La numérisation est de retour cette semaine. Elle est sur toutes les lèvres de nos officiels, chacun dans son secteur. Si d’aucuns s’en servent dans une perspective réfléchie et réalisable, d’autres emboîtent le pas juste pour se mettre au goût du jour. Il se trouve, hélas, que le secteur de l’éducation est l’une des victimes de ce fait d’annonce pur et simple. La tablette n’a pas remplacé le fardeau du traditionnel cartable, comme promis par le premier responsable de ce département.
Encourager l’investissement national se place parmi les priorités des pouvoirs publics. Le chef de l’Etat n’a eu de cesse d’affirmer, pour sa part, l’impérieuse relance économique basée sur le potentiel local et renforcé par les IDE dans la perspective de la diversification des produits et pourquoi pas de se frayer un chemin vers le marché international.
Avant même son entame, le Ramadhan fait déjà parler de lui. Une première victime collatérale vient d’être rendue publique par le ministre de l’Agriculture en limogeant un des cadres de son secteur chargé de la gestion de la viande rouge. Il faut dire que cette denrée est toujours prisée par le citoyen qui n’hésite pas à s'endetter pour parfaire le goût de sa chorba.
Le président de la République vient d’imprimer une nouvelle dynamique dans la gestion des affaires publiques. En désignant Mohamed Ennadir Larbaoui au poste de Premier ministre et en prévision de la révision de toute la composante de l’équipe gouvernementale, le chef de l’Etat entend apporter un nouveau souffle dans l’exécution de son programme électoral.
Les déclarations d’intention n’ont pas manqué au sujet de la lutte contre la bureaucratie et l’amélioration de la qualité de vie du citoyen. Le président de la République en a fait son cheval de bataille tout en incitant à atteindre cet objectif. Le recours aux technologies modernes est le meilleur moyen d’y parvenir.
L’emploi demeure une question qui revêt un intérêt vital pour le citoyen et un objectif principal pour le pouvoir politique. Le lien est si fort entre les deux entités que leurs sorts sont intimement dépendants. Pour le citoyen, le travail est chose existentielle qui lui assure une vie dans la dignité.
Les rentrées scolaires se suivent et se ressemblent. Elles connaissent un moment de flottement quasi protocolaire. La date officielle de la reprise des cours est «gardée» jalousement pour des considérations que le commun des citoyens ignore non sans curiosité. Il y va des préparatifs harassants que ce rendez-vous pédagogique engendre aux parents d’élèves.
Notre pays s’est vu retarder son adhésion au nouveau bloc des BRICS. Une organisation qui date depuis plusieurs années. Elle revient sous les feux de la rampe en coïncidence avec le conflit russo-ukrainien. Beaucoup de spécialistes ne manquent pas d’associer cette guerre militaire à une volonté de briser l’hégémonie économique de l’Occident sur le reste de la planète.
Les vacances tirent à leur fin. Les projets d’organiser des séjours de farniente cèdent la place aux préparatifs harassants de la rentrée scolaire. Il faut dire que les décisions prises par le ministère de tutelle n’ont pas été toutes respectées par les opérateurs touristiques.
Les agents de contrôle du ministère du Commerce font face à un été chaud. Ils sont sur tous les fronts atteints par le feu qui enflamme les prix aussi bien des produits de consommation que ceux des appareils électroménagers.
Les feux de forêt continuent à faire des victimes aussi bien civiles que militaires. Le dernier bilan des incendies survenus à Béjaïa, Bouira et Jijel fait état de 34 morts et de nombreux blessés.
La canicule qui affecte, ces derniers jours, la majorité des pays à travers le monde ne peut être perçue comme un phénomène naturel saisonnier.
L’activité informelle a toujours évolué en marge des règles de transparence. Ce jeu de l’ombre échappe à tout contrôle en vigueur dans les secteurs économiques.
La crise de logement a longtemps hanté l’esprit de tout Algérien. La concentration de la population dans les grandes villes a encouragé l’expansion de l’habitat précaire. C’est une suite logique qui découle de la centralisation de la politique de développement social et économique du pays.
Le sud du pays en général et les zones frontalières en particulier connaissent un «désert» sanitaire. Cette entorse au confort du citoyen ne date pas d’hier et n’est non plus un secret pour personne.
Le mois de Ramadhan tire à sa fin non sans avoir marqué de son empreinte l’esprit du consommateur. Et comme à l’accoutumée, la survenue régulière de ce rendez-vous religieux s’accompagne malheureusement de dépassements en tous genres.
L’impératif de la numérisation des services publics revient cette semaine dans les orientations du chef de l’Etat. C’est à l’occasion de la dernière réunion du Conseil des ministres que le Président a réitéré sa volonté de moderniser les moyens de gestion administrative des secteurs névralgiques du pays. Il s’agit, en somme, des départements des Impôts, des Finances et des Douanes.
L’approche du mois de Ramadhan s’annonce toujours avec des préparatifs de circonstance. Souvent, ces retouches de dernière minute sont les mêmes qui reviennent chaque année.
L’importance du secteur agricole dans la vie d’un pays n’est plus à démontrer.
L’impérieuse nécessité de la numérisation des services publics revient ces derniers jours dans tous les débats. Tout récemment, l’hémicycle de l’Assemblée populaire nationale (APN) a abrité des débats passionnés sur ce sujet.