédouaner les Israéliens de leurs crimes et en même temps les innocenter au sein de leurs opinions publiques.
Qui devient enseignant ou enseignante en Algérie ? Qu’attend exactement l’école publique de l’instituteur ou de l’institutrice ? Comment est évalué le corps enseignant ?
Le plan national de réhabilitation des routes dégradées dans les zones reculées, annoncé au début du mois par le ministre des Travaux publics, figure parmi les requêtes les plus urgentes des populations locales.
Dans son long voyage entre son pays et Israël, aller et retour, Biden n’a sûrement pas vu El Jazeera qui, remarquablement, en direct et sans discontinuité, a rempli les yeux du monde horrifié des images insoutenables du massacre de plus de 500 habitants de Ghaza à proximité d’un hôpital. Oui, il n’a rien vu ou a refusé de voir l’horreur absolue du bombardement que l’armée israélienne et Netanyahu (comme Collin Powel au début des années 1990 à propos des armes chimiques de l’Irak) ont tenté d’imputer au groupe de résistance palestinienne, le Jihad islamique.
Bien des choses ont été dites sur la relation qu’entretiennent les Algériens avec le livre, et la lecture en général. Un sujet qui continue de susciter les débats. Durant des décennies, on s’est posé la question, devenue lancinante : «Les Algériens lisent-ils ?» Est-ce qu’ils le font souvent ou seulement durant le Salon international du livre d’Alger ? Le SILA est-il un baromètre pour mesurer l’importance et l’impact de cet intérêt ?
L'escalade de violence aveugle que fait subir le gouvernement israélien au peuple palestinien à Ghaza donne à voir une des séquences les plus éloquentes du potentiel de soutien sans limite sur lequel peut compter Tel-Aviv en Occident. Le ton a vite été donné par Washington dès les premières alertes sur l'opération menée par le bras armé de Hamas, au matin du 7 octobre.
De nombreux consommateurs algériens n’échappent pas aux grandes tendances mondiales, avec une alimentation dangereuse, car de plus en plus grasse, sucrée et salée, et une part croissante des aliments transformés.
Le monde entier redécouvre la question palestinienne, après des décennies d’occultation par le système sioniste mondial, qui a pu rallier à lui la plupart des Etats occidentaux et une partie des pays du tiers-monde dans lequel figurent des régimes arabes.
Le monde entier redécouvre la question palestinienne, après des décennies d’occultation par le système sioniste mondial, qui a pu rallier à lui la plupart des Etats occidentaux et une partie des pays du tiers-monde dans lequel figurent des régimes arabes.
La présentation depuis mardi devant l’APN de la Déclaration de politique générale du gouvernement a donné lieu à des interventions des députés ayant dans leur grande majorité, comme l’ont relevé les journalistes présents aux travaux, fait état des préoccupations premières des citoyens et de leurs attentes en matière d’amélioration de leurs conditions de vie et de leur pouvoir d’achat.
Qualifiée de cinquième roue de la charrette, la culture en Algérie vit encore une situation peu enviable, et ce sont les femmes et les hommes ayant servi cette culture qui en font les frais. Leur tort est d’avoir sacrifié des années de leur vie pour l’art de leur pays.
L’emploi demeure une question qui revêt un intérêt vital pour le citoyen et un objectif principal pour le pouvoir politique. Le lien est si fort entre les deux entités que leurs sorts sont intimement dépendants. Pour le citoyen, le travail est chose existentielle qui lui assure une vie dans la dignité.
Le fait d’avoir été admis comme médiateur dans la «crise politique interne» au Niger est, en soi, une victoire diplomatique pour notre pays. En effet, l’Algérie, qui a toujours prôné le dialogue politique pour résoudre les conflits et les crises politiques plutôt que l’intervention militaire, était attendue au tournant, notamment par les pays membres de la Cédéao et la France.
Les capitales occidentales découvrent, avec stupeur, que les Palestiniens restent encore capables de réactions guerrières en portant l’action militaire sur des terroirs censément pacifiés par la toute puissance israélienne. L’offensive spectaculaire, conduite à l’aube de ce 7 octobre par les troupes d’élite du mouvement Hamas et baptisée le «Déluge d’Al Aqsa», a ébranlé, en profondeur, énormément de certitudes et de faits accomplis.